Un lien fascinant entre les sites historiques d'AlUla et le cosmos

Les anciennes civilisations d'AlUla, situées au carrefour du commerce, communiquaient avec diverses cultures, dont beaucoup étaient fortement influencées par l'astronomie (Instagram/expériencealula).
Les anciennes civilisations d'AlUla, situées au carrefour du commerce, communiquaient avec diverses cultures, dont beaucoup étaient fortement influencées par l'astronomie (Instagram/expériencealula).
La région d'Al-Gharameel à AlUla est l’endroit idéal pour l'observation des étoiles, où l'on peut voir environ 6000 étoiles scintillantes (Photo fournie).
La région d'Al-Gharameel à AlUla est l’endroit idéal pour l'observation des étoiles, où l'on peut voir environ 6000 étoiles scintillantes (Photo fournie).
Une étude exploratoire a récemment dévoilé un lien fascinant entre les sites historiques d'AlUla et le cosmos (Photo fournie).
Une étude exploratoire a récemment dévoilé un lien fascinant entre les sites historiques d'AlUla et le cosmos (Photo fournie).
Le ciel étoilé d'AlUla dévoile le lien ancien entre l'archéologie et l'astronomie (Photo fournie).
Le ciel étoilé d'AlUla dévoile le lien ancien entre l'archéologie et l'astronomie (Photo fournie).
Les anciennes civilisations d'AlUla, situées au carrefour du commerce, communiquaient avec diverses cultures, dont beaucoup étaient fortement influencées par l'astro(Photo fournie).nomie (Photo fournie).
Les anciennes civilisations d'AlUla, situées au carrefour du commerce, communiquaient avec diverses cultures, dont beaucoup étaient fortement influencées par l'astro(Photo fournie).nomie (Photo fournie).
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Publié le Lundi 14 août 2023

Un lien fascinant entre les sites historiques d'AlUla et le cosmos

  • Majed al-Zahoufi souligne un schéma constant selon lequel les différentes civilisations qui ont prospéré à AlUla ont toutes contrôlé stratégiquement d'importantes routes commerciales
  • Dans les mois à venir, des études analytiques et statistiques élucideront davantage le lien entre les anciens royaumes arabes et l'univers

ALULA : Connue pour ses monuments historiques et ses paysages désertiques enchanteurs, AlUla a depuis longtemps captivé l'imagination de ceux qui parcourent ses anciens terrains.

Une étude révèle un lien fascinant entre les sites historiques d'AlUla et le cosmos, démontrant une ancienne connexion entre les civilisations et les étoiles qui continue d'influencer la région aujourd'hui.

MISE EN CONTEXTE

  • Une équipe de spécialistes en archéoastronomie vise à reconstituer une image complète de la façon dont le ciel d'AlUla a influencé la vision du monde des anciennes sociétés
  • À Gharameel, environ 6000 étoiles scintillantes ornent le ciel, un spectacle impressionnant rendu possible uniquement lorsque la pollution lumineuse diminue

Situés dans le nord-ouest du Royaume, les sites archéologiques d'AlUla offrent une fenêtre unique sur l'importance de l'astronomie dans l'histoire de la région. Les histoires partagées par les guides, ainsi que les preuves des anciennes civilisations, révèlent comment la voûte étoilée du vaste désert a joué un rôle central dans l’orientation des voyageurs et des caravanes commerciales, les aidant à naviguer dans les vastes étendues au fil des siècles.

Majed al-Zahoufi, un guide passionné et amateur d'astronomie, a cultivé un lien profond avec le désert. Son voyage dans le monde des étoiles a commencé il y a près d'une décennie par la lecture assidue et les observations personnelles.

Al-Zahoufi a déclaré à Arab News que son exploration de ces sujets est fermement ancrée dans la réalité et n'est pas du tout inhabituelle. S'appuyant sur sa vaste connaissance de l'histoire arabe, des civilisations et de l'astronomie, il a souligné un schéma cohérent : «Les diverses civilisations qui ont prospéré à AlUla, telles que les Dadanites, les Lihyanites, les Nabatéens et les Minéens, ont tous stratégiquement contrôlé d'importantes routes commerciales mondiales.»

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Les formations rocheuses de Gharameel sont composées de couches sédimentaires façonnées par d'anciens environnements marins et fluviaux (Photo fournie).

