Le puits de Zamzam, un miracle intemporel

Le puits de Zamzam a jailli pour la première fois il y a 5 000 ans sous les pieds du prophète Ismaël après que sa mère Agar, la seconde épouse d'Ibrahim, ait couru sept fois entre les deux collines de Safa et Marwah (Photo, SPA).
Le puits de Zamzam a jailli pour la première fois il y a 5 000 ans sous les pieds du prophète Ismaël après que sa mère Agar, la seconde épouse d'Ibrahim, ait couru sept fois entre les deux collines de Safa et Marwah (Photo, SPA).
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Publié le Mercredi 12 août 2020

Le puits de Zamzam, un miracle intemporel

  • Depuis des milliers d'années, les pèlerins assoiffés comptent sur la source bénie pour leur fournir eau potable et inspiration spirituelle
  • Le développement et la maintenance du puits de Zamzam ont toujours été d’une importance capitale

DJEDDAH : C’est l’un des miracles les plus durables de l’islam, qui incarne la miséricorde de Dieu. Le puits de Zamzam a jailli pour la première fois il y a 5 000 ans sous les pieds du prophète Ismaël après que sa mère Agar, la seconde épouse d'Ibrahim, ait couru sept fois entre les deux collines de Safa et Marwah à la recherche d'eau pour sauver son fils assoiffé.
Le nom du puits vient de l’expression Zome Zome qui signifie « cesse de couler », un ordre répété par Agar alors qu’elle essayait de contenir l’eau de source.

L’eau du puits, toujours propre, ne contient pas de mousse, d’insectes, de champignons ni d’autres impuretés. Elle possède une concentration plus élevée en minéraux naturels que l’eau dessalée ordinaire. C’est ce qui lui donne un goût prononcé et lourd. Les pèlerins tiennent à boire de l’eau du puits et ils en rapportent des bouteilles pleines dans leurs pays, car elle est considérée comme une source naturelle de guérison pour les malades, selon le prophète Mahomet. 

La source d’eau ne s’est jamais tarie au fil des siècles : le développement et la maintenance du puits de Zamzam ont toujours été d’une importance capitale. Source principale des pèlerins de La Mecque d’hier et d’aujourd’hui, le puits n’a jamais cessé de produire de l’eau bénie pour les musulmans, sauf pendant une brève durée.

Au fil des siècles, le puits a été gardé par Abd Al-Muttaib ben Hashim, grand-père du prophète Mahomet, puis par plusieurs califes, avant de tomber sous la protection des rois saoudiens, à commencer par le fondateur de l’Arabie saoudite actuelle, le roi Abdel Aziz. Dans le passé, le puits sacré était préservé de manière primitive mais sous le règne de feu roi Abdallah sa gestion a été considérablement modernisée. Le défunt monarque a changé les méthodes de remplissage et de distribution de l’eau dans les deux Saintes Mosquées.

Il a également donné le coup d’envoi du Projet Roi Abdallah pour l'embouteillage de l'eau de Zamzam (KPZW) en 2013. Avec l’accroissement du nombre de pèlerins venant accomplir l’Omra et le Hajj, la demande en eau de Zamzam a rapidement augmenté, ce qui a nécessité de développer à nouveau le puits. Le coût de construction du projet s’est élevé à plus de 700 millions de rials saoudiens (158 millions de d’euros).

Une technologie de pointe pour maintenir la qualité de l’eau

Le projet s’est débarrassé de bon nombre d’anciennes méthodes non professionnelles de pompage, de filtrage, de distribution et de remplissage de l'eau. Elles ont désormais été remplacées par les technologies plus récentes et plus sûres. L’eau était auparavant embouteillée manuellement dans des conteneurs de tailles différentes, sans suivre de procédure d’embouteillage spécifique, causant ainsi involontairement une pollution de l’eau. Le nouveau projet autorise deux conteneurs de 5 et 10 litres, dans lesquels l’eau est traitée, embouteillée, conservée et distribuée de façon à la fois saine et efficace.

