La victoire de l'Ukraine dans sa guerre avec la Russie dépend "essentiellement" du soutien des Etats-Unis et de leurs alliés, a de son côté souligné le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Washington a alerté cette semaine sur la livraison par l'Iran de missiles de courte portée à la Russie, qui pourrait les utiliser pour frapper le territoire ukrainien dans les semaines à venir.
Selon elle, cette guerre ouvre la porte à un conflit plus vaste avec l'Alliance atlantique et la neutralité de la Suisse ne garantit pas qu'elle ne sera pas attaquée.
"La Suisse ne peut pas représenter une faille de sécurité en Europe. Sa situation géographique au milieu de l’UE rend évidente la nécessité d’une coopération en matière de défense".
La Turquie s'est également engagée à porter ses dépenses de défense à plus de 2 pour cent de son revenu national, conformément aux critères d'adhésion à l'OTAN.
Il intégrera et exploitera simultanément tous les systèmes d'alerte, y compris les radars, les technologies électro-optiques, les drones, les satellites, les avions, ainsi que les missiles de défense à basse et haute altitude et les avions de chasse.
Washington est en contact avec ses alliés européens à propos d'informations faisant état du projet par l'Iran de "fournir des centaines de missiles balistiques à la Russie".
Les Etats-Unis avaient déjà imposé des sanctions à des fabricants de drones iraniens, dont les produits ont été fournis à la Russie.
"Nous prendrons des mesures de réplique pour les déployer, en tenant compte des actions des Etats-Unis, de leurs satellites en Europe et dans d'autres régions du monde", a averti le président russe.
Ce type d'armement, d'une portée allant de 500 à 5.500 km, faisait jadis l'objet d'un traité de limitation entre Washington et Moscou, le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), signé du temps de l'URSS.
Lors d'une visite officielle du président français Nicolas Sarkozy à Rio de Janeiro en 2008, la France et le Brésil avaient signé un contrat pour la vente de quatre sous-marins à propulsion classique
Une autre enquête, ouverte en décembre 2020, se penche sur le transfert d'un ancien salarié de la multinationale française dans un poste à l'Organisation des Nations unies