Hashim Sarkis, commissaire de la 17e Biennale d’architecture de Venise, nous parle d’espoir

L'architecte et doyen de la faculté d'architecture et de planning du MIT, Hashim Sarkis, commissaire de la 17e Biennale de Venise (AFP)
L'architecte et doyen de la faculté d'architecture et de planning du MIT, Hashim Sarkis, commissaire de la 17e Biennale de Venise (AFP)
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Hashim Sarkis, commissaire de la 17e Biennale d’architecture de Venise, nous parle d’espoir

  • "Comment allons-nous vivre ensemble": le thème de la 17e Biennale d'architecture de Venise, résonne avec la pandémie comme une prémonition
  • Dans un entretien avec Arab News en français, Hashim Sarkis, commissaire de la Biennale, invite à "réfléchir et vivre à l'échelle de la planète"

BEYROUTH : De l’autre côté de l’écran qui nous sépare, Hashim Sarkis écoute en souriant les bruits de chantier qui secouent la corderie de l’Arsenal de Venise, à une poignée de jours de l’ouverture publique de la 17e Biennale d’architecture dont il est le commissaire. Le soleil qu’on voit par la fenêtre de son bureau a un goût d’Aperol, et le bleu du ciel et de la lagune -c’est lui qui le dit-, ressemble à « ces bleus de Tiepolo qui vous font croire en Dieu ». Sarkis nous rappelle que durant la pandémie, Venise vide a été la ville la plus photographiée au monde. Désertée des touristes, elle s’est enfin révélée dans toute sa beauté. « C’est grâce à la beauté de cette ville qu’on a pris conscience de l’ampleur de ce qui se passe » fait-il remarquer.

Le doyen de l’école d’architecture et planification de MIT, ancien tenant de la Chaire Agha Khan de Harvard qui explore et questionne l’architecture patrimoniale du monde arabe, veille avec une année de décalage due à la pandémie sur ce premier grand événement de la convalescence du monde. Cette Biennale d’architecture, dont il est, en tant que Libanais, le premier commissaire issu du « tiers monde » selon ses mots (le deuxième si l’on peut compter son prédécesseur, le Chilien Alejandro Aravena), il en a lui-même choisi le thème en 2019 : « How will we live together » (comment allons-nous vivre ensemble). Une préoccupation qui résulte de sa profonde conscience des enjeux de notre époque et qui ressemble véritablement, à deux ans d’écart marqués par le virus et la distanciation sociale que celui-ci a imposée, à une prémonition. « Parfois je pense que c’est un accident, ou que c’est ironique » commente sobrement Sarkis. Il ajoute : « Les Biennales reflètent l’esprit du moment, une responsabilité qu’on essaie d’équilibrer, une capsule temporelle. Une coupe dans le monde, qui expose ce qui est en train d’arriver ».

«Groove» de Philip Beesley au pavillon du Canada, à la Biennale d'architecture de Venise. (Marco Bertorello/AFP)
«Groove» de Philip Beesley au pavillon du Canada, à la Biennale d'architecture de Venise.
(Marco Bertorello/AFP)

Tout ce qui nous a conduits à la pandémie

C’est en observant, explique-t-il à Arab News en français, le changement climatique, la pauvreté, le problème des réfugiés et des migrants, le conflit entre le politique et le géographique, les relations entre l’humanité et les autres espèces vivantes et les polarisations de plus en plus exacerbées, que la thématique du vivre ensemble s’est posée à lui avec une acuité nouvelle : « c’est tout cela qui nous a conduits à la pandémie ». « L’architecture peut favoriser l’interaction, à travers la définition de l’espace » affirme celui qui souhaite contribuer à « préparer un nouveau contrat social », dans le cadre cette Biennale particulière et particulièrement jeune (la moitié des participants ont entre 35 et 55 ans et n’ont jamais participé à cet événement). « Quand j'ai posé la question ‘comment allons-nous vivre ensemble’, j'ai regardé partout quelles étaient les solutions les plus innovantes et créatives qui étaient proposées. C’est selon ce critère que j'ai choisi les participants » affirme Hashim Sarkis, quand on lui demande, comme cela se fait à chaque Biennale, quelles sont les « stars » de l’événement. À l’arrivée, ce ne sont pas moins de 112 architectes et cabinets, 15 universités et 63 pavillons nationaux qui vont plancher sur cette question cruciale, y apportant chacun une réponse unique, et ces réponses vont coexister dans les mêmes salles et dialoguer entre elles, enclenchant du même coup un dialogue avec le visiteur.

