Iran

Iran: deux candidats ultraconservateurs se retirent de la course présidentielle
  • Le maire de Téhéran, Alireza Zakani, a indiqué sur X qu'il ne participait plus au scrutin en fin de matinée, après le retrait de Amir Hossein Ghazizadeh-Hashemi, annoncé par le ministère de l'Intérieur
  • Le seul candidat réformateur, le député Massoud Pezeshkian, fait partie des favoris de l'élection après avoir reçu le soutien des principales forces réformatrices et modérées
Par AFP ·
Nous avons besoin d'un président «réformateur», déclare Rouhani à l'Iran
  • L'ancien président a déclaré que Masoud Pezeshkian était un candidat capable de "supprimer l'ombre des sanctions".
  • L'Iran a organisé une élection présidentielle anticipée le 28 juin pour remplacer Ebrahim Raisi, décédé dans un accident d'hélicoptère le mois dernier.
Par Arab News ·
Les Iraniens aux urnes pour une présidentielle plus ouverte que prévu
  • Cette présidentielle, initialement prévue en 2025, a été organisée en quelques semaines pour remplacer le président Ebrahim Raïssi, tué dans un accident d'hélicoptère le 19 mai
  • Le réformateur Massoud Pezeshkian s’impose comme l'un des trois favoris, face au président conservateur du Parlement, Mohammad-Bagher Ghalibaf, et Saïd Jalili, l'ancien négociateur ultraconservateur du dossier nucléaire
Par AFP ·
Beyrouth défend son aéroport après des allégations de stockage d'armes du Hezbollah
  • De hauts responsables libanais ont défendu l'aéroport de Beyrouth lors d'une visite organisée pour la presse et des diplomates lundi pour démentir les informations d'un quotidien britannique selon lequel le Hezbollah y stocke des armes
  • Il avançait en outre que des employés de l'aéroport auraient constaté l'arrivée de "caisses mystérieuses" à l'aéroport de Beyrouth au début des affrontements entre Israël et le Hezbollah
Par AFP ·
Présidentielle en Iran: Khamenei appelle à une «participation élevée»
  • Les électeurs ont le choix entre six candidats, qui ont été sélectionnés par le Conseil des gardiens de la Constitution
  • La participation n'avait atteint que 49%, soit le plus faible taux pour une présidentielle depuis la révolution islamique de 1979
Par AFP ·
Les sanctions internationales, enjeux de la présidentielle en Iran
  • Une partie des six candidats au scrutin destiné à remplacer le président Ebrahim Raïssi, tué dans un accident d'hélicoptère en mai, font de la levée de ces sanctions une priorité s'ils étaient élus
  • Les 85 millions d'Iraniens sont confrontés à une très forte inflation, de l'ordre de 40%, à un chômage élevé et à la dépréciation record du rial
Par AFP ·
Bahreïn et l'Iran conviennent d'entamer des discussions sur la reprise de leurs relations politiques
  • Le ministre bahreïni des Affaires étrangères, Abdellatif al-Zayani, et le ministre iranien des Affaires étrangères par intérim, Ali Bagheri Kani, se sont rencontrés à Téhéran
  • Les discussions se sont déroulées «dans le cadre des relations fraternelles historiques entre le Royaume de Bahreïn et la République islamique d'Iran»
Par Arab News ·
Liban: le ministre des Transports dément la présence d'armes du Hezbollah à l'aéroport
  • Dans son article, le quotidien britannique The Telegraph affirme que le Hezbollah stocke missiles et explosifs iraniens à l'aéroport
  • «Je fais cette conférence de presse pour clarifier que tout ce qui a été écrit dans The Telegraph est faux et pour dire qu'il n'y aucune arme qui rentre ou qui sort de l'aéroport de Beyrouth», a déclaré aux journalistes M. Hamié
Par AFP ·
Voter ou pas, le dilemme d'Iraniens avant la présidentielle
  • La participation est l'un des enjeux du scrutin pour lequel six candidats --cinq conservateurs et un réformateur-- ont été qualifiés par le Conseil des gardiens, l'organisme chargé de superviser le scrutin
  • Outre l'économie et le social, les tensions géopolitiques entre l'Iran et l'Occident, et la question sensible du port obligatoire du voile par les femmes font partie des préoccupations des électeurs
Par AFP ·
Le Liban ne doit pas devenir «un autre Gaza», plaide le chef de l'ONU
  • «Soyons clairs: la population de la région et la population du monde ne peuvent pas se permettre que le Liban devienne un autre Gaza», a lancé Antonio Guterres à la presse
  • «Le risque d'extension du conflit au Moyen-Orient est réel et doit être évité. Un geste irréfléchi, une erreur de calcul, pourraient provoquer une catastrophe largement au delà de la frontière, et franchement inimaginable», a-t-il mis en garde