Yasmina Zaytoun, étudiante en journalisme, couronnée Miss Liban 2022

Yasmina Zaytoun, étudiante en journalisme et présentatrice de @WITHYASMINASHOW, couronnée Miss Liban 2022. (Arab News/Alex Spoerndli)
Yasmina Zaytoun, étudiante en journalisme et présentatrice de @WITHYASMINASHOW, couronnée Miss Liban 2022. (Arab News/Alex Spoerndli)
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Publié le Lundi 25 juillet 2022

Yasmina Zaytoun, étudiante en journalisme, couronnée Miss Liban 2022

  • La nouvelle élue doit «être la voix du peuple libanais», a déclaré l'une des juges à Arab News
  • Miss Liban 2022 a eu lieu après trois ans d'interruption

BEYROUTH: Le Forum de Beyrouth a accueilli dimanche soir une belle vitrine de talents libanais. Yasmina Zaytoun, mannequin, étudiante en journalisme et présentatrice d'émission, a été couronnée Miss Liban 2022, presque quatre ans après la dernière édition du concours.

L'animatrice de la plate-forme éducative en ligne @WITHYASMINASHOW a devancé ses concurrentes Maya Aboul Hosn, première dauphine, et Jacintha Rached, deuxième dauphine, ainsi que Lara Hraoui et Dalal Hoballah, respectivement classées quatrième et cinquième.

(Arab News/ Alex Spoerndli)
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Yasmina Zaytoun est originaire du village de Kfarchouba, dans le sud du Liban. Elle poursuit actuellement ses études à l'université Notre-Dame-de-Louaizé (NDU) et elle anime une émission Instagram intitulée «With Yasmina Show» au cours de laquelle elle interroge des personnalités du monde des médias et du sport, entre autres la politicienne Paula Yacoubian et l'actrice Enjy Kiwan.

La cérémonie tant attendue, retardée par des années de crises traversées par le Liban, a rassemblé dix-sept candidates venues de différentes villes et régions qui ont défilé devant un jury comprenant: le compositeur, Michel Fadel; l'influenceuse, Karen Wazen; le directeur général d’IP Studios, Mohammed Yehya; Miss Monde 2022, Karolina Bielawska; la directrice générale d'An-Nahar et An-Nahar Arabi, Nayla Tueni; le metteur en scène du spectacle, Ivan Caracalla; la présentatrice d'émissions, Hilda Khalife et Miss Liban 1993, Samaya Chedrawi, qui représentait le ministère du Tourisme.

(Arab News/ Alex Spoerndli)
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«Ce soir, nous célébrons le Liban, pas seulement Miss Liban», a déclaré Nayla Tueni, soulignant l'importance de l'événement.

«Nous célébrons le Liban qui nous manque, notre beau pays, la vie au Liban. Cette cérémonie reflète la plus belle image de personnes authentiques, de vrais Libanais qui souffrent et tentent de survivre. C'est un message très important, et j'espère que le Liban se redressera en délivrant un message très optimiste. Nous resterons forts parce que nous aimons le Liban», a-t-elle ajouté, tout en rappelant que la nouvelle élue doit «être la voix du peuple libanais».

Animé par l'actrice et présentatrice télé libanaise, Aimée Sayah, l'événement a également été marqué par une performance de la star de la chanson libanaise, Nancy Ajram, qui a ouvert le spectacle en interprétant Ila Beirut al Ontha en hommage à la capitale, avant de surprendre ses fans avec le titre Salamat Salamat et de terminer par sa toute nouvelle chanson, Sah Sah, produite par le DJ américain Marshmello.

(Arab News/ Alex Spoerndli)
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Nancy Ajram a incité son public à soutenir le Liban «pour le meilleur et pour le pire». «Je n'ai jamais réfléchi à la façon d'aimer le Liban. Il n'y a pas de règle pour aimer son pays. J'aime le Liban pour toujours», a-t-elle conclu.

Aimée Sayah était habillée par le célèbre créateur libanais, Georges Hobeika, qui vient juste de présenter sa collection à la Fashion Week de Paris. Les concurrentes ont défilé dans des tenues glamour, notamment des robes de soirée et des maillots de bain. Elles ont également démontré leur capacité à garder leur sang-froid, en abordant différentes problématiques sociales sur scène.

Parmi ces problématiques figuraient les questions de divorce, de familles fragmentées, de violence verbale et physique à l'égard des femmes, d'accès aux soins de santé et à l'éducation, et d'autonomisation des femmes.

Les concurrentes sont montées sur scène après avoir été préparées par les plus grands professionnels du monde de la beauté, dont le maquilleur Bassam Fattouh et le coiffeur Wassim Morkos.

La précédente Miss Liban, Maya Reaidy, couronnée en septembre 2018, a remis le titre et la couronne à Yasmina Zaytoun, mettant ainsi fin à son règne de près de quatre ans, après qu'une série de crises a contraint l'événement à être reporté.

L’ancienne Miss Liban, Maya Reaidy. (Arab News/ Alex Spoerndli)
L’ancienne Miss Liban, Maya Reaidy. (Arab News/ Alex Spoerndli)

À l’approche de l'événement, des panneaux d'affichage ont parsemé les routes de Beyrouth. Ils portaient le slogan «Célébrer la beauté du Liban nous manque», qui s'inscrit dans la campagne #WeMissLebanon initiée par les organisateurs de l'événement, la Lebanese Broadcasting Corporation International (LBCI) et le ministère du Tourisme.

Les organisateurs ont également diffusé un spot publicitaire glamour dans lequel plusieurs des participantes posaient dans des tenues légères. Des vues aériennes de lieux touristiques majeurs libanais étaient également insérées dans la vidéo de quarante-huit secondes.

La cérémonie a été une véritable célébration du pays à travers la musique choisie par Michel Fadel, la décoration et les fleurs.

Julia Morley, présidente du comité Miss Monde; la Polonaise Karolina Bielawska, Miss Monde 2021; Shree Saini, première dauphine de Miss USA; la Jamaïcaine Toni-Ann Singh, Miss Monde 2019, ainsi que Stephen Douglas Morley, directeur des événements de Miss Monde, étaient également présents à la cérémonie.

«J'ai beaucoup voyagé et je trouve que les gens constituent le cœur de chaque pays. En toute honnêteté, je peux dire que les Libanais sont beaux et chaleureux et, bien que je sois à des milliers de kilomètres de mon propre pays, la Jamaïque, je me sens chez moi», a déclaré Toni-Ann Singh.

La gagnante a été sélectionnée parmi un groupe de candidates choisies pour leur beauté et leur intelligence lors d'auditions qui se sont déroulées entre décembre 2021 et février 2022. Ce sont de jeunes Libanaises, âgées de 18 à 27 ans, qui ont été invitées à participer au concours.

 Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com