Un contrat spatial pour un nouveau contrat social ?

Cette Biennale d’architecture au moment de son lancement, visait l’horizon 2020, une année symbolique, « une borne, une vision nouvelle » explique le commissaire qui poursuit : « nous avons réfléchi à ce que cela représente. Que faire du futur ? Quelle est la responsabilité de l’architecte dans la pacification des villes du futur ? Comment parvenir à un nouveau contrat social à travers un nouveau contrat spatial ? L’évidence est que l’humanité a trop consommé durant le siècle dernier, avec le modernisme, la révolution industrielle. Aujourd’hui, on doit s’efforcer de transformer, de reconcevoir nos ressources communes : les protéger, les préserver, les améliorer. Nous devons aussi réfléchir à la densification, à un usage plus efficace de l’espace, plus adaptatif ».

« La Biennale la plus jeune »

Dans la perspective, obsédante à notre époque, d’une éventuelle « fin de l’humanité », et à la question de savoir quel est son sentiment à ce sujet, Hashim Sarkis répond que « les architectes sont avant tout formés à proposer des alternatives à ce qui ne fonctionne pas » et se dit optimiste par fonction et par nature. « La question du vivre ensemble doit se poser à chaque génération », ajoute-t-il, « et avec la génération actuelle, nous avons plus d’une source pour y répondre. La réponse de chacun doit nous guider, l’unicité de la réponse de chacun. Aujourd’hui nous voilà en pleine pandémie, et c’est le moment ou jamais de reposer cette même question ». Il souligne aussi que les participants ont commencé à travailler à cet événement avant la pandémie. Leurs travaux sont marqués par la recherche commune d’une éthique globale. Très peu de changement y ont été apportés tout au long de la pandémie. « Cette Biennale est la plus jeune de l’histoire des Biennales d’architecture. Les participants ont cherché et trouvé un équilibre entre leur travail sur un lieu donné tout en apportant des solutions qui le transcendent. Nous ne sommes pas dans la mouvance d’une architecture internationale, comme cela s’est vu dans les années 1920, mais plutôt dans une disposition de l’architecte qui le met à l’écoute et au diapason du monde », constate Sarkis.

 "The Listener", sculpture de Giuseppe Penone au pavillon de l'Italie à la 17e Biennale d'architecture de Venise (Marco Bertorello/AFP)
"The Listener", sculpture de Giuseppe Penone au pavillon de l'Italie à la 17e Biennale d'architecture de Venise (Marco Bertorello/AFP)

L’architecture, un geste politique ?

