NATIONS-UNIES: Le président irakien Barham Saleh a dénoncé mercredi, à l'Assemblée générale de l'ONU, les ingérences étrangères en Irak au moment où le pays est confronté aux tensions entre groupes armés pro-Iran et Américains.
« Nous ne voulons pas que l'Irak devienne un terrain de jeu pour d'autres forces qui s'entretueront sur notre territoire. Nous avons souffert de suffisamment de guerres et d'attaques contre notre souveraineté », a-t-il dit dans son discours enregistré à l'avance et diffusé à l'occasion de la réunion annuelle.
« La lutte contre les groupes hors-la-loi et le contrôle des armes font partie d'un combat acharné de l'Etat irakien », a-t-il ajouté. « Nous sommes confrontés à des groupes anarchiques, des groupes extrémistes, des éléments extrémistes. Nos défis sont ardus », a-t-il reconnu.
Les bombes et les roquettes visant les Américains depuis un an ont mis une pression supplémentaire sur le gouvernement irakien, qui a promis de contrôler les groupes pro-iraniens farouchement hostiles aux Etats-Unis.
Le discours du président irakien intervient au moment où l'armée américaine vient d'annoncer une nouvelle réduction de ses effectifs en Irak, conformément aux promesses du président Donald Trump qui brigue un second mandat en novembre et veut « mettre fin aux guerres sans fin ».
Les militaires américains vont passer d'environ 5 200 à 3 000 durant le mois de septembre.
Début septembre, Washington avait justifié ce retrait par les succès dans la formation des soldats irakiens et dans la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique.
« La lutte antiterroriste est loin d'être terminée. L'extrémisme transnational continue d'exister dans la forme de cellules dormantes disséminées à travers notre pays, notamment dans les régions désertiques », a mis en garde Barham Saleh. « Nous ne devons pas sous-estimer le danger que représente le terrorisme, et le risque qu'il réémerge. »
Le président irakien Barham Saleh a dénoncé mercredi, à l'Assemblée générale de l'ONU, les ingérences étrangères en Irak au moment où le pays est confronté aux tensions entre groupes armés pro-Iran et Américains.
« Nous ne voulons pas que l'Irak devienne un terrain de jeu pour d'autres forces qui s'entretueront sur notre territoire. Nous avons souffert de suffisamment de guerres et d'attaques contre notre souveraineté », a-t-il dit dans son discours enregistré à l'avance et diffusé à l'occasion de la réunion annuelle.
« La lutte contre les groupes hors-la-loi et le contrôle des armes font partie d'un combat acharné de l'Etat irakien », a-t-il ajouté. « Nous sommes confrontés à des groupes anarchiques, des groupes extrémistes, des éléments extrémistes. Nos défis sont ardus », a-t-il reconnu.
Les bombes et les roquettes visant les Américains depuis un an ont mis une pression supplémentaire sur le gouvernement irakien, qui a promis de contrôler les groupes pro-iraniens farouchement hostiles aux Etats-Unis.
Le discours du président irakien intervient au moment où l'armée américaine vient d'annoncer une nouvelle réduction de ses effectifs en Irak, conformément aux promesses du président Donald Trump qui brigue un second mandat en novembre et veut « mettre fin aux guerres sans fin ».
Les militaires américains vont passer d'environ 5 200 à 3 000 durant le mois de septembre.
Début septembre, Washington avait justifié ce retrait par les succès dans la formation des soldats irakiens et dans la lutte contre le groupe jihadiste Etat islamique.
« La lutte antiterroriste est loin d'être terminée. L'extrémisme transnational continue d'exister dans la forme de cellules dormantes disséminées à travers notre pays, notamment dans les régions désertiques », a mis en garde Barham Saleh. « Nous ne devons pas sous-estimer le danger que représente le terrorisme, et le risque qu'il réémerge. »