«Parmi ces routes se trouvaient les célèbres routes de l'encens utilisées par les commerçants de la région du sud d'Oman leur permettant de se rendre vers les parties nord de la péninsule arabique. Ce carrefour commercial a facilité les interactions entre diverses cultures, dont les Grecs, les Babyloniens et les Assyriens.»

Ces anciennes civilisations, positionnées au carrefour du commerce, ont communiqué avec diverses cultures, dont beaucoup ont été fortement influencées par l'astronomie. Certaines ont même adoré les étoiles.

Tout au long de l'histoire, les cultures du monde entier ont reconnu le jeu profond entre la Terre et le ciel. Les corps célestes, comme les luminaires, détenaient la clé de la navigation, déterminaient les saisons et guidaient diverses pratiques culturelles. Cette connexion entre les civilisations et le cosmos demeure évidente dans la riche toile du passé d'AlUla.

«Les diverses civilisations qui ont prospéré à AlUla, telles que les Dadanites, les Lihyanites, les Nabatéens et les Minéens, ont tous stratégiquement contrôlé d'importantes routes commerciales mondiales.» Majed al-Zahoufi, guide d'AlUla

Al-Zahoufi a déclaré : «Dans mes observations personnelles et mes lectures, je vois une relation étroite entre les Nabatéens, leurs artefacts et le ciel. De nombreuses études scientifiques valident ce lien, montrant comment les Nabatéens croyaient en l'influence des constellations.»

Cette ancienne connexion entre les civilisations et le cosmos a attiré l'attention des experts modernes. En mai, une équipe de spécialistes en archéoastronomie s'est lancée dans une étude de terrain dans l'oasis d'AlUla.

Leur objectif est de dévoiler les raisons du choix de sites spécifiques par les anciennes civilisations, de décoder la symbolique des inscriptions funéraires et de déchiffrer la perception des cultures du ciel. En analysant les détails architecturaux, les motifs décoratifs et les indications calendaires, les chercheurs visent à reconstituer une image complète de la façon dont le ciel a influencé la vision du monde de ces sociétés.

Juan Antonio Belmonte, astrophysicien de l'Institut d'astrophysique d'Espagne, a trouvé une corrélation intime entre la Terre et le ciel grâce aux données préliminaires recueillies dans une centaine de tombes nabatéennes. Dans les mois à venir, des études analytiques et statistiques élucideront davantage le lien entre les anciens royaumes arabes et l'univers.

Parmi les trésors d'AlUla se trouve la zone de Gharameel, un havre pour l'observation des étoiles - plus on s'éloigne des lumières de la ville, plus les étoiles deviennent visibles dans le ciel nocturne, a expliqué Al-Zahoufi. À Gharameel, environ 6000 étoiles scintillantes ornent le ciel, un spectacle impressionnant rendu possible uniquement lorsque la pollution lumineuse diminue.

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Les formations rocheuses de Gharameel sont composées de couches sédimentaires façonnées par d'anciens environnements marins et fluviaux (Photo fournie).

Pour préserver cette destination d'observation des étoiles remarquable, la Commission royale d’AlUla s'efforce activement de réduire les émissions lumineuses de la ville. Les visiteurs peuvent également partir en excursion nocturne vers la zone isolée de Gharameel pour se plonger dans les constellations sous le ciel nocturne intact d'AlUla.

L'enchantement d'AlUla s'étend également à ses merveilles géologiques. Abdallah al-Shammari, géologue saoudien, a expliqué que les formations rocheuses uniques de Gharameel sont composées de couches sédimentaires façonnées par des environnements marins et fluviaux anciens.

«La sédimentation a commencé dans cette formation à la fin de l'ère cambrienne et au début de l'ère ordovicienne (l'ère paléozoïque) qui se situe il y a près de 470 et 500 millions d'années», a déclaré Al-Shammari.

Il a également souligné que ces merveilles géologiques reflètent des formations similaires à travers le monde, du plateau d'Ennedi au Tchad au désert d'Arabie saoudite.

Les étoiles, tissées dans la culture arabe, servent d'inspiration poétique et de repères culturels, encapsulant la relation durable entre l'homme et le cosmos. Dans l'enchantement de l'histoire d'AlUla, l'archéologie et l'astronomie dansent ensemble, révélant une histoire qui transcende le temps.

