L'Arabie saoudite et l'Espagne explorent les opportunités de coopération dans le secteur minier.

Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales a rencontré samedi la secrétaire d'État espagnole à l'Énergie, Sara Aagesen Munoz, pour discuter de l'approfondissement de la coopération minière entre les deux pays. (SPA)
Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales a rencontré samedi la secrétaire d'État espagnole à l'Énergie, Sara Aagesen Munoz, pour discuter de l'approfondissement de la coopération minière entre les deux pays. (SPA)
Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales a rencontré samedi la secrétaire d'État espagnole à l'Énergie, Sara Aagesen Munoz, pour discuter de l'approfondissement de la coopération minière entre les deux pays. (SPA)
Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales a rencontré samedi la secrétaire d'État espagnole à l'Énergie, Sara Aagesen Munoz, pour discuter de l'approfondissement de la coopération minière entre les deux pays. (SPA)
Short Url
Publié le Dimanche 20 octobre 2024

L'Arabie saoudite et l'Espagne explorent les opportunités de coopération dans le secteur minier.

  • M. Alkhorayef a souligné le partenariat solide entre l'Arabie saoudite et l'Espagne, en insistant sur les liens économiques et commerciaux importants qui se sont développés au fil des ans.
  • Il a décrit l'Espagne comme un partenaire clé dans les efforts déployés par l'Arabie saoudite pour développer ses secteurs industriel et minier, et s'est dit optimiste quant au renforcement de la coopération dans ces domaines.

LONDRES : Le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, Bandar Alkhorayef, a rencontré samedi la secrétaire d'État espagnole à l'Énergie, Sara Aagesen Munoz, pour discuter de l'approfondissement de la coopération minière entre les deux pays.

La réunion entre Bandar Alkhorayef et Mme Munoz comprenait également l'ambassadrice saoudienne en Espagne, la princesse Haifa bint Abdulaziz bin Ayyaf Al Muqrin, et avait pour but d'inciter les sociétés minières espagnoles à investir dans le secteur minier en pleine croissance du Royaume.

Au cours des discussions, M. Alkhorayef a souligné le partenariat solide entre l'Arabie saoudite et l'Espagne, en insistant sur les liens économiques et commerciaux importants qui se sont développés au fil des ans.

Il a décrit l'Espagne comme un partenaire clé dans les efforts déployés par l'Arabie saoudite pour développer ses secteurs industriel et minier, et s'est dit optimiste quant au renforcement de la coopération dans ces domaines.

M. Alkhorayef a également évoqué la Vision 2030 de l'Arabie saoudite et a noté que des secteurs clés tels que l'industrie, l'exploitation minière, l'énergie et la logistique étaient essentiels pour atteindre ces objectifs, l'exploitation minière en particulier étant une pierre angulaire de la transformation économique du Royaume.

M. Alkhorayef s'est également félicité des investissements étrangers et a souligné les possibilités attrayantes qui s'offrent aux entreprises internationales. Il a invité les entreprises espagnoles à explorer le potentiel inexploité du Royaume dans le secteur minier, notant que le gouvernement avait mis en œuvre diverses initiatives pour soutenir la croissance du secteur.

À l'issue de la réunion, les deux parties ont réaffirmé leur engagement à renforcer les liens bilatéraux et à explorer de nouveaux domaines de coopération dans l'industrie minière.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


L'Arabie saoudite et l'Espagne examinent les possibilités offertes par les industries des drones et de l'automobile

Au cours de la réunion, le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, Bandar Alkhorayef, a discuté de la localisation de la production de véhicules utilitaires lourds, de pièces automobiles et de fournitures pour la construction navale. SPA
Au cours de la réunion, le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, Bandar Alkhorayef, a discuté de la localisation de la production de véhicules utilitaires lourds, de pièces automobiles et de fournitures pour la construction navale. SPA
Short Url
  • Il s'est entretenu avec Ana Maria Alonso-Zarza, directrice de l'Institut géologique et minier espagnol, afin d'explorer les possibilités de recherche géologique.
  • Il a également rencontré le ministre espagnol de l'Industrie et du Tourisme, Jordi Hereu, et le ministre de l'Économie, du Commerce et des Affaires, Carlos Cuerpo, pour discuter du renforcement des relations économiques.

RIYADH : L'Arabie saoudite envisage de conclure des partenariats avec des entreprises espagnoles dans les domaines de la technologie des drones, des composants automobiles et des levés géologiques, alors que le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, Bandar Alkhorayef, s'est entretenu avec des chefs d'entreprise à Madrid. 

Au cours de la réunion, le ministre saoudien de l'industrie et des ressources minérales, Bandar Alkhorayef, a discuté de la localisation de la production de drones lourds, de pièces automobiles et de fournitures pour la construction navale, a rapporté l'agence de presse saoudienne (Saudi Press Agency).