Avant la fin du Hajj ou de l’Omra, les pèlerins tiennent à emporter une ou deux bouteilles d’eau de Zamzam avec eux, ce qui, les années précédentes, provoquait le chaos et des files d’attente désorganisées. Aujourd’hui, le projet Roi Abdallah permet de distribuer des conteneurs d’eau à l’intérieur des bus ou dans les aéroports afin d’éviter les attroupements et de gagner du temps.

Des centres de distribution d’eau ont été placés dans différents endroits de la Grande Mosquée de La Mecque pour faciliter l’accès aux fidèles. À l’intérieur des deux Saintes Mosquées, l’eau est disponible dans des glacières nettoyées et remplies quotidiennement.
L’achat en ligne de bouteilles d’eau de Zamzam fait partie du projet de la National Water Company, mis en place après la suspension des ventes durant la pandémie du coronavirus.
L’eau de Zamzam est désormais distribuée via la plateforme de commerce électronique saoudienne HNAK, qui propose également un service de livraison à domicile. 

L’extraction, le pompage et la surveillance continue du stockage et des pipelines sont réalisés grâce à l’utilisation de fibres optiques et d’un système d’acquisition et de contrôle de données. Grâce à ces technologies, la qualité des minéraux naturels de l’eau de Zamzam est préservée et entretenue selon une recherche méticuleuse qui a été menée afin de déterminer les méthodes de pompage et de filtrage les plus adaptées.

Pour éviter que les caractéristiques de l’eau de Zamzam ne soient affectées par des contaminations naturelles externes, le Zamzam Studies and Research Center a appliqué un contrôle de qualité rigoureux.

« Pour pouvoir gérer le puits de Zamzam de manière durable, nous devons parfaitement comprendre l’emplacement environnemental et hydrogéologique de ce puits sacré et des sources d’eau qui y parviennent, y compris les conducteurs d’eau dans la région », explique à Arab News le président du centre de recherche, Samer Showman. Nous devons observer comment l’eau est stockée, à quelle vitesse elle se déplace et quels types de minéraux elle extrait lors de son passage entre les rochers afin de comprendre ce qui caractérise l’eau de Zamzam », poursuit-il. 

Des techniques de pointe sont utilisées par le centre de recherche. « Nous avons lié le modèle mathématique à un réseau de données et à des stations pluviométriques dans une partie différente de l'aquifère pour déterminer le volume et la quantité exacts d'eau qui peuvent être extraits tout au long de l'année à Wadi Ibrahim », ajoute Samer Showman.

Le président du centre de recherche  précise enfin qu’un laboratoire de La Mecque surveille et teste les différents échantillons de l’eau de Zamzam qui sont analysés chaque semaine afin de maintenir la qualité de l’eau. 


Anthony Hopkins enchante Riyad avec une symphonie onirique

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
Anthony a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad. (Photo Fournie)
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  • Présentée par Morgan Freeman, l'icône hollywoodienne se penche sur le langage universel de la musique
  • Un concert en Arabie Saoudite : un honneur inimaginable, dit Hopkins

RIYADH : Dans un mélange captivant d'art et d'humanité, l'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé "La vie est un rêve", dans le cadre des festivités de la Saison de Riyad.

Présenté par son collègue acteur Morgan Freeman, Hopkins a commencé son discours par la salutation arabe "As-salamu alaykum", donnant ainsi le ton du respect culturel et de l'unité.

Hopkins a partagé ses réflexions sur la vie et l'art, s'inspirant des mots d'Edgar Allan Poe : "J'ai toujours cru que tout ce que nous voyons ou semblons être n'est qu'un rêve à l'intérieur d'un rêve".

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

Il a remercié Turki Al-Sheikh, président de la General Entertainment Authority, de l'avoir invité à se produire à Riyad.

C'est avec une grande humilité et une immense gratitude que je présente ma pièce, "La vie est un rêve", dans le cadre de la Saison de Riyad", a-t-il déclaré.

Se remémorant sa vie, il a décrit le chemin parcouru depuis le "fils d'un simple boulanger" du sud du pays de Galles jusqu'à un compositeur et un acteur de renommée mondiale.

