La technologie de refroidissement routier offrira aux pèlerins du Hajj un répit contre la chaleur

En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins, afin que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins, afin que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins, afin que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins, afin que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins, afin que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins, afin que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
Al-Otaibi a déclaré que « cette technologie était également appliquée dans un espace de 25 000 mètres carrés près de la mosquée Namira à Arafat ». (Photo/hajjumrahplanner)
Al-Otaibi a déclaré que « cette technologie était également appliquée dans un espace de 25 000 mètres carrés près de la mosquée Namira à Arafat ». (Photo/hajjumrahplanner)
L'Arabie saoudite applique une technologie innovante de refroidissement des routes pour améliorer la sécurité et le confort des pèlerins pendant la saison 2024 du Hajj. (Twitter @ReasahAlharmain)
L'Arabie saoudite applique une technologie innovante de refroidissement des routes pour améliorer la sécurité et le confort des pèlerins pendant la saison 2024 du Hajj. (Twitter @ReasahAlharmain)
Le porte-parole de l'Autorité générale des routes, Abdulaziz Al-Otaibi.
Le porte-parole de l'Autorité générale des routes, Abdulaziz Al-Otaibi.
Short Url
Publié le Samedi 15 juin 2024

La technologie de refroidissement routier offrira aux pèlerins du Hajj un répit contre la chaleur

  • Cette modernisation s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par le Royaume pour améliorer les infrastructures et les services offerts aux millions de pèlerins
  • Un matériau réfrigérant qui absorbe moins le rayonnement solaire que les substances traditionnelles est appliqué sur les chaussées autour des lieux saints

RIYAD : Une technologie innovante de refroidissement des routes est prête à rendre l'expérience des pèlerins du Hajj plus sûre et plus confortable alors que les températures grimpent jusqu'à 46 degrés Celsius dans la chaleur de l'été.

Un porte-parole de l'Autorité générale des routes, Abdelaziz Al-Otaibi, a déclaré à Arab News : « Lorsque les routes sont exposées à la lumière du soleil, elles absorbent la chaleur, atteignant jusqu'à 70 degrés Celsius de rétention de température une fois le soleil couché. »

« En conséquence, a-t-il ajouté, la route commence à émettre de la chaleur, ce qui entraîne ce que l'on appelle un phénomène d'îlot de chaleur. Pour contrer ce phénomène, un matériau réfrigérant qui absorbe moins le rayonnement solaire que les substances traditionnelles est appliqué sur les chaussées autour des lieux saints. »

En mettant en œuvre une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins et veille à ce que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)
En mettant en œuvre une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins et veille à ce que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/Fourni)

« Le matériau que nous avons mis au point est particulièrement efficace par temps ensoleillé, car il reflète les rayons du soleil, ce qui contribue à abaisser la température de la route en réduisant l'absorption de la chaleur », a souligné Al-Otaibi.

Cela permet de réduire l'accumulation de chaleur, de garder la route plus fraîche et de la rendre plus agréable pour les piétons.

EN BREF

- L'Autorité générale des routes étend maintenant le projet de refroidissement des routes aux zones de Mina, Arafat et Muzdalifah.

- Le matériau est également appliqué sur 25 000 mètres carrés près de la mosquée Namira à Arafat.

- Cette innovation crée un précédent pour d'autres pays en garantissant la sécurité et le confort des visiteurs religieux.

La technologie de refroidissement des routes s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par l'Arabie saoudite pour améliorer les infrastructures et les services destinés aux millions de pèlerins du monde entier qui se rendent à La Mecque pour leur voyage spirituel du Hajj.

En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins et veille à ce que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/ Fourni)
En mettant en place une technologie de refroidissement des routes dans des zones-clés de La Mecque, le gouvernement saoudien crée un environnement plus hospitalier pour les pèlerins et veille à ce que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles. (SPA/ Fourni)

Al-Otaibi a ajouté : "Les données montrent que ce matériau de refroidissement a contribué à réduire la température des surfaces asphaltées de 12 à 15 degrés Celsius, ce qui équivaut à une réduction de 20 % par rapport aux routes qui en sont dépourvues».

En mettant en œuvre cette technologie dans des zones clés de La Mecque, le gouvernement saoudien entend créer un environnement plus hospitalier pour les pèlerins et faire en sorte que leur voyage vers la ville sainte se déroule dans les meilleures conditions possibles.

Le matériau que nous avons mis au point est particulièrement efficace par temps ensoleillé, car il reflète les rayons du soleil, ce qui contribue à abaisser la température de la route en réduisant l'absorption de la chaleur.