Ces efforts s'inscrivent dans la stratégie plus large de l'Arabie saoudite visant à soutenir l'industrialisation et à diversifier l'économie pour la rendre moins dépendante du pétrole brut. La stratégie industrielle nationale vise à attirer les investissements, à encourager l'expansion économique et à accroître le produit intérieur brut et les exportations non pétrolières. 

À Madrid, M. Alkhorayef a rencontré des représentants de plusieurs entreprises, dont Drone Hopper, une start-up espagnole connue pour ses drones multirotors, Ferroglobe, un fournisseur de silicium métallique, et Reinosa Forgings & Castings, qui fabrique des pièces forgées et moulées de grande taille. 

Il a également rencontré des représentants de la société IDIADA, spécialisée dans la conception, l'ingénierie, les essais et les services d'homologation pour l'industrie automobile, et de la société Xcalibur, qui réalise des levés géophysiques aériens. 

M. Alkhorayef s'est entretenu avec Ana Maria Alonso-Zarza, directrice de l'Institut géologique et minier espagnol, afin d'explorer les possibilités de recherche géologique et d'acquisition de données techniques à haute résolution pour diverses applications scientifiques et industrielles. 

M. Alkhorayef a également rencontré le ministre espagnol de l'Industrie et du Tourisme, Jordi Hereu, et le ministre de l'Économie, du Commerce et des Affaires, Carlos Cuerpo, pour discuter du renforcement des relations économiques et de l'augmentation des investissements espagnols dans le Royaume. 

Il a présenté les objectifs de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite visant à diversifier l'économie, et a indiqué que le Royaume fournissait des fonds pour attirer les investissements étrangers dans les secteurs industriel et minier. 

Par ailleurs, M. Alkhorayef a rencontré la ministre espagnole de l'Énergie, Sara Aagesen Munoz, pour discuter du renforcement de la coopération minière entre les deux pays. Il a souligné que des secteurs tels que l'industrie, l'exploitation minière, l'énergie et la logistique sont essentiels pour atteindre les objectifs de la Vision 2030, l'exploitation minière jouant un rôle vital dans la transformation économique du Royaume. 

La semaine dernière, M. Alkhorayef a rencontré le ministre italien de l'Environnement et de la sécurité énergétique, M. Gilberto Pichetto Fratin, pour discuter de l'importance du développement collaboratif et des partenariats stratégiques dans divers secteurs, notamment l'exploitation minière. 

M. Alkhorayef a également rencontré des membres du Conseil des affaires saoudo-espagnol afin de discuter des moyens de soutenir et de renforcer les liens économiques entre les deux pays.

Ces discussions soulignent l'engagement de l'Arabie saoudite à favoriser les collaborations internationales qui correspondent à ses objectifs économiques, renforçant ainsi sa position en tant qu'acteur clé dans le paysage industriel mondial.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 


Journées de la sécurité : synergie entre l’Arabie saoudite et la France

2ème Édition des journées franco saoudienne de la sécurité (Photo Business France)
2ème Édition des journées franco saoudienne de la sécurité (Photo Business France)
2ème Édition des journées franco saoudienne de la sécurité (Photo Business France)
2ème Édition des journées franco saoudienne de la sécurité (Photo Business France)
2ème Édition des journées franco saoudienne de la sécurité (Photo Business France)
2ème Édition des journées franco saoudienne de la sécurité (Photo Business France)
Short Url
  • Ces journées franco-saoudiennes visent essentiellement à mettre en avant les savoir-faire et les innovations françaises adaptées aux besoins spécifiques du marché saoudien.
  • D'ici 2023, le secteur de la cybersécurité du pays générera des revenus de plus de 7 milliards d'euros (7,6 milliards de dollars), avec un taux de croissance annuel de 10 %.

RIYAD : Sous le haut patronage de l'Ambassade de France en Arabie saoudite, Business France a organisé le 13 octobre la seconde édition des Journées franco-saoudiennes de la sécurité à Riyad, au Crown Plaza RDC Hôtel.  

Une délégation de vingt-cinq entreprises spécialisées dans la sécurité, des organismes gouvernementaux français et des responsables de mégaprojets ont participé à cet événement pour présenter leur expertise à leurs homologues saoudiens.

Rachid Boulaouine, directeur de Business France en Arabie saoudite, a indiqué lors de son intervention que la collaboration avec les entreprises françaises revêtait une importance particulière pour répondre aux besoins complexes en matière de sécurité des grands événements et projets dans le Royaume.

Ces journées franco-saoudiennes visent essentiellement à mettre en avant les savoir-faire et les innovations françaises adaptées aux besoins spécifiques du marché saoudien, afin de promouvoir des partenariats dans le domaine sécuritaire.

