Le message d'un père saoudien fait le buzz sur les réseaux sociaux

La publication d'Al-Kazraj montre deux photos de Laura : la première lors de son premier jour à l'école primaire en 2018 et la deuxième lors de son premier jour au collège en 2024. (Photo fournie)
La publication d'Al-Kazraj montre deux photos de Laura : la première lors de son premier jour à l'école primaire en 2018 et la deuxième lors de son premier jour au collège en 2024. (Photo fournie)
La publication d'Al-Kazraj montre deux photos de Laura : la première lors de son premier jour à l'école primaire en 2018 et la deuxième lors de son premier jour au collège en 2024. (Photo fournie)
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Publié le Vendredi 23 août 2024

Le message d'un père saoudien fait le buzz sur les réseaux sociaux

  • La publication de M. Al-Kazraj montre deux photos de Laura :  le jour de sa première rentrée scolaire en 2018 et le jour de sa rentrée au collège en 2024
  • L'image rappelle de manière touchante comment le temps file à toute allure et à quel point les enfants grandissent vite aux yeux de leurs parents

RIYAD : Dans un monde où les réseaux sociaux amplifient souvent la négativité et les tendances éphémères, le message sincère d'un père saoudien est devenu un modèle de positivité et un catalyseur de discussions profondes sur le rôle des parents dans la vie de leurs enfants.

Abdelkarim al-Kazraj, auteur respecté et défenseur passionné des questions sociales et culturelles, a récemment partagé sur X un moment poignant de sa vie de famille.

Ce qui n'était au départ qu'un simple message pour marquer le premier jour de sa fille Laura au collège a rapidement fait le tour des réseaux, capturant le cœur de milliers de personnes et suscitant des conversations significatives à travers le pays.

La publication de M. Al-Kazraj montre deux photos de Laura : le jour de sa première rentrée scolaire en 2018 et le jour de sa rentrée au collège en 2024.

L'image rappelle de manière touchante comment le temps file à toute allure et à quel point les enfants grandissent vite aux yeux de leurs parents. Pour M. Al-Kazraj, il s'agissait d'un souvenir personnel, d'un moyen de documenter une étape importante de la vie de sa fille. Mais le message a trouvé un écho auprès d'un public beaucoup plus large, accumulant des milliers de likes, de commentaires et de partages – devenant un sujet chaud sur X.

M. Al-Kazraj a été très surpris par les vives réactions. En tant que personne qui a toujours aimé documenter les moments de sa vie, il avait l'habitude de partager ses pensées et ses expériences.

« Depuis que je suis jeune, j'aime écrire dans mon journal », explique-t-il. « Avec l'avènement d’Internet, j'ai commencé à écrire sur des sites Web et des forums. Puis est arrivée la révolution numérique, au cours de laquelle les réseaux sociaux ont permis à tous, jeunes et moins jeunes, de partager leur vie quotidienne et les occasions spéciales. »

Cependant, même avec son expérience en matière d'écriture et de partage, M. Al-Kazraj ne s'attendait pas à ce que son message suscite un tel enthousiasme.

« Pour commémorer le premier jour de la nouvelle année scolaire, j'ai pris des photos avec mes enfants, histoire de les garder en souvenir. Je les ai publiées dans la soirée, puis j'ai fait une petite sieste. Lorsque je me suis réveillé deux heures plus tard, mon téléphone était inondé d’alertes et de messages », raconte-t-il, toujours surpris par l'ampleur de l'engagement.

Le message, que beaucoup ont vu comme un reflet simple mais puissant de l'amour et de la fierté d'un père en voyant sa fille grandir, a rapidement engendré des conversations sur le rôle des parents dans le soutien de l'individualité et du bien-être émotionnel de leurs enfants.

Dans une société où les attentes traditionnelles et les normes culturelles dictent souvent la relation entre parents et enfants, l'approche ouverte et affectueuse d'Al-Kazraj s'est démarquée.

« La publication a capturé le passage fugace du temps et la façon dont nos enfants grandissent... en un clin d'œil. Les enfants d'hier sont aujourd'hui des étudiants à l'université, des médecins et des enseignants », a-t-il déclaré.

Pour de nombreuses personnes qui ont lu le message, cette publication est plus qu'un simple moment personnel – c'est un rappel de l'expérience universelle de la parentalité. La prise de conscience douce-amère que les enfants grandissent si vite a trouvé un écho profond chez d'autres parents, qui ont réfléchi à leur propre expérience et à l'importance de chérir chaque instant.

Mais le message – qui montre une Laura aux cheveux courts – a également touché plus profondément les femmes qui ont utilisé la plateforme pour partager leurs expériences à la lumière des attentes et des restrictions de la société.