« Pour répondre aux problèmes, les politiques utilisent des phrases », souligne le commissaire. L’architecte a beaucoup à offrir. »  « Quand nous étions petits, les adultes se mettaient à table et suivaient les codes du repas. Les enfants se mettaient sous la table et jouaient sans qu’on ne les voie. Dans le même espace, qui était la salle à manger, on observait deux contrats spatiaux. Le contrat spatial survit au contrat social. Il n’y a pas de causalité directe entre les deux, mais l’un inspire l’autre » ajoute-t-il, rappelant que « C’est Aristote qui a dit qu’une ville nait quand deux maisons sont érigées mur à mur. On ne peut pas sortir de l’espace de la ville. La ville est une promesse. C’est là que réside l’espoir, on évite de faire du bruit pour ne pas déranger l’autre, on partage certains frais. Si on construit une société autour de cela, on voit que c’est l’architecture qui nous donne la possibilité de vivre ensemble. » Aujourd’hui, ajoute Hashim Sarkis, il nous faut dépasser le cadre de la politique locale pour penser en termes de « cosmopolitique », une politique à l’échelle de la planète. « Chacun de nous doit se penser à cette échelle et vivre à cette échelle. Ce n’est pas facile, la planète est grande, et nous sommes petits, mais l’imagination individuelle et collective va nous sauver » insiste-t-il. Sous chaque pierre il y a de la politique, ajoute le commissaire : « Pendant la Renaissance ; quand les princes construisaient des villes, ils désignaient des responsables pour organiser les chantiers, payer les travailleurs, les loyers, le transport, la sécurité. A la fin du chantier cette organisation, ces responsables, ces ouvriers restaient en place et se chargeaient de l’organisation de la ville. J’aime l’idée que c’est le chantier de l’architecture qui organise la ville quand le chantier est fini : La structure politique sort de la structure du chantier ». Le commissaire rappelle par ailleurs que de nombreux participants ont exprimé par des cercles l’idée du vivre ensemble.

« Beyrouth me donne de l’espoir »

« Au Liban, l’espace politique est asphyxiant et sans réponses satisfaisantes » dit Sarkis à propos de son pays d’origine. « On a trouvé des solutions ailleurs, dans le commerce, l’urbanisme, le futur du travail, la santé. On attendra trop longtemps les réponses politiques. La société civile va nous guider », poursuit-il. Et quand on lui demande quelle est la ville idéale pour le vivre ensemble, il répond paradoxalement : « Beyrouth ». Beyrouth est laide, admet-il, « mais son énergie est irrésistible, elle a un rythme, une pulsion, chacun peut s’y exprimer dans l’espace public, les taxis, la rue ». S’il admet que les Libanais considèrent que leur optimisme a tué la possibilité de changer les choses, il n’en déclare pas moins : « Beyrouth me donne de l’espoir, parce que la diversité s’y manifeste partout, même en cacophonie, et que la ville est constamment sur le fil du rasoir. Vivre ainsi peut être fatiguant, épuisant, mais c’est cela qui donne son énergie à la ville et permet d’entrevoir la possibilité du changement. Vivre la ville dans sa réalité difficile, c’est aussi vivre la possibilité qu’elle donne. » Hashim Sarkis affirme vivre dans sa tête à Beyrouth : « pour moi qu’il n’y a que Beyrouth, la mer, la nourriture, le charme. Sa laideur m’attire aussi et me repousse en même temps. Ce n’est peut-être pas une belle ville, mais elle a un rythme qui est beau. Aristote dit que la ville est une promesse. Beyrouth continue à promettre, même si elle est inachevée. Cette Biennale, je la voudrais aussi comme un message d’espoir au Liban et du Liban ».

Pour conclure, Hashim Sarkis ajoute que la question qui l’intéresse le plus dans cette biennale est celle des réfugiés en tant que citoyens, mais aussi pour la problématique de la reconstruction que leur situation induit. 

Samedi 22 mai, jour de l’inauguration, le Lion d’or de la 17e Biennale de Venise a été attribué à l’architecte Rafael Moneo pour l’ensemble de sa carrière par le jury composé de Kazuyo Sejima, Sandra Barclay, Lamia Joreige, Lesley Lokko et Luca Molinari, des artistes de tous horizons. Un hommage a été rendu à l’architecte brésilienne Lina Bo Bardi, décédée en 1992 et considérée comme l’une des représentantes les plus iconiques de l’architecture du vivre ensemble, à travers ses travaux avec les communautés ethniques et son souci de restituer leur dignité aux communautés marginalisées.