Dans le cadre de sa Vision 2030, l'Arabie saoudite investit plus de 15 milliards de dollars dans le marché en pleine expansion de la cybersécurité. D'ici 2023, le secteur de la cybersécurité du pays générera des revenus de plus de 7 milliards d'euros (7,6 milliards de dollars), avec un taux de croissance annuel de 10 %, grâce à l'augmentation des investissements dans les technologies de pointe et les solutions innovantes.

Cette stratégie est mise en œuvre par les autorités saoudiennes, car le Royaume s'apprête à accueillir des événements internationaux majeurs, comme les Jeux asiatiques en 2027, l'Exposition universelle de 2030 et la Coupe du monde de la FIFA en 2034.

Les entreprises sont actuellement confrontées à de multiples risques qui peuvent survenir et menacer leur rentabilité ou leur pérennité. Ces risques se mesurent par leur degré de probabilité et par les conséquences humaines et financières qu’ils génèrent pour l’entreprise.

À cet effet, Quentin Sgard, directeur du conseil en matière de cyber confiance, de risque et de conformité chez Devoteam, a déclaré au micro d’Arab News en français : « Il faut distinguer deux types de risques : le risque de non-conformité, surtout présent en Europe. Ne pas respecter la réglementation en vigueur vous expose à une amende, voire parfois à la cessation d'une activité suite au retrait d'un agrément. »

Devoteam est un cabinet de conseil de premier plan spécialisé dans la stratégie numérique, les plateformes technologiques et la cybersécurité.

D'une société spécialisée à l'origine dans les télécoms, Devoteam est devenu en 25 ans l'un des leaders de la transformation numérique en EMEA, avec 10 000 collaborateurs répartis dans 25 pays, en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. En 2023, son chiffre d'affaires a dépassé le milliard d'euros.

On retrouve ce risque en cybersécurité, par exemple lorsqu'un système ne fonctionne plus parce qu'il a été l'objet d'une cyberattaque ou parce qu'il présente une faille de vulnérabilité qui a été exploitée par quelqu'un en interne au sein de l'organisation. »

« Il existe aujourd'hui des outils basés sur l'IA qui détectent automatiquement les risques. Par exemple, des outils, des systèmes qui permettent de fermer automatiquement un flux, d'arrêter un système ou d'appliquer un patch correctif sur un système. Ces systèmes, que l'on appelait il y a encore quelques années des systèmes d'automation.

Aujourd'hui, avec l'évolution de la technologie, on les appelle des systèmes basés sur l'IA. Ils se basent à la fois sur des modèles d'automation, mais également sur l'expérience similaire que d'autres clients ont pu vivre. De manière générale, c'est en utilisant cette source considérable de données que l'on est capable aujourd'hui d'avoir des réponses rapides à des sources de risques. » a-t-il ajouté.

Il est vrai qu’une stratégie de sécurité efficace permet à coup sûr de minimiser les risques de sécurité auxquels une organisation est confrontée. La création d'une stratégie de sécurité efficace nécessite une visibilité complète de l'architecture informatique d'une organisation, l'accès à des renseignements en temps réel sur les menaces et une architecture de sécurité consolidée qui gère efficacement ces menaces.

Quentin Sgard a expliqué à ce propos : « Nous avons deux façons principales de mesurer la robustesse d'un système déployé au sein d'un environnement, par exemple. Il existe des comparaisons de solutions sur le marché qui permettent de savoir si la solution que l'on utilise est plus ou moins robuste. Il existe ensuite une deuxième possibilité : réaliser l'analyse de risque.

Il faut alors savoir quels produits de cybersécurité il faut déployer au sein de mes infrastructures et se poser la question du coût que cela aura sur mon organisation. Pour quels besoins ? De quel niveau de sécurité ai-je besoin pour un système de gestion, comme le déplacement de mes collaborateurs, ou le système de gestion de la paie de mes collaborateurs, ou encore le système qui contient l'ensemble des secrets de l'entreprise, ou un système qui contiendrait des brevets ? »

« Aujourd'hui, pour moi, l'avantage pour les petites entreprises est de faire appel à des solutions SAS et de déployer un produit dont la couche de maintenance est due à l'éditeur. La réponse n'est pas universelle. Il peut être nécessaire d'ajouter des couches de sécurité supplémentaires à ces produits. Cependant, la première sécurité, que j'appellerai la sécurité opérationnelle, est le maintien en conditions de cybersécurité en tant que MCS, le maintien en conditions de sécurité. Ces solutions sont réalisées par l'entreprise qui vous fournit la solution et ce n'est plus à vous d'ajouter des coûts complémentaires sur ce produit. »

La conférence a mis en avant le rôle majeur que Riyad et Paris peuvent jouer dans la création de villes sûres pour l'avenir, conformément aux objectifs de la Vision 2030 de l'Arabie saoudite. Cet événement témoigne de l'engagement des deux nations à collaborer dans des domaines d'intérêt commun, tout en contribuant au développement économique et à la sécurité régionale.


