Turab, une nouvelle marque libanaise éco-responsable

Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables comme le lin. (Photo, fournie)
Short Url
Publié le Mercredi 08 décembre 2021

Turab, une nouvelle marque libanaise éco-responsable

  • En pleine crise économique, deux Libanais, Joseph Haykal et George Broummana, lancent Turab, une marque à la dimension éco-responsable forte et au concept novateur
  • Tous les détails sont minutieusement faits à la main par des artisans libanais

MONTRÉAL: La mode évolue constamment. À l'heure actuelle, elle se soucie de son impact sur l'environnement et emprunte un virage éthique et écologique sans précédent.  

En pleine effervescence créative, mais écartelés par une profonde crise socioéconomique, deux Libanais, Joseph Haykal et George Broummana, lancent Turab, une marque à la dimension éco-responsable forte et au concept novateur, qui est désormais sur toutes les lèvres des férus de la mode au pays des Cèdres.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

A post shared by TURAB (@we.are.turab)

 

Les visages derrière Turab!

Issu de milieux multidisciplinaires de l'architecture et du conseil aux entreprises, Joseph et George sont tous les deux passionnés de vêtements et de mode. Raisons pour lesquelles ils ont décidé de créer une marque située au cœur de leur ville natale, Beyrouth. 

En tant que jeunes voyageurs, les fondateurs ont puisé leur inspiration dans différents pays visités à travers leurs cultures, ce qui les a motivés à traduire leur vision avec des designs minimalistes et raffinés, tout en célébrant leur héritage comme jeunes hommes arabes. 

Une mode éthique 

Les vêtements de Turab sont confectionnés avec des matériaux haut de gamme éco-responsables, en particulier le lin, cette matière naturelle qui n’a pas été mélangée avec des fibres synthétiques, et qui est totalement biodégradable. 

Ses vêtements semblent résister à l'épreuve du temps et ne jamais perdre de leur aura mode. Tous les détails sont minutieusement faits à la main par des artisans libanais. Un pari gagnant. 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

A post shared by TURAB (@we.are.turab)

Simplicité et harmonie avec la nature

En matière de responsabilité sociale, « Turab permet à chacun de libérer son style pour pouvoir s’associer librement à ses vêtements et à ses propres valeurs. Cette marque inclusive nous engage pour une vie simple et libre dans un style d'identité neutre et des vêtements tout confort », peut-on lire sur la page Instagram de Turab.

Les produits se déclinent dans une palette de couleurs construite sur la combinaison de teintes de caractère: argile ocre, sable crème, calcaire, havane... Des couleurs claires ou foncées à découvrir pour un retour aux racines, à la nature. 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

A post shared by TURAB (@we.are.turab)

Turab, un pop-up ambulant 

Conçue et produite au pays des Cèdres, la marque a complètement intégré le pop-up store à sa stratégie retail. Actuellement, on peut la trouver à Twiggy Dubaï, FLTRD Dubaï, Neely à Villa Felt en Égypte, The Slow et Lemon Haze au Liban.

Page Instagram : @we.are.turab 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

A post shared by TURAB (@we.are.turab)

 


«Effroi» du Festival de Cannes après la mort d'une photojournaliste palestinienne

La photojournaliste de 25 ans, Fatima Hassouna, est au centre du documentaire "Put your soul on your hand and walk" de la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi. L'Acid (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion), l'une des sélections parallèles au Festival de Cannes, avait annoncé mardi 15 avril avoir retenu ce film.  "Le lendemain, (Fatima Hassouna) ainsi que plusieurs membres de sa famille, ont été tués par un missile qui a frappé leur habitation", a rappelé le Festival de Cannes dans une déclaration à l'AFP. (AFP)
La photojournaliste de 25 ans, Fatima Hassouna, est au centre du documentaire "Put your soul on your hand and walk" de la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi. L'Acid (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion), l'une des sélections parallèles au Festival de Cannes, avait annoncé mardi 15 avril avoir retenu ce film. "Le lendemain, (Fatima Hassouna) ainsi que plusieurs membres de sa famille, ont été tués par un missile qui a frappé leur habitation", a rappelé le Festival de Cannes dans une déclaration à l'AFP. (AFP)
Short Url
  • La photojournaliste de 25 ans, Fatima Hassouna, est au centre du documentaire "Put your soul on your hand and walk" de la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi
  • Elle "s'était donné pour mission de témoigner, par son travail, son engagement et malgré les risques liés à la guerre dans l'enclave palestinienne, de la vie quotidienne des habitants de Gaza en 2025

PARIS: Le Festival de Cannes a exprimé mercredi "son effroi et sa profonde tristesse" après la mort d'une photojournaliste palestinienne, protagoniste d'un film qui doit être présenté cette année sur la Croisette et de plusieurs membres de sa famille, tués par un missile à Gaza.

La photojournaliste de 25 ans, Fatima Hassouna, est au centre du documentaire "Put your soul on your hand and walk" de la réalisatrice iranienne Sepideh Farsi. L'Acid (Association du cinéma indépendant pour sa diffusion), l'une des sélections parallèles au Festival de Cannes, avait annoncé mardi 15 avril avoir retenu ce film.

"Le lendemain, (Fatima Hassouna) ainsi que plusieurs membres de sa famille, ont été tués par un missile qui a frappé leur habitation", a rappelé le Festival de Cannes dans une déclaration à l'AFP.