En Arabie saoudite, où les normes culturelles mettent traditionnellement l'accent sur les apparences et la conformité, le message de M. Al-Kazraj est devenu un point de ralliement pour ceux qui prônent plus de liberté et d'individualité, en particulier pour les jeunes filles.

« Parmi les milliers de commentaires, il y avait ceux qui soutenaient, ceux qui critiquaient et ceux qui donnaient des conseils. Mais ce qui a le plus retenu mon attention, ce sont ceux qui ont exprimé leur soulagement, comme s'ils avaient trouvé un exutoire à travers ce message », a déclaré M. Al-Kazraj. « De nombreuses jeunes femmes ont parlé des restrictions et du manque de choix auxquels elles étaient confrontées, trouvant du réconfort dans ce simple message. »

Son message, bien qu'enraciné dans un moment personnel, a ouvert un dialogue sur les questions plus larges des attentes de la société, de l'importance du soutien parental et du besoin de compréhension dans les relations entre parents et enfants.

« En fin de compte, tout ce remue-ménage concernait une coupe de cheveux ! Mais elle semble avoir touché beaucoup de monde, suscitant des discussions dans les commentaires sur des histoires, des aventures et des souvenirs. Ce qui peut sembler anodin en surface est en fait porteur de désirs profonds qui, s'ils sont abordés avec compréhension, passeront en douceur et en silence, sans laisser de séquelles sur l'enfance », a déclaré M. Al-Kazraj.

Dans une société où l'autorité parentale a souvent été exercée avec un contrôle strict, sa décision de laisser à sa fille la liberté de choisir son apparence a été perçue comme étant à la fois progressiste et profondément aimante, remettant en cause les notions traditionnelles et soulignant l'importance du dialogue.

À la suite de la réaction massive à son premier message, qui a recueilli près de 16 000 « J’aime », M. Al-Kazraj a de nouveau partagé sur X un suivi judicieux.

Il a republié son message initial avec un commentaire perspicace, déclarant :« Il ne s'agit nullement de justification, mais d'un souci de clarté : j'ai reçu des commentaires sur la coupe de cheveux de ma fille et, indépendamment de la liberté personnelle et de l'intrusion, vous devez comprendre que, de nos jours, la vie est différente de ce qu'elle était autrefois ! La contrainte et la privation peuvent entraîner des répercussions négatives. Nous sommes à l'ère de l'expérimentation et du changement. Les cheveux finiront par repousser, mais si une situation marque son esprit, elle y restera à jamais gravée. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La conférence Ithra en Arabie saoudite met en lumière la vitalité des arts islamiques

Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
Ithra accueille la deuxième conférence sur les arts islamiques du 25 au 30 novembre (AN Photo/Hind Al-Khunaizi)
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  • La conférence vise à mettre en lumière la manière dont l'artisanat traditionnel peut inspirer des solutions innovantes dans des domaines tels que le design, les affaires et le développement urbain
  • Pour ajouter à l'expérience immersive, trois films spécialement conçus explorent l'art et l'histoire de l'artisanat islamique

DHAHRAN: Le Centre du roi Abdelaziz pour la culture mondiale, également connu sous le nom d'Ithra, accueille la deuxième conférence sur l'art islamique du 25 au 30 novembre.

En partenariat avec le prix Abdullatif Al-Fozan pour l'architecture des mosquées, le thème de l'événement de cette année est "Éloge de l'artisan". Avec 50 participants de 14 pays, dont 27 orateurs de renom, la conférence explorera le lien entre le patrimoine et l'innovation dans l'art islamique.

Des tables rondes aux démonstrations en direct, en passant par une sélection variée d'artistes, d'historiens, de conservateurs et d'universitaires, le programme offre aux participants l'occasion de s'intéresser à l'art et à l'histoire de l'artisanat islamique.

Des conférences stimulantes, des ateliers pratiques et des démonstrations interactives sont organisés pour plonger les visiteurs dans la beauté et la complexité des formes d'art islamique. Le thème central de cette année est le rôle vital joué par les artisans dans la préservation du patrimoine culturel tout en s'adaptant aux défis contemporains.

À travers ces discussions, la conférence cherche à mettre en lumière la manière dont l'artisanat traditionnel peut inspirer des solutions innovantes dans des domaines tels que le design, les affaires et le développement urbain.

L'exposition "In Praise of the Artisan" (Éloge de l'artisan) se déroule parallèlement à l'événement. Cette exposition d'artefacts historiques et d'œuvres contemporaines met en relief l'intemporalité de l'art islamique à travers des supports allant des sculptures en bois ornées et des textiles lumineux aux céramiques peintes de manière complexe et au travail éblouissant du métal. Pour ceux qui souhaitent acquérir des compétences, des ateliers sont organisés sur des métiers tels que la broderie, la sculpture sur bois et la fabrication de voiliers.