L'UE et le CCG renforcent leurs liens économiques notamment en matière d'énergie durable et de commerce

Jasem al-Budaiwi, secrétaire général du CCG, a souligné que cet événement mettait en évidence l'engagement commun des deux régions à renforcer les partenariats politiques et économiques, ainsi que la coopération dans des domaines tels que la coordination politique, l'énergie, la santé, l'éducation et les échanges culturels. (Photo AN)
Jasem al-Budaiwi, secrétaire général du CCG, a souligné que cet événement mettait en évidence l'engagement commun des deux régions à renforcer les partenariats politiques et économiques, ainsi que la coopération dans des domaines tels que la coordination politique, l'énergie, la santé, l'éducation et les échanges culturels. (Photo AN)
Short Url
  •  Les deux blocs privilégient la collaboration dans le domaine des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique
  • Ils ont réaffirmé leur volonté de renforcer leurs liens en matière de commerce et d'investissement sur la base d'ambitions et d'objectifs communs

RIYAD: L'UE et le Conseil de coopération du Golfe œuvrent à approfondir leurs liens économiques, en mettant l'accent sur les transitions vertes et la recherche mutuelle de solutions énergétiques durables.

Les deux blocs privilégient la collaboration dans le domaine des énergies renouvelables et de l'efficacité énergétique, ainsi que l'objectif commun de réduire la dépendance à l'égard des combustibles fossiles traditionnels.

Dans un communiqué conjoint, publié à l'issue du premier sommet UE-CCG, qui s'est tenu le 16 octobre à Bruxelles, ils ont réaffirmé leur volonté de renforcer leurs liens en matière de commerce et d'investissement sur la base d'ambitions et d'objectifs communs.

«Nous réaffirmons notre engagement commun en faveur d'un partenariat stratégique en matière de commerce et d'investissement fondé sur des intérêts et des objectifs communs», peut-on lire dans le communiqué.

Le communiqué souligne en outre l'importance de tirer parti des opportunités offertes par l'amélioration de l'environnement des affaires et des investissements, et de se concentrer sur les transitions verte et numérique, l'énergie durable, la connectivité et la coopération sectorielle pour renforcer l'intégration et la diversification économiques.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a souligné, après sa rencontre avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, le rôle central de l'énergie durable dans l'évolution du partenariat entre l'UE et le CCG.

«Nous visons à renforcer la coopération entre l'UE et le CCG, à créer un corridor économique pour améliorer le commerce des énergies renouvelables, des données et des échanges entre les peuples, et à travailler ensemble pour assurer la sécurité nécessaire à la croissance économique», a-t-elle déclaré.

Les deux blocs travaillent à l'élaboration d'accords sur mesure qui répondent aux forces et aux besoins économiques uniques de leurs régions respectives.

Les discussions portent également sur le renforcement de la protection des droits de propriété intellectuelle, notamment en ce qui concerne les indications géographiques, qui protègent l'origine et la qualité des produits régionaux. Cela devrait renforcer la confiance des investisseurs et des entreprises.

L'UE et le CCG sont déterminés à faire progresser leur partenariat en poursuivant le dialogue et la coopération, en explorant de nouvelles possibilités de collaboration économique et en renforçant les investissements conjoints dans des secteurs clés.

«Nous sommes convenus de la nécessité de poursuivre notre dialogue sur une base régulière en organisant un sommet tous les deux ans. Nous attendons avec impatience le prochain sommet qui se tiendra en Arabie saoudite en 2026», stipule le communiqué conjoint.

Jasem al-Budaiwi, secrétaire général du CCG, a souligné que cet événement mettait en évidence l'engagement commun des deux régions à renforcer les partenariats politiques et économiques, ainsi que la coopération dans des domaines tels que la coordination politique, l'énergie, la santé, l'éducation et les échanges culturels.

Il a également mis en avant les relations commerciales solides entre les deux blocs, précisant que le volume des échanges entre le CCG et l'UE a dépassé 204 milliards de dollars (1 dollar = 0,92 euro) en 2022, ce qui représente environ 13% du total des échanges de marchandises du CCG.

M. Al-Budaiwi a indiqué que les exportations du CCG vers l'UE atteignaient 106 milliards de dollars, tandis que les importations en provenance de l'UE s'élevaient à environ 98 milliards de dollars, ce qui témoigne de l'importance de leurs relations commerciales.

Il a réaffirmé l'importance d'une collaboration continue, soulignant que ces chiffres commerciaux démontrent la profondeur des liens économiques et le potentiel de croissance future.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com