 

 

 

 

 

 

 


AlUla lance un projet de documentation des inscriptions

Parmi les sites les plus importants figure Jabal Ikmah, qui abrite des textes dadanites et d'autres textes anciens d'Arabie du Nord. (SPA)
Parmi les sites les plus importants figure Jabal Ikmah, qui abrite des textes dadanites et d'autres textes anciens d'Arabie du Nord. (SPA)
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  • La RCU crée un registre numérique complet de plus de 25 000 inscriptions d’AlUla, mettant en lumière 10 langues et écritures issues de différentes périodes historiques
  • Le projet, accompagné de programmes de formation et de publications scientifiques, renforce la préservation et l’étude d’un patrimoine culturel vieux de 3 000 ans

RIYAD : La Commission royale pour AlUla a lancé un projet visant à analyser et documenter plus de 25 000 inscriptions découvertes sur divers sites de la région, datant de l’âge du fer jusqu’à la fin de la période islamique.

La RCU souhaite protéger le patrimoine culturel et faire progresser la recherche sur l’histoire de l’écriture dans le nord-ouest de l’Arabie, a-t-elle annoncé récemment dans un communiqué de presse.

Le projet vise à établir un registre numérique complet des inscriptions d’AlUla grâce à une analyse linguistique et à la numérisation 3D, tout en reliant chaque découverte à son contexte historique et culturel.

La diversité des langues et des écritures — au nombre de 10 — souligne le rôle historique d’AlUla en tant que carrefour des civilisations et centre d’échanges culturels.

Parmi les sites les plus remarquables figure Jabal Ikmah, qui abrite des textes dadanitiques et d’autres inscriptions nord-arabiques anciennes, reconnues par le Registre Mémoire du monde de l’UNESCO en 2023 pour leur valeur documentaire.

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Plusieurs vallées, dont celle de Wadi Abu Oud, recèlent des inscriptions rupestres et des gravures rupestres représentant la vie quotidienne et des symboles tribaux. (SPA)

Jabal Al-Aqra présente également une collection d’inscriptions arabo-islamiques anciennes associées aux routes de pèlerinage, tandis que les chemins reliant Dadan et Hegra comptent parmi les plus anciennes inscriptions arabes liées au commerce et aux voyages.

Plusieurs vallées, dont Wadi Abu Oud, renferment des inscriptions lihyanites et des gravures rupestres représentant la vie quotidienne et les symboles tribaux, offrant un aperçu des interactions humaines avec l’environnement naturel à travers différentes époques.

Parmi les exemples les plus remarquables figure l’inscription de Zuhayr, datant de la 24ᵉ année après l’Hégire. Elle fournit une preuve précieuse de la contribution d’AlUla à la diffusion précoce de l’écriture arabe et de son rôle dans l’enregistrement des transformations historiques qui ont façonné la région.

Le projet inclut également des programmes de formation pour les étudiants en archéologie et les personnes intéressées par le patrimoine documentaire, ainsi que des initiatives de sensibilisation du public.

Les résultats seront publiés dans une série de revues scientifiques spécialisées afin de soutenir la recherche et l’éducation dans les domaines de la langue, de l’histoire et de l’archéologie.

Par cette initiative, indique le communiqué, la RCU réaffirme son engagement à protéger un patrimoine culturel couvrant plus de 3 000 ans.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Tea Trunk, la nouvelle culture du thé haut de gamme signée AVANTCHA

Le Tea Trunk révèle une sélection de thés et accessoires, pensée pour transformer chaque moment en expérience raffinée. (Fournie)
Le Tea Trunk révèle une sélection de thés et accessoires, pensée pour transformer chaque moment en expérience raffinée. (Fournie)
Le Tea Trunk révèle une sélection de thés et accessoires, pensée pour transformer chaque moment en expérience raffinée. (Fournie)
Le Tea Trunk révèle une sélection de thés et accessoires, pensée pour transformer chaque moment en expérience raffinée. (Fournie)
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  • Le Tea Trunk d’AVANTCHA allie design, fonctionnalité et savoir-faire pour transformer la dégustation du thé en expérience d’exception
  • Fabriqué à la main et proposé avec une sélection de thés et accessoires exclusifs, il symbolise l’élégance contemporaine du rituel du thé

DUBAÏ : Le concept de dégustation du thé prend une nouvelle dimension.

Le Tea Trunk incarne l’évolution ultime de la volonté d’AVANTCHA de créer des pièces intemporelles capables de transformer les rituels du quotidien en expériences extraordinaires.

