Un village pré-islamique découvert dans le désert saoudien

Al-Oshairah, qui est situé dans la vallée de Yanbu, est l'une des principales destinations utilisées par les pèlerins lorsqu'ils se rendent à La Mecque. L'équipe a jusqu'à présent documenté plus de 12 000 images aériennes. (Photo fournie)
Al-Oshairah, qui est situé dans la vallée de Yanbu, est l'une des principales destinations utilisées par les pèlerins lorsqu'ils se rendent à La Mecque. L'équipe a jusqu'à présent documenté plus de 12 000 images aériennes. (Photo fournie)
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Publié le Dimanche 02 janvier 2022

Un village pré-islamique découvert dans le désert saoudien

  • L'approche innovante et les efforts pour préserver les sites archéologiques et historiques de l'Arabie saoudite ont valu à Erth Aerial Photography Team le 1er prix des Prix Culturels Nationaux
  • On pense qu'Al-Oshairah dans la vallée de Yanbu est le lieu de la première bataille de l'Islam

DJEDDAH : Un village datant des premiers jours de l'Islam a été découvert à Yanbu par une équipe de passionnés saoudiens qui documentent le Royaume de manière innovante.

Le chef du projet, Abdelaziz Al-Dakheel, qui est le fondateur d’Erth Aerial Photography Team, a déclaré à Arab News que l'équipe a étudié de vastes zones de la région par télédétection et par hélicoptère à la recherche d'Al-Oshairah. «Après avoir découvert sa présence depuis les airs, l'équipe a ensuite trouvé la colonie qui gisait sous le sable», a-t-il déclaré.

On pense qu'Al-Oshairah est le lieu de la première bataille de l'Islam, où le prophète Mohammed et ses compagnons sont restés pendant plus d'un mois.

Fondée en 2015, Erth Aerial Photography Team, est une initiative documentaire nationale à but non lucratif qui documente l'Arabie saoudite depuis le ciel. Elle est composé de 13 membres aux compétences différentes : photographes, pilotes, guides, historiens et autres, qui souhaitent documenter diverses zones topographiques et géographiques du Royaume à l'aide d'un avion à parachute motorisé et d'autres technologies.

Al-Oshairah, qui est situé dans la vallée de Yanbu, est l'une des principales destinations utilisées par les pèlerins lorsqu'ils se rendent à La Mecque. L'équipe a jusqu'à présent documenté plus de 12 000 images aériennes. (Photo fournie)

Lorsque Erth Aerial Photography Team a commencé à rechercher Al-Oshairah, elle a suivi les recherches d'Abdel Ullah Al-Aiashi, un historien de l'équipe, qui a suggéré un emplacement différent de celui qui est devenu généralement accepté.

Après avoir rassemblé tous les détails, l'équipe a utilisé des images satellites et des photographies aériennes afin d’effectuer des recherches dans différents endroits de la région.

« Certains lieux sont importants pour l'islam tandis que d'autres sont issus de la période préislamique, comme Mada'in Saleh, la région d'AlUla vieille de 2 000 ans et les paysages naturels de la région occidentale, notamment les volcans et les puits. »

Abdelaziz Al-Dakheel, fondateur d’ Erth Aerial Photography Team

«Après 75 minutes de vol, l'équipe a pu découvrir un village en ruines qui serait Al-Oshirah, mentionné dans la Sunnah de la biographie du noble Prophète».

«Notre équipe est composée de personnes qui contribuent aux missions en fournissant tous les détails nécessaires. Abdel Ullah Al-Aiashi nous a conduits à l'emplacement d'Al-Oshairah, qui est situé dans la vallée de Yanbu. C'est l'une des principales destinations utilisées par les pèlerins lorsqu'ils se rendent à La Mecque», a expliqué Al-Dakheel.

Dans leurs missions de documentation, l'équipe utilise un parachute motorisé biplace et un autogire biplace. (Photo fournie)

«Vous ne pouvez pas trouver le site de la bataille ou reconnaître le village dans lequel elle s'est déroulée, mais nous avons pu distinguer certaines structures de piliers de l'ancien village à vol d'oiseau».

Erth Aerial Photography Team laissera l'étude du site et la validité de sa revendication pour le site du champ de bataille aux autorités compétentes.

Al-Dakheel a affirmé que chaque jour, ils trouvent de nouveaux sites archéologiques et des monuments cachés ou perdus qui sont souvent d'un grand intérêt.

«Nous documentons différentes civilisations historiques du Royaume, principalement dans la région occidentale, comme les châteaux et les tombeaux. Nous documentons également les monuments religieux et historiques de la péninsule arabique. Certains lieux sont importants pour l'islam tandis que d'autres sont issus de la période préislamique, comme Mada'in Saleh, la région d'AlUla vieille de 2 000 ans et les paysages naturels de la région occidentale, notamment les volcans et les puits».