Al-Zahoufi a ajouté : «L'astronomie n'est pas seulement une entreprise scientifique ; elle détient un merveilleux privilège pour dévoiler les mystères du ciel, guider les pratiques agricoles et même influencer les arts.»

«Les Arabes ont également incarné l'astronomie dans la poésie arabe en louant leurs rois, en flirtant avec leur bien-aimée à travers les étoiles, les étoiles étant une culture authentique pour les Arabes et un moyen de divertissement.»

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Regard sur l'habillement des femmes à l'époque du premier État saoudien

Tout au long du premier État saoudien, les vêtements féminins étaient des signes d'identité culturelle et de traditions régionales. (Saudipedia)
Tout au long du premier État saoudien, les vêtements féminins étaient des signes d'identité culturelle et de traditions régionales. (Saudipedia)
Vêtements féminins dans la région centrale au cours du premier État saoudien. (Saudipedia)
Vêtements féminins dans la région centrale au cours du premier État saoudien. (Saudipedia)
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  • Selon Saudipedia, les vêtements des femmes variaient selon les régions du premier État saoudien, étant influencés par les ressources locales, le climat et les traditions culturelles.

RIYADH : Tout au long de l'histoire du premier État saoudien, les vêtements des femmes étaient des signes d'identité culturelle et de traditions régionales.

Selon Saudipedia, les vêtements féminins variaient d'une région à l'autre, en fonction des ressources locales, du climat et des traditions culturelles. Chaque région a développé des styles, des matériaux et des modèles distincts qui reflétaient ses coutumes sociales et son environnement.

Dans la région centrale, les femmes portaient souvent al-Mukhnaq, une couverture de soie transparente faite de mousseline ou de tulle, entièrement cousue à l'exception d'une ouverture pour le visage. Les femmes mariées se couvrent généralement la tête avec al-Ghadfah, un châle de tulle léger également connu sous le nom d'al-Munaykhel, ou optent pour al-Ghatwah, un tissu noir qui couvre l'ensemble du visage. Un autre vêtement courant était la burqa, un couvre-visage qui laissait une ouverture pour les yeux et était parfois orné d'éléments décoratifs.

L'abaya, vêtement d'extérieur en laine grossière de coupe rectangulaire, se drapant sur les épaules, était un vêtement de base. Contrairement aux abayas modernes, elle n'avait pas de manches, mais comportait de petites ouvertures pour les mains à ses extrémités. Le terme abaya était parfois utilisé de manière interchangeable avec bisht, un manteau traditionnel.

« Le bisht Al-Barqa est l'un des types de bishts portés par les hommes de la région. Les habitants de la région centrale, d'Al-Aridh et de Diriyah avaient l'habitude d'appeler l'abaya bisht, qu'elle soit portée par un homme ou par une femme », a déclaré Laila Al-Bassam, experte en costumes et textiles arabes traditionnels, lors d'une interview accordée à Arab News en 2023.

L'abaya avait de nombreuses variantes, notamment l'abaya Qilani, l'abaya Ma'simah, l'abaya Dufat al-Mahoud, l'abaya Fisol et l'abaya Murshidah. À l'intérieur, les femmes portaient généralement al-Maqta' ou al-Daraa, des vêtements longs et larges avec des manches ajustées qui se rétrécissaient au niveau du poignet. Ces robes sont souvent brodées de fils de zari d'or et d'argent, de paillettes ou de motifs complexes, reflétant le savoir-faire et l'art de l'époque.

Saudipedia indique que les femmes de la région orientale préféraient les vêtements fabriqués à partir de tissus fins tels que la soie et le coton léger. L'une des pièces les plus distinctives était le al-Malf'a, un tissu rectangulaire noir enroulé autour du visage et des épaules, parfois fixé à l'aide d'une pièce métallique appelée al-Rubayi. Le poids de ce tissu variait en fonction de la saison, les versions plus légères étant préférées durant les mois les plus chauds. La région était également connue pour ses broderies élaborées, les vêtements présentant souvent des coutures et des ornements complexes reflétant les influences des routes commerciales voisines.

