La neige recouvre les lieux saints de Jérusalem et ajoute à la misère des réfugiés

Des garçons jouant au pied des colonnes du temple romain d'Hercule, à la citadelle d'Amman, un ancien monument romain recouvert de neige, à Amman en Jordanie, le 27 janvier 2022. (Reuters)
Des garçons jouant au pied des colonnes du temple romain d'Hercule, à la citadelle d'Amman, un ancien monument romain recouvert de neige, à Amman en Jordanie, le 27 janvier 2022. (Reuters)
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Publié le Vendredi 28 janvier 2022

La neige recouvre les lieux saints de Jérusalem et ajoute à la misère des réfugiés

  • En Syrie, la neige a recouvert des camps abritant des personnes déplacées, dans le nord-ouest du pays
  • Les autorités jordaniennes exhortent les gens à rester chez eux et à éviter les routes alors que de fortes pluies gonflent les principaux barrages

AMMAN: Jérusalem et la Méditerranée orientale ont été recouvertes de neige jeudi après qu'une tempête hivernale a frappé la région.

Dans la Jordanie voisine, de fortes chutes de neige ont fermé des routes à Amman et rendu les conditions de conduite dangereuses dans une grande partie du pays.

Le service météorologique jordanien prévoit davantage de neige sur les hauteurs, ainsi qu’une nouvelle baisse des températures, en dessous de zéro.

Les Jordaniens se sont réveillés jeudi sous une épaisse couche de neige recouvrant les maisons et les allées. Dans la nuit de mercredi, la région a été touchée par une dépression venant de Grèce et de Turquie vers le bassin oriental de la Méditerranée, qui a coïncidé avec une vague polaire qui a frappé la Jordanie, la Palestine, la Syrie, le Liban et certaines parties de l'Arabie saoudite, de l'Égypte et de l'Irak.

En Syrie, la neige a recouvert les camps abritant des personnes déplacées dans le nord-ouest du pays, forçant les familles à se blottir sous des tentes dans des conditions glaciales.

Abou Hussan, qui vit avec sa famille dans un camp de fortune à l'extérieur de la ville de Jisr al-Shughur, a indiqué à l'AFP: «Nous avons été pris au piège dans la neige pendant quatre jours.»

Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU a déclaré qu'au moins 227 sites de déplacés dans tout le nord-ouest ont été touchés par les conditions hivernales extrêmes depuis le 18 janvier.

L'agence a ajouté que 545 tentes ont été détruites et 9 125 tentes endommagées par les chutes de neige, les inondations et les vents violents. Il en est de même pour les biens des personnes déplacées.

Les écoles de Jérusalem et du nord d'Israël ont fermé, laissant les enfants jouer librement dans la neige. Le service météorologique israélien a signalé que jusqu'à 25 centimètres de neige sont tombés mercredi soir. Il a fallu attendre midi pour que les chasse-neige rouvrent les principales autoroutes menant à Jérusalem par le nord, le sud et l'ouest.

Amman, ainsi que les régions du nord et du sud étaient couvertes de plusieurs centimètres de neige jeudi, les autorités exhortant les gens à rester chez eux et à éviter les routes, tout en avertissant que de nouvelles chutes pourraient avoir lieu dans les prochaines vingt-quatre heures.

Alors que les agriculteurs jordaniens se plaignaient du gel dévastant leurs cultures, avec les conditions météorologiques glaciales qui prévalaient quelques jours avant la dépression polaire, les récentes pluies ont augmenté les niveaux d'eau qui se trouvaient en forte diminution dans les principaux barrages de Jordanie.

Le ministère jordanien de l'Eau a déclaré jeudi que les dernières importantes pluies ont porté le volume global des précipitations pour la saison à 45% de la moyenne annuelle à long terme de la Jordanie, de 8,1 milliards de mètres cubes.

Un total de 2,4 millions de mètres cubes d'eau s'était déversé dans les dix principaux barrages de Jordanie jeudi matin, portant leur stockage à 98,5 millions de mètres cubes, soit 29,3% de leur capacité totale de 336,4 millions de mètres cubes, selon un communiqué du ministère.