Il a de plus révélé que le mois dernier, l'équipe avait découvert l'ancienne ville d'Al-Juhfa, située sur la rive gauche du Wadi Al-Ghaidah, à l'est de la ville de Rabigh dans la région de La Mecque. Elle se trouve à environ 5 km au nord du Miqat Al-Juhfa sur une crête rocheuse. «Elle a prospéré il y a des centaines d'années, mais le sable l'a inondé, ne laissant qu'une partie d'un seul bâtiment».

«Les vestiges appartiennent à une forteresse appelée Alia Palace, dont le style architectural remonte à l'époque abbasside et elle est toujours recouvert de sable, avec de nombreux morceaux de poterie et de verre éparpillés sur le site».

Al-Dakheel a expliqué que l'équipe a surmonté tant d'obstacles mais continuera contre vents et marées :«C'est un long processus d'essais et d'erreurs. Cela en vaut la peine, car les images de ces monuments historiques valent mille mots et contribuent grandement à préserver l'histoire de l'Arabie saoudite».

Dans leurs missions de documentation, l'équipe utilise un parachute motorisé biplace et un autogire biplace.

Leur approche innovante et leurs efforts pour préserver les sites archéologiques et historiques de l'Arabie saoudite ont valu à Erth Aerial Photography Team le premier prix des Prix Culturels Nationaux.

«Il est de notre devoir en tant qu'explorateurs passionnés de documenter et de montrer la beauté de notre pays. Pour nous, ce n'est pas une entreprise, nous apprécions ce que nous faisons depuis les airs et nous visons à sensibiliser les gens à tous ces points de repère», a soutenu Al-Dakheel.

L'équipe a jusqu'à présent documenté plus de 12 000 images aériennes dans 50 endroits différents.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Gigi Hadid défile pour Miu Miu et s'exprime sur la coparentalité avec Zayn Malik

Gigi Hadid a défilé pour Miu Miu lors de la semaine de la mode à Paris. (Getty Images)
Gigi Hadid a défilé pour Miu Miu lors de la semaine de la mode à Paris. (Getty Images)
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  • Le mannequin américain d'origine palestinienne, Gigi Hadid, a défilé pour Miu Miu lors de la semaine de la mode à Paris
  • Cette semaine, Hadid a fait la une des journaux en évoquant sa relation avec son ex-compagnon, Zayn Malik

DUBAI : Le mannequin américain d'origine palestinienne, Gigi Hadid, a défilé pour Miu Miu lors de la semaine de la mode à Paris, portant un mélange de tailleur classique et de style moderne avec une touche de vintage.

Elle a porté une robe-manteau anthracite à double boutonnage, à la silhouette structurée et surdimensionnée. Le look était complété par un chapeau inspiré des années 1920 qui se noue sous le menton.

La tenue était complétée par des boucles d'oreilles pendantes en or, des chaussettes froissées jusqu'aux genoux dans un ton olive discret et des mocassins en cuir marron.

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Elle portait une robe-manteau anthracite à double boutonnage, à la silhouette structurée et surdimensionnée. (Getty Images)

Chez Miu Miu, la marque emblématique de Miuccia Prada, le féminin est non seulement célébré, mais aussi déconstruit, réinventé et porté avec une touche espiègle.

Les silhouettes flottent autour du corps plutôt que d'y adhérer, sculptées par des plis, des drapés et des courbes étudiées. Les soutiens-gorge, qui n'étaient plus cachés, sont devenus des vêtements à part entière.

Le tailleur s'affaisse sur les épaules et les étoles de fourrure, les broches et les lourds bracelets transforment le quotidien en quelque chose de significatif, rappelant que la féminité - qu'elle soit douce ou vive - est toujours une force.

Outre Hadid, Prada, réputée pour son casting de mannequins et de stars hollywoodiennes, a fait défiler un mélange de visages familiers et d'égéries débutantes - Raffey Cassidy et Sarah Paulson - brouillant à chaque pas la frontière entre la mode et le cinéma.

ASAP Rocky, perché au premier rang dans une position nonchalante, s'est imprégné de la scène, tandis que Sydney Sweeney, enveloppée dans la dernière ode à la féminité de Miu Miu, rayonnait du vieil Hollywood et de l'espièglerie moderne, a rapporté l'agence AP.

Cette semaine, Hadid a fait la une des journaux en évoquant sa relation avec son ex-compagnon, Zayn Malik.

Aujourd'hui, des années après la fin de leur relation, qui a duré six ans, leur priorité reste la coparentalité de leur fille de quatre ans, Khai.

"Zayn et moi établissons notre calendrier de garde des mois à l'avance", a déclaré le mannequin dans une interview accordée à Vogue. "Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas de changements, mais nous nous aidons mutuellement et nous nous soutenons l'un l'autre".