Dans la région occidentale, les vêtements des femmes reflétaient les liens de la région avec les marchés internationaux, en particulier ceux de la mer Rouge. Les femmes les plus riches appréciaient les tissus tels que le brocart, la soie et le velours, tandis que le coton était plus couramment porté au quotidien. De nombreux vêtements étaient ornés de broderies détaillées, de dentelles et de fils de zari, reflétant les échanges culturels entre la péninsule arabique et les régions environnantes. La superposition de vêtements était courante, les femmes portant plusieurs pièces pour créer une silhouette distinctive et élégante.

Dans la région méridionale, l'influence du relief montagneux et des traditions tribales a joué un rôle important dans les styles vestimentaires. Les femmes portaient des vêtements confectionnés dans des tissus épais et résistants pour se protéger des basses températures des hautes altitudes. La broderie, avec ses motifs géométriques complexes, était un élément clé, symbolisant l'identité tribale. L'utilisation de couleurs vives, en particulier le rouge et le bleu, était très répandue et donnait de l'éclat aux vêtements.

Dans la région septentrionale, le climat et la vie bédouine ont influencé les choix vestimentaires des femmes. L'accent était mis sur l'aspect pratique, avec des vêtements conçus pour la mobilité et la protection contre les conditions climatiques difficiles. Elles portaient de longues robes fluides en laine ou en coton épais, souvent ornées de broderies subtiles. Les couvre-chefs étaient essentiels et variaient d'une tribu à l'autre. L'al-Shilah et l'al-Sayf étaient couramment portés pour se protéger du soleil tout en préservant la pudeur.

Les vêtements n'avaient pas seulement une fonction pratique, ils véhiculaient également « le statut social, l'état civil et l'appartenance tribale », selon Saudipedia. La diversité des styles dans les différentes régions témoigne de la richesse du patrimoine et de l'artisanat de l'époque, et de nombreux éléments traditionnels influencent encore la mode saoudienne actuelle.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Comment célébrer la Journée de la fondation 2025 en Arabie saoudite

(fournie)
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  • La Journée de la fondation saoudienne vise à renforcer la fierté nationale des Saoudiens, en particulier des jeunes générations
  • À Riyad, les célébrations comprendront des feux d'artifice, des expositions sur le patrimoine saoudien et des concerts de musique

La Journée de la fondation saoudienne vise à renforcer la fierté nationale des Saoudiens, en particulier des jeunes générations.

Les festivités prévues pour la Journée de la Fondation de cette année mettront en valeur le patrimoine saoudien à travers la musique, les arts et les spectacles.

Principaux événements de la Journée de la fondation 2025

Les Nuits de la Fondation présenteront des concerts musicaux et poétiques avec d'éminents artistes saoudiens au théâtre Mohammed Abdu, au boulevard Riyad, le 22 février.

À Riyad, les célébrations comprendront des feux d'artifice, des expositions sur le patrimoine saoudien et des concerts de musique. Djeddah accueillera des parades maritimes, des marchés du patrimoine et des salons nautiques. À Médine, des expositions d'art et des séminaires culturels sur l'histoire du Royaume seront organisés, tandis qu'à Dammam, les visiteurs pourront assister à des spectacles folkloriques et à des séances de cinéma en plein air.

Spectacles musicaux

Plusieurs soirées musicales ajouteront à l'atmosphère de fête. Le 21 février, Mohammed Abdu jouera "Suhail Night" à l'arène Mohammed Abdu.

Le 22 février, Abdul Majeed Abdullah interprétera des chansons nationales à la Mohammed Abdu Arena.

En outre, le 22 février, un spectacle orchestral mettant en vedette l'orchestre et le chœur nationaux saoudiens sera suivi par des jeux de lumière et de son qui mettront en lumière la riche histoire du Royaume.

À Djeddah, les célébrations au musée Tariq Abdulhakim, du 20 au 22 février, offriront une atmosphère familiale remplie d'activités patrimoniales, artistiques et culturelles.

À Diriyah, une "expérience interactive 850" permettra aux visiteurs d'explorer les événements clés de l'histoire du Royaume, avec des activités immersives à l'intérieur et à l'extérieur.

Le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale (Ithra), à Dhahran, marquera la Journée de la fondation par une célébration de trois jours, du 20 au 22 février, avec des ateliers interactifs, des spectacles et de l'artisanat traditionnel.

