La mannequin franco-algérienne Loli Bahia est la nouvelle star des podiums à suivre cette semaine. Elle a défilé pour des marques de luxe renommées comme Fendi, Max Mara et Prada lors de la Fashion Week, qui se déroule jusqu’au 28 février.
Pour le défilé de Fendi, que la mannequin d’origine palestinienne Bella Hadid a ouvert, Bahia portait une robe grise transparente accessoirisée d’une pochette en fourrure et de gants longs. Lors du défilé Max Mara, la star montante était vêtue d’un pull en maille jaune vif oversize avec un pantalon de couleur assorti et un grand sac duveteux de la collection automne/hiver 2022 de la marque.
La jeune femme de 19 ans a participé au défilé de la maison de couture italienne aux côtés des deux sœurs Hadid, Bella et Gigi. Gigi portait un ensemble monochrome impressionnant formé d’une robe longue, d’un haut à col montant et d’une veste en fourrure.
Bella, quant à elle, a enfilé deux tenues: la première était une jupe marron et un haut en maille élégant et la seconde était constituée d’un pull sans manches, qu’elle avait associé à des gants, et une jupe imprimée bouffante.
Nora Attal est une autre mannequin arabe qui a défilé pour Max Mara. La star britannico-marocaine était habillée d’une robe beige sur laquelle étaient imprimés des motifs géométriques.
Pour le défilé Prada, Loli Bahia portait un manteau oversize jusqu’au genou, avec des plumes vertes sur les manches. La marque italienne a dévoilé des robes transparentes en forme de gilets et des manteaux ornés, présentant une collection que ses créateurs décrivent comme portant sur «l’histoire des femmes».
Assise au premier rang, la star de la télé-réalité Kim Kardashian a regardé sa sœur Kendall Jenner sur le podium.
Parmi les influenceurs et les célébrités arabes qui ont assisté aux défilés de la Fashion Week figuraient notamment l’influenceuse irakienne Deema al-Assadi, la star libanaise de la télé-réalité Alice Abdelaziz, l’actrice tunisienne Rym Saïdi Breidy, l’animatrice de télévision libanaise Diala Makki, ou encore la star libanaise des réseaux sociaux Karen Wazen.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com