Par ailleurs, le Centre national jordanien pour la sécurité et la gestion des crises a averti jeudi que le barrage de Waleh dans le gouvernorat de Madaba, qui était vide en novembre de l'année dernière, atteindrait probablement sa pleine capacité au cours des prochaines vingt-quatre heures. Les responsables du centre, qui surveillent l’état actuel de la neige, ont ajouté que le barrage n'était qu'à 2 millions de mètres cubes d’atteindre sa pleine capacité de 9 millions de mètres cubes.

La Jordanie a récemment mis en garde contre un déficit en eau prévu de 45 millions de mètres cubes en 2022.

Le 22 novembre, ce pays a signé une déclaration d'intention avec Israël et les Émirats arabes unis pour examiner la faisabilité d'un projet conjoint d'échange d’énergie contre de l’eau.

Défendant l'accord, le Premier ministre jordanien, Bisher al-Khasawneh, a mis en garde contre des niveaux «sans précédent» de pénuries d'eau, ajoutant que la Jordanie, pauvre en ressources, recevrait 200 millions de mètres cubes d'eau par an dans le cadre du projet proposé.

S'adressant à la chambre basse le 15 décembre, le Premier ministre a précisé que les ressources en eau annuelles de la Jordanie étaient inférieures à 80 mètres cubes par personne, ce qui est bien en dessous du seuil international de 500 mètres cubes par personne.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des progrès substantiels dans les négociations du Caire sur la trêve à Gaza

Un jeune garçon observe les parents de Palestiniens tués dans un bombardement israélien, pleurant près de leurs corps dans la cour de l'hôpital al-Najjar à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 3 mai 2024, dans le cadre du conflit actuel entre Israël et le mouvement Hamas. (AFP)
Un jeune garçon observe les parents de Palestiniens tués dans un bombardement israélien, pleurant près de leurs corps dans la cour de l'hôpital al-Najjar à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 3 mai 2024, dans le cadre du conflit actuel entre Israël et le mouvement Hamas. (AFP)
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  • La deuxième phase durera au moins six semaines, les deux parties acceptant de libérer un plus grand nombre d'otages et de prisonniers, et s'engageant également à un arrêt plus long des combats
  • Ahmed Moustafa, expert en sécurité et en politique, a déclaré à Arab News : « Selon mes informations, le Hamas a accepté la première phase de l'accord de cessez-le-feu à Gaza ».

LE CAIRE : Les pourparlers au Caire entre une délégation du Hamas et des médiateurs égyptiens ont fait des progrès substantiels vers un cessez-le-feu à Gaza, selon une source de haut rang.

Cette source, qui a préféré garder l'anonymat, a déclaré à la chaîne d'information du Caire que les représentants du Hamas et une délégation égyptienne, chargée de la sécurité, étaient parvenus à un consensus sur de nombreux points litigieux.

Quelques heures avant l'arrivée de la délégation du Hamas au Caire samedi, le général Abbas Kamel, chef de la direction des renseignements généraux égyptiens, a reçu un appel téléphonique du chef du mouvement, Ismail Haniyeh, concernant les négociations.

Ahmed Moustafa, expert en sécurité et en politique, a déclaré à Arab News : « Selon mes informations, le Hamas a accepté la première phase de l'accord de cessez-le-feu à Gaza ».

« Cela comprend la libération d'un certain nombre d'otages, avec l'assurance qu'Israël se retirera complètement de Gaza après 124 jours, à l'issue des trois étapes de l'accord majeur qui est coordonné ici au Caire ».

Moustafa a également déclaré que la délégation du Hamas au Caire devrait informer la partie égyptienne de son accord avec seulement des amendements mineurs.

« Je pense que le Hamas s'est mis d'accord sur certains termes avec les médiateurs égyptiens, et auparavant avec les médiateurs qataris sous les garanties américaines », a-t-il précisé.

Toutefois, Moustafa a indiqué que le refus d'Israël de mettre fin à la guerre à Gaza dans le cadre d'un accord sur les otages et sa détermination à éliminer ce qu'il reste du Hamas restent des « points de discorde majeurs ».

