La maire de la capitale alsacienne rappelle avoir « conditionné le versement d'une subvention à la confirmation par l'association de son inscription dans les principes républicains et à la présentation d'un plan de financement transparent et consolidé»
La préfète du Bas-Rhin Josiane Chevalier avait ainsi saisi début avril le tribunal administratif de la « délibération litigieuse » du conseil municipal de Strasbourg
Un parti islamiste radical, Tehreek-e-Labbaik Pakistan (TLP), a partiellement bloqué en début de semaine les deux plus grandes villes du pays, Lahore et Karachi, ainsi que la capitale Islamabad, pour réclamer l'expulsion de l'ambassadeur de France.
Les manifestations ont été violemment réprimées par la police et ont fait au moins deux morts du côté des policiers
La Cour de cassation a confirmé l'irresponsabilité pénale du meurtrier de Sarah Halimi, une sexagénaire juive tuée en 2017 à Paris, entérinant ainsi l'absence de procès pour le jeune homme
Les avocats du frère de Mme Halimi ont annoncé leur intention de saisir la Cour européenne des droits de l'Homme
Dans une décision du 6 avril, la justice administrative a annulé le refus du permis de construire d’une école musulmane
Le maire a regretté être «démuni» pour «contrer l'installation d'associations ou d'entreprises pilotées par des puissances étrangères, qui favorisent une cristallisation identitaire au cœur de nos territoires»
La pratique du religieux est actuellement en train d’être régulée, notamment avec la charte de l’islam, observe Olivier Roy, professeur à l'Institut universitaire européen de Florence
Depuis 2004 et l’adoption de la loi interdisant le port de signes religieux ostentatoires à l’école, c’est l’essence même de la loi de 1905 qui se trouve altérée
Comme en 2020, le mois de ramadan sera placé sous le signe des restrictions sanitaires. L’année dernière, les Marocains avaient réussi à s’adapter sur le plan religieux ou familial
Un élan de solidarité a vu le jour sur les réseaux sociaux et sur le terrain à l’occasion du mois sacré. Les Marocains ont encore été au rendez-vous cette année
«A deux jours du mois de Ramadan, les fidèles retrouvent leur mosquée taguée avec des phrases obscènes», a déploré Mohammed Zaidouni, le président du conseil régional du culte musulman
Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin a jugé ces inscriptions «inacceptables»