La place accueillera des concerts de oud et d'autres activités, dont un photomaton où les visiteurs pourront se faire photographier en tenue traditionnelle.

Des maîtres artisans présenteront l'art complexe du tissage du bisht, et il y aura des activités éducatives, de la musique folklorique et des danses d'épée saoudiennes Ardah.

Le centre accueille les visiteurs de 16 à 23 heures.

La Commission des musées organise les célébrations de la Journée de la fondation au Musée national saoudien du 21 au 23 février. Cet événement propose des activités interactives, des programmes culturels et des spectacles.

Johnson Controls Arabia organise une soirée de célébration de la fondation le 21 février dans la maison historique Al-Sharbatly à Al-Balad, Djeddah.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Riyad revêt sa couleur verte pour honorer la Journée de la fondation

C'est l'une des deux occasions - l'autre étant la fête nationale - où le Royaume se pare de drapeaux nationaux. (SPA)
C'est l'une des deux occasions - l'autre étant la fête nationale - où le Royaume se pare de drapeaux nationaux. (SPA)
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  • Les citoyens et les résidents descendront par milliers dans les rues aujourd'hui
  • La municipalité de Riyad a pris des mesures pour orner les rues de plus de 8 000 drapeaux nationaux

RIYAD : C'est l'une des deux occasions - l'autre étant la fête nationale - où le Royaume est orné de drapeaux nationaux.

Les citoyens et les résidents descendront par milliers dans les rues aujourd'hui pour célébrer le quatrième jour de fondation de l'Arabie saoudite.

La municipalité de Riyad a pris des mesures pour orner les rues de plus de 8 000 drapeaux nationaux, transformant ainsi la capitale en un véritable océan de vert. Les drapeaux, qui représentent à la fois le premier État saoudien et le Royaume moderne, ont été accrochés stratégiquement sur les mâts des routes principales, les places, les ponts, les intersections et les lampadaires, a rapporté l'agence de presse saoudienne. 

L'emplacement a été soigneusement planifié pour assurer une harmonie esthétique avec le paysage de la ville et a été installé en toute sécurité par des moyens mécaniques. Les drapeaux ont été placés en toute sécurité à l'aide de moyens mécaniques. La variété des tailles permet de voir clairement les drapeaux.

Des équipes spécialisées sur le terrain ont suivi un calendrier strict pour réaliser les installations de manière efficace, en donnant la priorité à la sécurité, à la durabilité et à l'entretien régulier tout au long des célébrations.

Ces efforts reflètent l'engagement de la municipalité de Riyad à mettre en valeur l'identité nationale et à améliorer le paysage urbain, conformément aux objectifs de la Vision 2030 visant à améliorer l'attrait visuel de la capitale et à mettre en valeur le patrimoine du Royaume.
Les monuments, y compris les bâtiments ministériels, ont été décorés de lumières vertes vendredi, à la veille de la Journée de la fondation, tandis que des événements spéciaux organisés dans toute la région comprendront des feux d'artifice et des spectacles folkloriques traditionnels.

"Nous vous invitons à assister aux événements organisés par la municipalité de Riyad dans 47 municipalités au sein des gouvernorats et des centres de la région, dans plus de 47 lieux, pour profiter d'événements animés, d'activités de qualité, de divers domaines et de participations", a écrit la municipalité de Riyad sur le site X.

Abdullah Ahmed, un habitant de la capitale, a félicité l'autorité pour ses efforts visant à faire de la Journée de la fondation une occasion spéciale.

"Je suis vraiment reconnaissant à Allah tout-puissant de nous avoir accordé la sécurité, alors que nous vivons dans une solidarité et une paix totales. Nous avons la chance d'avoir un bon leadership avec le roi Salmane et le prince héritier Mohammed ben Salmane, et nous avons la chance d'avoir l'imam Mohammed ben Saud comme fondateur du premier État saoudien en 1727," a-t-il affirmé à Arab News.

Le Royaume moderne a fait ses premiers pas sur la voie de la nation en 1727, lorsque l'imam Mohammed ben Saud a succédé à son cousin, Zaid ben Markhane, en tant que souverain de la ville-État de Diriyah. C'est ce moment charnière, reconnu comme la date à laquelle le premier État saoudien a vu le jour, qui est célébré chaque année à l'occasion de la Journée de la fondation.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com