Selon Moustafa, un autre point de désaccord concerne l'autorisation de l'entrée dans l'enclave de matériaux à double usage, par exemple du matériel humanitaire qui pourrait également être utilisé à des fins de combat, tel le carburant.

Il a indiqué que la première phase, sur laquelle le Hamas « s'est provisoirement mis d'accord, durera jusqu'à 40 jours, au cours desquels 33 des plus de 100 otages israéliens détenus à Gaza depuis le 7 octobre seront libérés ».

La seconde phase durera au moins six semaines, les deux parties acceptant de libérer un plus grand nombre d'otages et de prisonniers et s'engageant également à interrompre plus longtemps les combats.

Aboud Jamal, chercheur en affaires palestiniennes, a déclaré à Arab News : « Le Hamas a annoncé vendredi soir que des accords avaient été conclus et qu'une délégation du mouvement se rendrait au Caire samedi pour obtenir un accord qui réponde aux exigences des Palestiniens ».

Jamal a ajouté : « Il est clair que les prochains jours devraient être marqués par un accord de cessez-le-feu et la libération de certains otages israéliens ».

« La seule question qui subsiste est celle de la position du gouvernement israélien, qui semble vouloir prolonger la guerre pour maintenir en place le gouvernement de (Benjamin) Netanyahou à la suite des récentes manifestations contre lui en Israël ».

Selon Jamal, le gouvernement israélien a tout intérêt à faire obstruction à tout accord.

« Ainsi, en envoyant sa délégation au Caire et en discutant de son acceptation des termes de l'accord potentiel par l'intermédiaire de médiateurs, le Hamas a devancé le gouvernement de Tel-Aviv, une initiative pour laquelle les dirigeants du mouvement doivent être félicités ».

Il a ajouté « qu’il semble que l'Égypte soit véritablement aux côtés du peuple palestinien et qu'elle soutienne la conclusion d'un accord garantissant un cessez-le-feu afin de sauver ce qui peut l'être de la vie des habitants de Gaza ».

« C'est ce qui ressort de la déclaration publiée par le Hamas avant que sa délégation de sécurité ne se rende au Caire, dans laquelle le chef du Hamas, Ismail Haniyeh, dit apprécier le rôle joué par l'Égypte ».

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Le ministre saoudien des Affaires étrangères réaffirme son soutien à la Palestine lors du forum de l'OCI en Gambie

Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume à un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, à des couloirs humanitaires sûrs et à la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, y compris leur droit à l'autodétermination et à un Etat indépendant. (SPA)
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  • Le prince Faiçal, qui participait à la 15e conférence islamique au sommet en Gambie, a appelé à la restructuration, au développement et à la réforme de l'Organisation de la coopération islamique
  • Le Prince Faiçal a également appelé à la restructuration, au développement et à la réforme de l'OCI

BANJUL, Gambie : Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Faiçal Ben Farhane, a réaffirmé samedi l'appel du Royaume en faveur d'un cessez-le-feu immédiat et durable à Gaza, de corridors humanitaires sûrs et de la réalisation des droits légitimes des Palestiniens, notamment leur droit à l'autodétermination et à un État indépendant.

Le prince Faiçal, qui participait à la 15e conférence islamique au sommet en Gambie, a également appelé à la restructuration, au développement et à la réforme de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) afin de relever les défis régionaux et internationaux.

Représentant le Gardien des deux saintes mosquées, le roi Salmane, le prince Faiçal a dirigé la délégation saoudienne à la conférence.

Dans son discours, il a regretté que le Conseil de sécurité des Nations unies et la communauté internationale n'aient pas réussi à mettre un terme aux attaques israéliennes contre les Palestiniens.

« La cause palestinienne est restée une priorité pour l'OCI depuis sa création », a déclaré le prince Faiçal.

« Il est regrettable de constater l'incapacité du Conseil de sécurité et de la communauté internationale à mettre un terme aux attaques israéliennes sans précédent, qui se sont intensifiées par des bombardements aveugles, la destruction d'hôpitaux, d'écoles, d'abris et d'infrastructures à Gaza, faisant des milliers de victimes parmi les civils innocents, dont des enfants, des femmes et des personnes âgées », a-t-il ajouté.