Pour ajouter à l'expérience immersive, trois films spécialement sélectionnés explorent l'art et l'histoire de l'artisanat islamique, en s'intéressant à la vie des artisans et à l'importance culturelle de leur travail. Chaque projection est suivie d'une discussion avec les réalisateurs.

Outre l'exposition principale, la place d'Ithra accueillera huit mini-expositions en collaboration avec des institutions telles que la Commission du patrimoine, l'Institut royal des arts traditionnels et l'Autorité générale pour la protection des deux saintes mosquées. Ces expositions mettent en lumière l'artisanat régional du monde islamique, comme la Turquie et l'Égypte, soulignant ainsi le caractère mondial de l'événement.

Mashary Al-Naim, Mahmoud Erol Kilic et l'artiste Ahmad Angawi animeront des débats sur les défis et les opportunités auxquels les artisans sont confrontés pour préserver leur artisanat à une époque dominée par la production de masse. Les thèmes abordés seront l'intégration de l'artisanat dans les modèles commerciaux modernes et le rôle des artisans dans le développement urbain durable.

La conférence met également l'accent sur le potentiel de l'artisanat traditionnel en tant que moteur du changement social. En encourageant la collaboration entre les artisans, les designers et les institutions culturelles, elle crée des voies qui leur permettent de prospérer sur les marchés contemporains tout en préservant leur intégrité historique.

Le travail de Dhai Ibrahim Al-Otaibi, étoile montante de l'art de la broderie Naqda, en est un exemple. Connue pour son approche innovante, Al-Otaibi allie l'opulence des fils d'argent et d'or traditionnels à l'esthétique de la mode moderne.

"La broderie Naqda représente un aspect essentiel de l'identité culturelle saoudienne, en particulier dans les régions de l'Est et du Centre", a déclaré Al-Otaibi à Arab News.

"En réinterprétant ces méthodes, j'espère rendre cet artisanat plus accessible aux nouvelles générations tout en préservant son authenticité".

Al-Otaibi a commencé son parcours en tant qu'apprentie sous la direction de l'artisane Sarah Al-Dosari. Elle est l'une des 14 praticiennes de la broderie Naqda en Arabie saoudite. Ses contributions à l'exposition témoignent non seulement de son talent artistique personnel, mais soulignent également la pertinence durable de cet artisanat séculaire.

L'exposition "Éloge de l'artisan" se poursuivra à Ithra jusqu'en décembre 2027, offrant de nombreuses occasions de découvrir la splendeur des arts islamiques et l'évolution de leur rôle dans le monde moderne.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Le parfumeur de Guerlain parle des traditions des parfums arabes à Riyad

Thierry Wasser est le parfumeur attitré de la marque française de produits de beauté de luxe Guerlain. (Getty Images)
Thierry Wasser est le parfumeur attitré de la marque française de produits de beauté de luxe Guerlain. (Getty Images)
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  • Le parfumeur a partagé ses idées sur les différences entre les parfums typiques du Moyen-Orient et leurs équivalents européens et a même évoqué sa précédente visite à Taïf
  • Avec plus de 200 parfums à son actif, le parfumeur a révélé que son parfum préféré était Habit Rouge de Guerlain, un parfum oriental boisé aux notes de terre, de cuir chaud et de forêt, lancé en 1965

RIYAD: Thierry Wasser, le parfumeur attitré de la marque française de produits de beauté de luxe Guerlain, s'est entretenu avec Arab News lors d'une récente visite en Arabie saoudite pour parler de tout ce qui concerne les parfums, à l'occasion de la réouverture de la boutique phare de Guerlain à Riyadh Park.

Le parfumeur a partagé ses idées sur les différences entre les parfums typiques du Moyen-Orient et leurs équivalents européens et a même évoqué sa précédente visite à Taïf, dans le Royaume, qui est célèbre pour ses roses distinctes cultivées à haute altitude.

"Lorsque vous vous rendez dans chacun de ces pays, vous essayez de découvrir ce qui parle pour ce pays", a expliqué Wasser à propos de son programme de voyage.

"Par exemple, en Arabie saoudite, je pense que c'est la myrrhe et je pense aussi que c'est le bois d'agar. En France, pour une raison que j'ignore, je pense que c'est la lavande", a-t-il ajouté.

Le parfumeur a partagé son expérience de la visite des montagnes Al-Sarawat de Taïf, qui culminent à 1 800 mètres et abritent la variété Taif Rose, en déclarant: "C'est un zig zag quand on y va... parfois, on se retrouve dans un endroit où l'on ne s'attend pas à ce que l'altitude soit si élevée".

Avec plus de 200 parfums à son actif, le parfumeur a révélé que son parfum préféré était Habit Rouge de Guerlain, un parfum oriental boisé aux notes de terre, de cuir chaud et de forêt, lancé en 1965 par l'emblématique Jean-Paul Guerlain.