Elle "s'était donné pour mission de témoigner, par son travail, son engagement et malgré les risques liés à la guerre dans l'enclave palestinienne, de la vie quotidienne des habitants de Gaza en 2025. (Elle) est l'une des trop nombreuses victimes de la violence qui embrase la région depuis des mois".

"Le Festival de Cannes souhaite exprimer son effroi et sa profonde tristesse face à cette tragédie qui a ému et choqué le monde entier. Si un film est bien peu de chose face à un tel drame, (sa projection à l'Acid à Cannes le 15 mai) sera, en plus du message du film lui-même, une manière d'honorer la mémoire (de la jeune femme), victime comme tant d'autres de la guerre", a-t-il ajouté.

La réalisatrice Sepideh Farsi a rendu hommage jeudi dernier à la jeune femme, qui lui racontait, par appels vidéo, la vie à Gaza. "Je demande justice pour Fatem (ou Fatima, NDLR) et tous les Palestiniens innocents qui ont péri", a-t-elle écrit.

Reporters sans Frontières avait dénoncé sa mort, regrettant que son nom "s'ajoute aux près de 200 journalistes tués en 18 mois".

La guerre a été déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, laquelle a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Selon le ministère de la Santé du Hamas, 51.266 Palestiniens ont été tués à Gaza depuis le début de la guerre.


La danse des dauphins, vedette des îles Farasan

L'observation des dauphins renforce l'attrait croissant des îles Farasan pour l'écotourisme. (SPA)
L'observation des dauphins renforce l'attrait croissant des îles Farasan pour l'écotourisme. (SPA)
Short Url
  • L'observation de 5 espèces de dauphins met en évidence la biodiversité
  • Il est vital de coexister avec la vie marine, déclare un pêcheur local

RIYADH : L'observation de plus de cinq espèces de dauphins a renforcé la réputation des îles Farasan en tant que lieu de visite incontournable pour les amateurs de nature et d'animaux sauvages, a récemment rapporté l'agence de presse saoudienne.

Parmi les espèces observées, les grands dauphins et les dauphins à long bec volent la vedette. Les dauphins à long bec, connus pour leur nature enjouée, s'approchent souvent des croisières de loisir, ravissant les gens par leur charme.

Le pêcheur saoudien Mohammed Fursani, qui navigue dans ces eaux depuis longtemps, y voit un lien plus profond.


Le pianiste Igor Levit va donner un concert de plus de 16 heures à Londres

L'Allemand Igor Levit, qui est à 38 ans l'un des pianistes virtuoses de sa génération, avait déjà fait sensation en jouant "Vexations" dans son studio à Berlin pendant 20 heures d'affilée lors du confinement. L'objectif de cet événement filmé en direct était de lever des fonds pour les musiciens freelance touchés par la pandémie de Covid-19. (AFP)
L'Allemand Igor Levit, qui est à 38 ans l'un des pianistes virtuoses de sa génération, avait déjà fait sensation en jouant "Vexations" dans son studio à Berlin pendant 20 heures d'affilée lors du confinement. L'objectif de cet événement filmé en direct était de lever des fonds pour les musiciens freelance touchés par la pandémie de Covid-19. (AFP)
Short Url
  • Le centre Southbank, qui organise le concert, le présente comme "un exploit d'endurance"
  • "Vexations" du compositeur français Erik Satie (1866-1925) est une partition d'une seule page destinée à être jouée 840 fois d'affilée

LONDRES: Le pianiste Igor Levit va donner jeudi et vendredi à Londres un concert unique, prévu pour durer plus de 16 heures, en jouant en solo "Vexations" d'Erik Satie, sous la direction de l'artiste Marina Abramovic, connue pour ses performances radicales.

Le centre Southbank, qui organise le concert, le présente comme "un exploit d'endurance".

"Vexations" du compositeur français Erik Satie (1866-1925) est une partition d'une seule page destinée à être jouée 840 fois d'affilée. Elle se traduit ainsi par une performance durant entre 16 et 20 heures. Habituellement, plusieurs pianistes se succèdent pour jouer ce morceau sans interruption.

L'Allemand Igor Levit, qui est à 38 ans l'un des pianistes virtuoses de sa génération, avait déjà fait sensation en jouant "Vexations" dans son studio à Berlin pendant 20 heures d'affilée lors du confinement. L'objectif de cet événement filmé en direct était de lever des fonds pour les musiciens freelance touchés par la pandémie de Covid-19.

C'est la première fois qu'il va jouer ce morceau en intégralité en public.

Le public va être "témoin (d'un moment) de silence, d'endurance, d'immobilité et de contemplation, où le temps cesse d'exister", a commenté Marina Abramovic, artiste serbe de 78 ans. "Igor interprète +Vexations+ avec des répétitions infinies, mais une variation constante", a-t-elle ajouté.

Le rôle de Marina Abramovic, connue pour ses performances qui poussent les spectateurs dans leurs retranchements, est de "préparer le public à cette expérience unique".

Erik Satie avait lui écrit à propos du morceau à l'adresse des pianistes: "Pour jouer 840 fois de suite ce motif, il sera bon de se préparer au préalable, et dans le plus grand silence, par des immobilités sérieuses".

Dans une interview au quotidien britannique The Guardian, Igor Levit a encouragé son public à "se laisser aller". "C'est juste un espace vide, alors plongez dedans", a-t-il dit.

Les spectateurs pourront assister au concert soit pour une heure soit dans sa totalité. Il commencera jeudi à 10H00 (09H00 GMT).