Hadid a déclaré qu'elle et Malik ont trouvé un moyen de gérer les perceptions publiques de leur passé ensemble.

"Il est difficile pour le monde d'en savoir autant et de croire qu'il sait tout", a déclaré le mannequin. "Au final, nous n'avons pas l'intention de partager toute notre histoire avec tout le monde."

"Ce qui compte pour nous, c'est de prendre soin de notre fille ensemble", a-t-elle ajouté. "Avec beaucoup de respect l'un pour l'autre, pas seulement en tant que co-parents, mais aussi pour tout ce que nous avons vécu ensemble."

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Faire revivre les recettes – les aliments traditionnels égayent les plats de l'iftar

Les tables du Royaume présentent une grande diversité pendant le mois sacré, les familles se transmettant les traditions culinaires de génération en génération. (Images Getty)
Les tables du Royaume présentent une grande diversité pendant le mois sacré, les familles se transmettant les traditions culinaires de génération en génération. (Images Getty)
Les jeunes sont attirés par les aliments traditionnels grâce aux réseaux sociaux. (Instagram/mocculinaire)
Les jeunes sont attirés par les aliments traditionnels grâce aux réseaux sociaux. (Instagram/mocculinaire)
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  • La Commission des arts culinaires a joué un rôle important dans la préservation des plats traditionnels en organisant un certain nombre d'événements et de festivals 
  • Elle a également documenté les méthodes de préparation et les traditions culturelles, soutenu les entrepreneurs et publié des livres et des vidéos

DJEDDAH/RIYAD: Le Ramadan contribue à faire revivre les plats traditionnels en Arabie saoudite, de nombreuses familles préparant des mets propres à leur région.

Les tables du Royaume présentent une grande diversité pendant le mois sacré, les familles transmettant les traditions culinaires de génération en génération.

Le lien entre le Ramadan et ces plats traditionnels est ancré dans les coutumes, mais leur valeur nutritionnelle joue également un rôle clé. Souvent riches en ingrédients énergétiques tels que les viandes et les légumes, ils fournissent des nutriments essentiels qui reconstituent l'organisme après une longue journée de jeûne.

Dans les frontières du Nord, Al-Khumei'ah est un plat bien connu, tandis que la province orientale est réputée pour ses harees (soupe de blé et de viande cuite lentement), selon la Commission des arts culinaires du Royaume.

Le plat emblématique de Riyad est le marqooq (pâte fine avec de la viande, des oignons et un bouillon épicé), tandis que Qassim est connu pour sa pâtisserie Al-Tawah.

À Tabuk, la mafroukah (pâte avec des dattes, du miel et du beurre) est un choix populaire, tandis que Jazan est réputé pour le poisson makshan, cuit avec des oignons et des épices.

Hail propose Al-Baseesa (boules de pâte avec de la pâte de dattes), et Asir est connu pour le tasabee' (mélange de farine, de lait et de sucre).

Najran propose Al-Wafd et Al-Maraq (boules de pâte), tandis que La Mecque est connue pour sa soupe d'orge rouge. À Médine, le sobiyah est une boisson traditionnelle très appréciée, à base d'orge ou d'avoine.

Al-Baha est connu pour son pain maraqa, tandis que Jouf est spécialisé dans le pain saj, un pain plat sans levain.

Les jeunes sont attirés par les aliments traditionnels grâce aux réseaux sociaux.

«Le fait de vivre à une époque où tout le monde essaie de suivre les tendances et de rivaliser pour savoir qui a fait le mieux, ainsi que la culture du partage des photos, constituent une grande motivation. Mais je ne peux pas nier que la nostalgie et la connexion émotionnelle jouent également un rôle important», a déclaré Maryam al-Oufi.

Loza al-Mahdi et Eman al-Hussaini, une mère et une fille de l'ouest de l'Arabie saoudite, pensent que ces plats représentent des souvenirs importants.

«Peu importe le nombre de nouvelles recettes que nous essayons, les plats traditionnels ont une place spéciale parce qu'ils nous rappellent des souvenirs d'enfance et nous relient au passé.»

Le maamoul, une pâtisserie fourrée aux dattes qui revêt une grande importance culturelle et spirituelle, reste un plat de base incontournable pendant le Ramadan.

Al-Mahdi a déclaré: «Aucun Ramadan n'est complet sans le maamoul. C'est un plat qui rassemble toute la famille.»

Des plateformes comme TikTok et X ont facilité le partage et la préservation des recettes traditionnelles. «Partager des recettes sur TikTok ou même poster des photos de plats sur X y contribue vraiment», explique Al-Oufi.

«Lorsque nous voyons des photos et des vidéos intéressantes, nous avons envie de goûter à nouveau à ces plats et de faire revivre des recettes disparues.»