"C'est comme une armure brillante. C'était un déguisement d'homme, un déguisement viril, masculin. Il m'a façonné. Mon attitude a changé... Je l'ai gardé toute ma vie comme un porte-bonheur", a-t-il déclaré.

Le parcours de Wasser au sein de la marque a commencé en 2008, lorsqu'il a été nommé premier parfumeur interne de la maison historique fondée en 1828, sans être membre de la famille Guérlain.

"Lorsque vous fabriquez un parfum, vous vous familiarisez avec la formule et la fragrance de vos prédécesseurs et vous êtes responsable de leur intégrité", a-t-il déclaré.

"Je veux parler du Moyen-Orient et de la façon dont le parfum s'y exprime. Ils ont un amour profond et intense pour les parfums très forts", a-t-il noté, ajoutant qu'il a rapidement appris que les parfums sont généralement appliqués sur les vêtements dans la région, plutôt que directement sur la peau, ce qui est une pratique courante en Europe.

"J'ai donc changé d'approche et j'ai fait tous mes essais sur des mouchoirs en coton", a-t-il expliqué.

L'emblème de la maison de parfums, l'abeille, reflète un engagement en faveur de la durabilité. En 2021, Guerlain est devenue l'une des premières maisons de luxe à adhérer à l'Union for Ethical BioTrade et à lancer un processus de vérification pour 50 ingrédients naturels.

"La durabilité n'est pas exactement un outil de marketing ou de communication, c'est un état d'esprit", a déclaré Wasser.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


La princesse Rajwa visite une galerie d'art à Amman avec la reine Rania

La princesse Rajwa Al-Hussein a visité la galerie d'art Naqsh Collective, basée à Amman, lors de son premier engagement commun avec sa belle-mère, la reine Rania. (Cour royale hachémite)
La princesse Rajwa Al-Hussein a visité la galerie d'art Naqsh Collective, basée à Amman, lors de son premier engagement commun avec sa belle-mère, la reine Rania. (Cour royale hachémite)
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  • Cette visite marque un autre engagement public dans le calendrier de la princesse Rajwa
  • Naqsh Collective a été fondée en 2009 par deux sœurs, Nisreen et Nermeen Abudail

DUBAÏ: La princesse royale jordanienne d'origine saoudienne Rajwa Al-Hussein a visité la galerie d'art Naqsh Collective, basée à Amman, lors de son premier engagement commun avec sa belle-mère, la reine Rania, dimanche.

"Des créations locales exquises, fabriquées à la main avec amour. J'ai passé un moment agréable avec Rajwa à l'atelier de Naqsh Collective hier", a posté l'équipe de la reine Rania sur Instagram peu après la visite.

Les deux ont posé devant une œuvre d'art intitulée "Wall Runner" dans la galerie, qui présente des œuvres de design et des œuvres d'art.

Naqsh Collective a été fondée en 2009 par deux sœurs, Nisreen et Nermeen Abudail. La galerie a participé à des événements nationaux et internationaux tels que la Semaine du design de Milan, la Semaine du design d'Amman, les Journées du design de Dubaï et la Semaine du design saoudien.

Cette visite marque un autre engagement public dans le calendrier de la princesse Rajwa. La semaine dernière, elle a assisté à une cérémonie marquant l'inauguration de la première session ordinaire du 20e parlement à Amman, sa deuxième apparition publique depuis la naissance de son premier enfant cet été.

Pour l'occasion, elle a porté un élégant ensemble noir, avec une ceinture surdimensionnée de Dior et des escarpins de Chloé. Le look a été complété par le mini sac Goji noir de Jill Sander.

La princesse Rajwa a été photographiée aux côtés de la reine Rania, qui a arboré un look rouge offert par Maison Valentino et Altuzarra.

La princesse Rajwa a fait sa première apparition publique depuis la naissance de la princesse Iman bent Al-Hussein ben Abdallah II lors d'un match de qualification pour la Coupe du monde de football 2026 en octobre.

La princesse a accueilli son premier enfant, la princesse Iman, avec le prince héritier Hussein ben Abdallah le 3 août.

Le roi Abdallah de Jordanie a publié un hommage à sa petite-fille sur les réseaux sociaux pour marquer l'occasion. Traduit de l'arabe, le message se lit comme suit: "Je remercie Dieu de nous avoir donné notre première petite-fille, Iman bent Hussein. Je félicite les bien-aimés Hussein et Rajwa pour leur nouvelle-née".

La princesse Rajwa, qui a fêté son 30e anniversaire en avril, est la fille de l'homme d'affaires saoudien Khaled ben Musaed ben Saif ben Abdelaziz Al-Saif, décédé en janvier dernier, et de son épouse, Azza bent Nayef Abdelaziz Ahmad Al-Sudairi.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com