Conçu pour les connaisseurs et les collectionneurs, le Tea Trunk allie un artisanat d’exception à une fonctionnalité sans égale, offrant une expérience unique qui redéfinit le rituel moderne du thé.

Le Tea Trunk est bien plus qu’un objet de luxe : c’est une déclaration de goût raffiné. Chaque détail – du noyau en bois massif enveloppé de cuir véritable aux fermoirs en acier inoxydable poli et aux finitions appliquées à la main – reflète l’engagement d’AVANTCHA envers l’art et la perfection.

Cette pièce exclusive est autant une œuvre de design qu’un objet utilitaire, chaque malle étant fabriquée individuellement pour garantir qu’aucune ne soit identique.

À l’ouverture, le Tea Trunk révèle une sélection soigneusement choisie des meilleurs thés et accessoires AVANTCHA. Il comprend une gamme sophistiquée d’essentiels du thé : six verres à double paroi, une théière Kata, deux théières Solo, et bien plus encore, offrant une expérience complète à ceux qui apprécient le rituel du thé. Le plateau supérieur sert de surface de préparation raffinée, avec une balance intégrée pour un dosage précis, tandis que des roulettes dissimulées facilitent son déplacement dans les résidences, les espaces événementiels et les hôtels de luxe.

« Chaque élément du Tea Trunk a été pensé pour sublimer l’expérience du thé, alliant art, fonctionnalité et raffinement », explique Marina Rabei, cofondatrice d’AVANTCHA. « Il ne s’agit pas seulement de thé, mais de créer des moments riches de sens, ancrés dans la tradition et magnifiés par le design contemporain. »

L’héritage d’AVANTCHA en matière d’artisanat et de luxe s’étend aux destinations et marques les plus prestigieuses au monde, avec des expériences de thé sur mesure pour Cartier, Gucci et Fendi, ainsi que des collaborations avec des résidences royales et des hôtels emblématiques tels que The Royal Atlantis, Emirates Palace et Four Seasons.

En savoir plus: avantcha.com/pages/tea-trunk

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.jp


Riyadh Season 2025 lance “Beast Land”

La zone proposera plus de 15 attractions principales et 14 expériences uniques, dont le Viking Coaster, le Phantom XXL, le Top Spin et un saut à l'élastique de 50 mètres de haut. (SPA)
La zone proposera plus de 15 attractions principales et 14 expériences uniques, dont le Viking Coaster, le Phantom XXL, le Top Spin et un saut à l'élastique de 50 mètres de haut. (SPA)
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  • Située près de Boulevard City et Boulevard World, la nouvelle attraction promet une expérience spectaculaire

RIYAD : L’Autorité générale du divertissement (GEA) a annoncé que les billets sont désormais disponibles pour Beast Land, qui ouvrira ses portes le 13 novembre, dans le cadre de la Riyadh Season 2025.

Située à proximité de Boulevard City et Boulevard World, cette nouvelle zone de divertissement propose une expérience immersive de grande ampleur, inspirée par l’univers du défi et de l’aventure.

Développée en collaboration avec le célèbre YouTubeur américain MrBeast (Jimmy Donaldson), Beast Land s’étend sur plus de 188 000 mètres carrés et combine jeux, aventures et spectacles interactifs accessibles à tous les âges.

La zone comprendra plus de 15 attractions principales et 14 expériences uniques, parmi lesquelles la Viking Coaster, le Phantom XXL, le Top Spin, ainsi qu’un saut à l’élastique de 50 mètres. Une “Beast Arena” dédiée proposera 10 défis compétitifs réalistes mettant à l’épreuve la vitesse, la précision et les réflexes, tels que Tower Siege, Battle Bridge et Warrior Challenge.

Le site accueillera également une zone de jeux pour enfants et plus de 20 points de restauration, faisant de Beast Land “une destination complète pour l’aventure et le divertissement.”

Beast Land sera ouverte de 16 h à minuit en semaine, et jusqu’à 1 h du matin les week-ends.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com