Abdelaziz Al-Otaibi, porte-parole de l'Autorité générale des routes

« L'année dernière, nous avons testé l'application de ce matériau de refroidissement des routes pour la première fois pendant la saison du Hajj dans les couloirs de Jamarat et ce fut un succès », a précisé Al-Otaibi.

La RGA étend maintenant le projet aux zones de Mina, Arafat et Muzdalifah. Le matériau est également appliqué sur 25 000 mètres carrés près de la mosquée Namira à Arafat.

Cette substance innovante a été mise au point en partenariat avec des organisations telles que le ministère du Hajj et de la Omra, le ministère des Affaires municipales et rurales et du Logement, le Programme de l'expérience du pèlerin et le Programme de la qualité de vie. Elle est fabriquée dans le Royaume sous l'égide du centre de recherche de la RGA.

La technologie de refroidissement des routes témoigne des mesures dynamiques prises par l'Arabie saoudite pour améliorer l'infrastructure et les services fournis pendant le Hajj, créant ainsi un précédent pour les autres pays en garantissant la sécurité et le confort des visiteurs religieux.

 

 Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Gaza: le ministère de la Santé du Hamas annonce 1.042 morts depuis la reprise des frappes israéliennes

 Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour la bande de Gaza a annoncé mardi que 1.042 personnes avaient été tuées depuis la reprise le 18 mars des bombardements israéliens sur ce territoire palestinien, dont 41 au cours des dernières 24 heures. (AFP)
Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour la bande de Gaza a annoncé mardi que 1.042 personnes avaient été tuées depuis la reprise le 18 mars des bombardements israéliens sur ce territoire palestinien, dont 41 au cours des dernières 24 heures. (AFP)
Short Url
  • Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour la bande de Gaza a annoncé mardi que 1.042 personnes avaient été tuées
  • Le ministère ajoute dans un communiqué que les bombardements et l'offensive au sol d'Israël ont également fait 2.542 blessés depuis le 18 mars

GAZA: Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour la bande de Gaza a annoncé mardi que 1.042 personnes avaient été tuées depuis la reprise le 18 mars des bombardements israéliens sur ce territoire palestinien, dont 41 au cours des dernières 24 heures.

Le ministère ajoute dans un communiqué que les bombardements et l'offensive au sol d'Israël ont également fait 2.542 blessés depuis le 18 mars, et que le bilan total depuis le début de la guerre, déclenchée par l'attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, se monte désormais à 50.399 morts dans la bande de Gaza.

 


Djibouti : nomination d'un nouveau ministre des Affaires étrangères

Le ministre des Affaires étrangères de Djibouti et candidat à la Commission de l'Union africaine, Mahmoud Ali Youssouf, pose pour une photo lors du 38e sommet de l'Union africaine (UA), au cours duquel les dirigeants éliront un nouveau chef de la Commission de l'UA, au siège de l'UA à Addis-Abeba, le 15 février 2025. (Photo Amanuel Sileshi / AFP)
Le ministre des Affaires étrangères de Djibouti et candidat à la Commission de l'Union africaine, Mahmoud Ali Youssouf, pose pour une photo lors du 38e sommet de l'Union africaine (UA), au cours duquel les dirigeants éliront un nouveau chef de la Commission de l'UA, au siège de l'UA à Addis-Abeba, le 15 février 2025. (Photo Amanuel Sileshi / AFP)
Short Url
  • Un nouveau ministre des Affaires étrangères a été nommé à Djibouti pour remplacer Mahamoud Ali Youssouf, élu en février à la tête de la Commission de l'Union africaine
  • Abdoulkader Houssein Omar, ancien ambassadeur à Koweït et en Jordanie, est nommé « au poste de ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale.

ADDIS ABEBA, ETHIOPIE : Un nouveau ministre des Affaires étrangères a été nommé à Djibouti pour remplacer Mahamoud Ali Youssouf, élu en février à la tête de la Commission de l'Union africaine, selon un décret présidentiel publié mardi.

Abdoulkader Houssein Omar, ancien ambassadeur à Koweït et en Jordanie, est nommé « au poste de ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, porte-parole du gouvernement » d'après le décret signé par le chef de l'État, Ismaïl Omar Guelleh.

« On ne parle même pas de remaniement ministériel, c'est le seul changement au sein du gouvernement », a précisé à l'AFP Alexis Mohamed, porte-parole de la présidence djiboutienne.

