Deux explosions ont détruit une grande partie du théâtre, causées par "quelque chose de très gros: deux bombes de 500 kilos" issues d'une "frappe aérienne"
Amnesty dénonce une attaque "délibérée" contre un site accueillant des centaines d'innocents, devant lequel le mot "enfant" était écrit en grandes lettres blanches
Trois mois de combats ont laissé un paysage apocalyptique dans de nombreux quartiers, mis en fuite des centaines de milliers d'habitants et fait un nombre inconnu, mais sans doute énorme, de morts
En ce 18 mai, on n'entend plus les incessantes canonnades des semaines précédentes, car sur le site sidérurgique d'Azovstal, les derniers soldats ukrainiens se rendent
«Depuis le 16 mai, 2 439 nazis du (régiment) Azov et militaires ukrainiens bloqués dans l'usine se sont rendus. Aujourd'hui, 20 mai, le dernier groupe composé de 531 combattants s'est rendu», a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense
Igor Konachenkov a assuré que le chef des combattants du régiment Azov sur place s'était rendu
Mantas Kvedaravičius, à qui l’on doit Barzakh (2011), Mariupolis (2016) et Parthenon (2019), a été tué en tentant de quitter Marioupol, ville portuaire du sud-est de l'Ukraine
Cette réunion «sur la détérioration de la situation des droits de l'homme en Ukraine à la suite de l'agression russe» a été demandée par Kiev
Le projet de résolution dénonce «le nombre alarmant de victimes civiles causées par l'agression contre l'Ukraine» et condamne les attaques contre les civils et les infrastructures civiles