Lors des derniers JO à Tokyo, 450 millions d'attaques et 4,4 milliards de menaces cyber ont été recensées, soit 800 par seconde, dans une capitale pourtant placée sous bulle sanitaire, sans spectateurs
«Les Jeux olympiques et paralympiques, c'est deux fois 15 jours. En 15 jours, on ne peut pas reconstruire un système d'information qui aurait été détruit par un rançongiciel», expliquait aux sénateurs Emmanuel Naëgelen
A six mois et demi des JO d'été (26 juillet - 11 août), la maire PS indique que la plus grande place de la capitale «sera offerte à la promenade depuis les Tuileries jusqu'à l'obélisque», à l'issue des Jeux
La place de la Concorde accueillera les épreuves des sports dits urbains (BMX freestyle, breakdance, skateboard et basket à trois) des JO de Paris, ainsi que la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques (28 août - 8 septembre)
Autorisées par la loi olympique de 2023, les caméras dites «intelligentes» permettent notamment de signaler des «mouvements de foule» suspects, «des départs de feux» ou «la présence d'une personne dans une zone interdite»
Les événements sous surveillance devront être détectés sans recourir à des techniques de reconnaissance faciale ou de biométrie, un engagement du gouvernement
L'an passé, c'est la chaîne d'information en continu BFMTV qui avait diffusé en exclusivité le feu d'artifice organisé par la Ville de Paris
France Télévisions a «remporté l'appel d'offres de la Ville de Paris» pour cette «soirée exceptionnelle» qui devrait attirer un million de personnes sur les Champs-Elysées
Créée pour la première fois en 2016, à l’occasion des Jeux de Rio, l’équipe olympique, et celle paralympique des réfugiés sera présente pour la troisième fois aux Jeux en 2024
Ce «sera un honneur pour la France d'offrir les meilleures conditions d’entraînement à l’équipe paralympique des réfugiés, symbole de l’autonomisation et de la résilience par le sport»