La BBC avait évoqué le 1er novembre une vidéo montrant «au moins un mort sur le sol de l'entrée» du poste-frontière séparant le Maroc de la petite enclave espagnole
Le 24 juin, près de 2 000 migrants, originaires en majorité du Soudan, avaient tenté de franchir la frontière séparant le Maroc de Melilla,
Le gouvernement de gauche espagnol est sur la défensive depuis la diffusion mardi d'un documentaire de la BBC qui pointe la violence des forces de l'ordre marocaines et questionne l'action des garde-civils espagnols
Plus de quatre mois après les faits, ces nouvelles révélations ont provoqué en Espagne des demandes d'explications au ministre de l'Intérieur de la part des partis d'opposition, mais aussi du parti de gauche radicale Podemos
Les manifestants, au nombre de 25 000 selon la délégation du gouvernement (équivalent d'une préfecture) à Madrid, avaient répondu à l'appel des Commissions ouvrières (CCOO) et de l'UGT
Cette manifestation survient alors que le gouvernement espagnol négocie avec les syndicats de salariés et les organisations patronales une nouvelle hausse du salaire minimum (SMI), actuellement de 1 000 euros bruts par mois sur 14 mois
La BBC évoque une vidéo montrant « au moins un mort sur le sol de l'entrée» du poste-frontière séparant le Maroc de l'enclave espagnole « et d'autres corps sans vie sortis de là par les forces de sécurité marocaines»
Le groupe audiovisuel britannique indique avoir eu la confirmation par les autorités espagnoles que cette zone était « sous leur contrôle»
«32 candidats à l'immigration de différentes nationalités ont été arrêtés et du matériel de navigation maritime a été saisi», a indiqué la Direction générale de la surveillance du territoire national (DGSN) dans un tweet
«Il s'agit de 26 ressortissants de pays d'Afrique subsaharienne et de 6 Marocains qui s'apprêtaient à émigrer clandestinement à bord d'une embarcation pneumatique», a précisé la DGSN citée par le site d'information Le360
Intervenant lors d'une des dernières audiences de ce procès se tenant à moins d'un mois du Mondial, le procureur Luis Garcia a annoncé à la surprise générale «retirer l'accusation contre tous les prévenus et pour tous les faits» qui leur sont reprochés
Le parquet avait initialement requis deux ans de prison et dix millions d'euros d'amende pour corruption à l'encontre de Neymar
«Je veux dire pardon sur le terrain, en donnant tout pour l'équipe», avait-il glissé après son très bon match à Bilbao, où il avait offert la victoire à son équipe (1-0) il y a une semaine
Le projet d’un tunnel entre Gibraltar et le Maroc avait été pour la première fois évoqué il y a quarante ans, puis avait refait surface en 2007
Selon le journal El Diaro, le gouvernement espagnol a prévu dans son budget 2023 une enveloppe de 750 000 euros pour une étude de faisabilité confiée à une entreprise publique pour réaliser un tel projet
«Ney», vêtu d'un costume sombre, a par ailleurs affirmé ne pas »se souvenir» d'avoir participé aux négociations de l'accord d'exclusivité scellé en 2011 avec le Barça en vue de son futur transfert
Accusant l'attaquant brésilien de corruption, le parquet a réclamé deux ans de prison et 10 millions d'euros d'amende à son encontre. Les peines de deux ans ou moins ne sont pas exécutées en Espagne lorsque le casier du condamné est vierge