"Pour moi, ma vie est un profond mystère", a-t-il déclaré. "Il est impossible de comprendre ou de s'attribuer le mérite des bénédictions qui m'ont été accordées. C'est pourquoi je crois que la vie est un rêve, et cette pièce, "Life is a Dream", m'a été inspirée par mon enfance rêveuse dans le sud du pays de Galles, par ma mère qui m'a merveilleusement soutenu et par mon père, qui était plus grand que nature et qui a travaillé sans relâche tout au long de sa vie.

Hopkins a invoqué la philosophie de Ralph Waldo Emerson, soulignant que la musique et l'art sont des connecteurs spirituels.

"La musique et l'art sont des chemins vers Dieu, le principal moyen de relier toutes les âmes humaines. Emerson a compris que toucher une âme, c'est toucher toutes les âmes et je crois moi aussi que la musique a un pouvoir de transformation", a-t-il déclaré.

L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)
L'icône hollywoodienne Anthony Hopkins a gratifié le théâtre Bakr Al-Shaddi de Boulevard City, à Riyad, d'un spectacle intitulé « La vie est un rêve ». (Photo Fournie)

"J'ai toujours rêvé d'être compositeur, mais je n'ai jamais su comment. Pourtant, donner ce concert en Arabie saoudite, berceau de l'islam, où le prophète Mahomet a reçu ses messages et où se trouvent les villes saintes de La Mecque et de Médine, est un honneur inimaginable".

Abordant les défis mondiaux, M. Hopkins a souligné l'importance de l'unité et de la paix.

"Je ne peux imaginer un meilleur endroit qu'ici pour nous rassembler, surmonter nos différences et envisager un monde de paix, d'équilibre et d'amour", a-t-il déclaré.

"À 87 ans, je comprends parfaitement que la mort est inévitable. Mais le thème de ce concert est que la vie est un long adieu à tout ce que nous aimons, un adieu prolongé, mais rempli de pardon et d'émerveillement".

M. Hopkins a conclu en remerciant l'équipe qui a rendu ce concert possible, en particulier Rakan Al-Harthi, directeur général de Sela, son producteur musical Stephen Barton, le chef d'orchestre Matthew Freeman et le Royal Philharmonic Orchestra. Il a terminé son discours par "Shukran".

Grâce à cet événement, Hopkins a non seulement mis en valeur ses talents musicaux, mais il a également laissé une impression durable sur la Saison de Riyad, en soulignant le pouvoir unificateur de l'art et de la musique dans la promotion de la tolérance, de l'amour et de la compréhension entre les cultures.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com

   

Le mouvement Slow Food s'implante à AlUla

AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
AlUla dévoile le centre d'art culinaire de Dadan, qui célèbre le mouvement slow food, la durabilité et les traditions culinaires. (Photo Fournie)
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  • Le Centre d'art culinaire Dadan est un centre d'éco-gastronomie qui allie patrimoine et système alimentaire durable.
  • Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

RIYADH : grâce à l'ouverture du Centre d'art culinaire Dadan, la ville d'AlUla accueille un nouveau foyer du mouvement slow food. Ce centre célèbre l'agriculture durable, les traditions alimentaires locales et les repas réfléchis.

Ce mouvement mondial vise à favoriser un lien plus profond entre les consommateurs et leurs sources de nourriture, en prônant l'utilisation d'ingrédients saisonniers et locaux, et en soutenant tous les membres de la communauté, des valeurs qui ont guidé le développement d'AlUla en tant que destination durable.

Le Centre des arts culinaires Dadan est un centre mondial d'éco-gastronomie qui allie l'héritage de l'oasis verdoyante d'AlUla aux valeurs contemporaines d'un système alimentaire équitable et durable.

Situé près du site historique de Dadan, le centre propose des repas, des ateliers interactifs et la possibilité de rencontrer les agriculteurs d'AlUla, le tout dans un cadre naturel d'exception.

Le marché fermier de Dadan, qui met en valeur les richesses agricoles de la ville tous les week-ends avec un éventail de produits frais et saisonniers, est l'un des sites incontournables d'AlUla.