Pour beaucoup, la cuisine du Ramadan est une question d'héritage familial. «Les familles ont le choix entre perpétuer la tradition et la transmettre aux générations futures ou l'enterrer», explique Al-Oufi.

Al-Mahdi a souligné l'importance de l'apprentissage pratique: «Je veille à enseigner à mes enfants comment cuisiner correctement, comme je l'ai appris de ma mère et de ma grand-mère.»

Certains plats ont une valeur sentimentale profonde. Al-Oufi se souvient du souci du détail de sa grand-mère: «Ma grand-mère était très pointilleuse sur la nourriture, en particulier sur la taille et la forme des luqaimat. Ma grand-mère est décédée, mais ses règles survivent dans notre esprit.»

De même, Al-Hussaini nous fait part d'un plat qui lui tient à cœur: «L'un des plats les plus importants que je dois préparer pendant le Ramadan, et que mes enfants adorent, est le Jaib al-Tajir (poche du marchand).»

La Commission des arts culinaires a joué un rôle important dans la préservation des plats traditionnels en organisant un certain nombre d'événements et de festivals qui mettent en valeur la cuisine patrimoniale saoudienne.

Elle a également documenté les méthodes de préparation et les traditions culturelles, soutenu les entrepreneurs et publié des livres et des vidéos, contribuant ainsi à susciter l'intérêt pour les aliments traditionnels.

Les marchés et les restaurants traditionnels jouent également un rôle majeur dans la préservation de ces plats, en offrant aux visiteurs la possibilité de découvrir des saveurs authentiques et en promouvant la culture alimentaire traditionnelle à travers les générations.

La Commission des arts culinaires promeut les aliments traditionnels pendant le Ramadan en partageant un contenu spécial sur les réseaux sociaux et sur son site web.

Il s'agit notamment de mettre en avant les plats traditionnels du Ramadan, leurs méthodes de préparation, leurs origines historiques et leur signification culturelle.

En partageant ces connaissances, la commission encourage la communauté à apprécier et à préserver le patrimoine culinaire saoudien pendant le Ramadan.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Le Louvre Abou Dhabi inaugure la 5e édition de l’exposition « Art Here » et du Richard Mille Art Prize

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  • Le Louvre Abou Dhabi a annoncé la cinquième édition de son exposition annuelle « Art Here », élargissant son champ d'action aux artistes contemporains du CCG, du Japon et de la région MENA
  • Organisée en collaboration avec l'horloger suisse Richard Mille, l'exposition de cette année explore le thème des "Shadows", en réfléchissant à l'interaction de la lumière et de l'obscurité dans l'architecture, l'art et la poésie

ABOU DHABI : Le Louvre Abou Dhabi a annoncé la cinquième édition de son exposition annuelle « Art Here », élargissant son champ d'action aux artistes contemporains du CCG, du Japon et de la région MENA ayant un lien avec le CCG.

Organisée en collaboration avec l'horloger suisse Richard Mille, l'exposition de cette année explore le thème des "Shadows", en réfléchissant à l'interaction de la lumière et de l'obscurité dans l'architecture, l'art et la poésie.

Sous le commissariat de l'artiste suisse d'origine japonaise Sophie Mayuko Arni, « Art Here » 2025 invite les artistes spécialisés dans la sculpture et les installations immersives en plein air à soumettre leurs propositions du 26 février au 30 avril.

L'exposition présentera des œuvres d'art sous le dôme emblématique du musée, en s'inspirant de l'esthétique traditionnelle du golfe Persique et du Japon. Le concept d'In'Ei (ombre en japonais) s'aligne sur les éléments architecturaux régionaux tels que les fenêtres à moucharabieh et les écrans shoji, soulignant la beauté de l'ombre et de la lumière.

Manuel Rabaté, directeur du Louvre Abou Dhabi, a souligné l’importance de l'exposition et son rôle dans la promotion des échanges culturels : "Cette année, nous sommes ravis d'étendre notre appel au Japon, élargissant ainsi les horizons géographiques et culturels de l'exposition. Avec des sculptures et des installations adaptées aux espaces extérieurs, cette édition continue de célébrer l'évolution du dialogue entre les cultures".

Peter Harrison, directeur général de Richard Mille EMEA, a souligné l'étape franchie après cinq années d'excellence artistique, en insistant sur l'importance de l'inclusion d'artistes japonais : "L'art reste une force puissante pour unir des perspectives diverses, favoriser un dialogue significatif et inspirer la créativité à l'échelle mondiale."

L'exposition sert de plateforme aux artistes pour réinterpréter la façon dont les ombres façonnent notre perception de l'espace et de la forme, encourageant ainsi les expressions artistiques innovantes. Les œuvres sélectionnées concourront pour le prestigieux Richard Mille Art Prize.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.jp