En marge du forum, le prince Faiçal a rencontré les ministres des Affaires étrangères iranien et pakistanais, respectivement Hossein Amir-Abdollahian et Ishaq Dar, pour discuter de la situation à Gaza.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Un médecin britanno-palestinien venu témoigner de la situation à Gaza refoulé en France

Mi-avril, le Dr Abu Sittah s'était vu interdire d'entrée en Allemagne, tout comme l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis (Photo, @dr.ghassan.as).
Mi-avril, le Dr Abu Sittah s'était vu interdire d'entrée en Allemagne, tout comme l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis (Photo, @dr.ghassan.as).
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  • Les autorités allemandes avaient justifié cette mesure par leur volonté «d'empêcher toute propagande antisémite et anti-israélienne»
  • Le Dr Ghassan Abu Sittah, qui a passé 43 jours à soigner à Gaza, notamment dans l'hôpital al-Chifa, devait participer à un colloque au Sénat

PARIS: Le recteur de l'université de Glasgow, Ghassan Abu Sittah, qui devait raconter au Sénat son expérience de médecin à Gaza depuis l'offensive israélienne, a décollé de Roissy pour rentrer à Londres samedi soir sans avoir pu entrer en France en raison d'une interdiction de l'espace Schengen émise par Berlin.

"Je suis à l'aéroport Charles De Gaulle. Ils m'empêchent d'entrer en France. Je suis censé prendre la parole au Sénat français aujourd'hui" samedi, avait-il déploré sur X samedi en fin de matinée. "Ils disent que les Allemands ont interdit mon entrée en Europe pendant un an", avait-il ajouté.

Une source policière avait confirmé à l'AFP qu'une "fiche d'interdiction de l'espace Schengen" émise par l'Allemagne empêchait son entrée à Paris. Il est finalement reparti à Londres en fin d'après-midi, a indiqué une autre source policière.

Mi-avril, le Dr Abu Sittah s'était vu interdire d'entrée en Allemagne, tout comme l'ex-ministre des Finances grec Yanis Varoufakis. Tous deux devaient participer à un "Congrès palestinien" à Berlin auquel la police allemande avait mis un terme une heure après son démarrage.

Questionnées au sujet de M. Varoufakis, des autorités allemandes avaient justifié cette mesure par leur volonté "d'empêcher toute propagande antisémite et anti-israélienne".

Dans une vidéo diffusée le jour-même sur X, le Dr Abu Sittah avait alors mentionné être interdit de territoire allemand "tout le mois d'avril". Il avait également dénoncé "la répression de la liberté d'expression en Allemagne", un pays selon lui "complice (de l'armée israélienne, NDLR) en faisant taire les témoins du génocide" à Gaza.

Censure

Le Dr Ghassan Abu Sittah, qui a passé 43 jours à soigner à Gaza, notamment dans l'hôpital al-Chifa, devait participer à un colloque au Sénat, organisé par la sénatrice écologiste Raymonde Poncet Monge.

"Scandaleux, @GhassanAbuSitt1 chirurgien plasticien et reconstructeur intervenu à #Gaza est empêché de participer à un colloque au @senat", a réagi Guillaume Gontard, président du groupe écologiste au Sénat, sur X.

Les organisateurs du colloque ont tenté, sans succès, d'intervenir auprès des cabinets de Gérald Darmanin et celui de Stéphane Séjourné" les ministres français de l'Intérieur et des Affaires étrangères.

Selon une source gouvernementale française, si une personne est signalée pour "non admission" dans le système d'information Schengen par un pays membre, elle n'est pas autorisée à entrer dans l'ensemble des pays de l'espace Schengen.

Le Sénat, en tant qu'institution n'était pas à l'origine de l'événement. Les groupes politiques sont libres d'organiser les colloques de leur choix.

Les forces israéliennes se sont retirées début avril de l'hôpital al-Chifa, dans lequel elles ont affirmé avoir lutté contre des combattants palestiniens lors d'une opération de deux semaines. Une mission dirigée par l'OMS avait fait état le 6 avril d'un hôpital réduit à une "coquille vide" parsemée de dépouilles humaines.