Les familles locales, dont les moyens de subsistance sont étroitement liés à l'agriculture de l'oasis, présentent leurs produits et invitent les visiteurs à découvrir les saveurs authentiques d'AlUla. Les visiteurs peuvent savourer des plats préparés selon des méthodes traditionnelles ou choisir des produits frais à déguster sur l'aire de pique-nique, adoptant ainsi la philosophie « de l'oasis à la table » qui est au cœur de la mission du centre. Chaque achat soutient directement les agriculteurs locaux.

Le restaurant Diyar du centre, nommé d'après le mot arabe signifiant « maison », offre une expérience gastronomique inoubliable. Chaleureux et accueillant, il surplombe les montagnes majestueuses et sert des plats préparés à partir d'ingrédients provenant de sources durables et cultivés localement. Sous la direction du chef primé Sergio Rama, il redéfinit l'hospitalité en transformant des repas simples en une célébration de la communauté et du patrimoine.

Une autre façon d'en savoir plus sur AlUla et ses habitants est de participer aux ateliers du centre, qui enseignent les pratiques durables et les traditions locales. 

Qu'il s'agisse d'apprendre les principes fondamentaux de la cuisine de la ferme à la table, de maîtriser les arts de la saumure et de la fermentation ou d'explorer les multiples utilisations du moringa dans les huiles et les savons, les participants acquièrent des connaissances pratiques sur de multiples pratiques artisanales et alimentaires.

Grâce au centre d'art culinaire Dadan, AlUla invite le monde à redécouvrir le plaisir d'une cuisine saine et traditionnelle dans son oasis intemporelle.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


« Unstoppable » : Une sortie attendue mais réjouissante

"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
"Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome dans le rôle de Robles, Jennifer Lopez dans celui de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans celui de son beau-père Rick. (Fourni)
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  • Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe
  • Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur

LONDRES : Il est facile d'oublier qu'il arrive parfois que l'on attende simplement une dose de bonnes vibrations d'un film — et peu de genres s'y prêtent mieux que le biopic sportif.

Le film "Unstoppable" raconte l'histoire réelle d'Anthony Robles, un lutteur américain qui a remporté le championnat national de lutte universitaire de 125 livres (57 kg) en 2011 bien qu'il soit né avec une seule jambe.

Réalisé par William Goldenberg (scénariste et monteur de renom, qui fait ici ses débuts en tant que réalisateur), "Unstoppable" met en scène Jharrel Jerome ("Moonlight", "When They See Us") dans le rôle de Robles, avec Jennifer Lopez dans le rôle de sa mère Judy et Bobby Cannavale dans le rôle de son beau-père Rick.

Déjà talentueux lutteur au lycée, Robles rate la bourse d'études dont il rêvait, mais choisit de payer pour aller à l'université d'État de l'Arizona et gagner une place dans l'équipe de lutte de l'établissement.

Malgré le comportement abusif de Rick à la maison, Robles continue de gagner la confiance de ses coéquipiers. Soutenu par la foi inébranlable de sa mère et de son entraîneur au lycée (joué par Michael Pena), il se montre non seulement digne de sa place, mais aussi un athlète capable de performer sur la scène nationale.

Le problème avec les films de sport (ou du moins les bons), c'est qu'il faut vraiment s'appuyer sur tous les clichés et embrasser toutes les expressions qui font chavirer le cœur. Parce que, si vous le faites - et si le film a un casting décent qui fait un travail sérieux - le résultat en vaut la peine.

C'est le cas de "Unstoppable", un film aussi déterminé que son protagoniste du monde réel. Bien sûr, il y a quelques éléments de l'histoire qui sont évoqués puis abandonnés. Bien sûr, la montée en puissance de l'épreuve de force est plus que prévisible.

Mais ce film bénéficie de l'excellente performance de Jerome (aidé par des effets et des cascades absolument parfaits, qui voient Robles lui-même exécuter certaines séquences de lutte), et d'une distribution secondaire immensément talentueuse.

Lopez, Cannavale et Peña jouent tous très bien leur rôle, mais Don Cheadle mérite également des éloges pour son interprétation en tant qu'entraîneur et mentor de Robles à l'université.

S'agit-il de l'exploration la plus sophistiquée du monde de la lutte universitaire ? Non. Mais s'agit-il d'un film chaleureux et décent qui vous fera du bien ? Absolument.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com