L'ancien titulaire du poste, Mahamoud Ali Youssouf, était resté à la tête de la diplomatie de Djibouti pendant près de 20 ans.

Le chef de l'État Ismaël Omar Guelleh, au pouvoir depuis 1999, quittera son poste à la suite de la prochaine élection présidentielle, prévue en 2026.

Djibouti, pays parmi les moins peuplés du continent avec quelque un million d'habitants, joue un rôle central dans la région.

Îlot de stabilité prisé dans une région troublée, ce pays d'Afrique de l'Est est situé face au Yémen, à la sortie de la mer Rouge, dans le détroit de Bab-el-Mandeb où transite une grande part du commerce mondial entre Asie et Occident.

La France, ancienne puissance coloniale de plus en plus contestée sur le continent, y dispose de bases militaires en compagnie des États-Unis et de la Chine.


Une étude saoudienne sur le microbiome de l'œil humain participe au lancement de la fusée SpaceX

Une mission saoudienne visant à étudier les effets de la faible gravité sur le microbiome de l'œil humain a rejoint le lancement du vol Fram2 de SpaceX dans la nuit de lundi à mardi. (Reuters)
Une mission saoudienne visant à étudier les effets de la faible gravité sur le microbiome de l'œil humain a rejoint le lancement du vol Fram2 de SpaceX dans la nuit de lundi à mardi. (Reuters)
Short Url
  • L'étude menée par Falak for Space Science and Research portera sur les bactéries et autres micro-organismes de l'œil dans des conditions de microgravité.
  • « Ce projet contribuera à la réalisation de progrès qualitatifs en matière d'éducation et de recherche dans le domaine de l'espace et des technologies associées », a déclaré le Dr Ayoub Al-Subehi, PDG de Falak,

RIYAD : Une mission saoudienne visant à étudier les effets de la faible gravité sur le microbiome de l'œil humain s'est jointe au lancement du vol Fram2 de SpaceX dans la nuit de lundi à mardi.

L'étude menée par Falak for Space Science and Research examinera les bactéries et autres micro-organismes de l'œil dans des conditions de microgravité.

Une équipe de chercheurs a recueilli des échantillons biologiques de cultures microbiennes et a effectué des tests pour s'assurer que les échantillons pouvaient résister aux conditions de lancement et revenir de l'espace en toute sécurité.

« Ce projet contribuera à la réalisation de progrès qualitatifs en matière d'éducation et de recherche dans le domaine de l'espace et des technologies associées », a déclaré le Dr Ayoub Al-Subehi, PDG de Falak, à l'agence de presse saoudienne avant le lancement.

L'étude du microbiome oculaire dans l'espace est un domaine de recherche émergent. Cette expérience analysera les taux de croissance des micro-organismes dans l'espace par rapport aux taux de croissance sur Terre.

Elle permettra également de suivre les changements génétiques et protéiques pouvant résulter de l'exposition à la microgravité.

L'expérience vise également à évaluer la capacité des microbes à former des biofilms, ce qui peut augmenter le risque d'infection dans l'espace, ainsi qu'à analyser les changements dans la résistance microbienne aux antibiotiques après une exposition à la microgravité.

Le Dr Wedad bint Saeed Al-Qahtani, chercheuse dans le cadre de la mission, a déclaré : « Étudier l'impact de l'environnement spatial sur la microflore naturelle de l'œil pourrait fournir des données précieuses sur la façon dont elle réagit aux conditions de microgravité. Cela pourrait aider à développer de nouvelles stratégies et de nouveaux protocoles pour préserver la santé des yeux. »

Un autre scientifique de la mission, le professeur Salwa Al-Hazza, a souligné l'importance de la recherche ophtalmologique en déclarant : « Ce que nous faisons aujourd'hui ne se limite pas à l'envoi d'une expérience scientifique dans l'espace, mais constitue une étape fondamentale pour mieux comprendre l'impact de l'environnement spatial sur la santé oculaire.

Nous espérons que les résultats contribueront au développement de futures solutions médicales qui amélioreront les soins de santé oculaire, à la fois dans l'espace et sur Terre. 

Cela permettra également de porter fièrement le drapeau saoudien et de représenter une étape importante dans l'engagement du Royaume à innover scientifiquement et à renforcer son rôle grandissant dans le secteur spatial mondial. »

Cette mission s'inscrit dans le cadre des efforts déployés à l'échelle mondiale pour étudier l'impact de l'espace sur la santé humaine. Elle a été précédée par des recherches similaires sur l'effet de la microgravité sur les microbiomes intestinaux et buccaux.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com