Informatica est à la pointe de la transformation numérique saoudienne avec des solutions basées sur le cloud

L'Arabie saoudite s’engage à offrir une expérience touristique et des services «de classe mondiale» grâce à l’adoption de solutions numériques basées sur le cloud. Shutterstock.
L'Arabie saoudite s’engage à offrir une expérience touristique et des services «de classe mondiale» grâce à l’adoption de solutions numériques basées sur le cloud. Shutterstock.
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Publié le Samedi 01 juin 2024

Informatica est à la pointe de la transformation numérique saoudienne avec des solutions basées sur le cloud

  • Dans une interview accordée à Arab News, le PDG de la société, Amit Walia, a exprimé son admiration pour la croissance rapide du tourisme et l’importance des efforts déployés que le Royaume pour améliorer l’expérience globale des visiteurs
  • Informatica permet aux entreprises de tirer parti de leurs informations et de l’IA en connectant et en gérant les données à travers n'importe quel système multi-cloud ou hybride, facilitant ainsi l’adoption de stratégies commerciales modernes

RIYAD: L'Arabie saoudite s’engage à offrir une expérience touristique et des services «de classe mondiale» grâce à des solutions numériques alimentées par le cloud, en s'associant au développeur de logiciels d'entreprise Informatica Inc, a déclaré un cadre supérieur. 

Dans une interview accordée à Arab News, le PDG de la société, Amit Walia, a exprimé son admiration pour la croissance rapide du tourisme et l’importance des efforts déployés que le Royaume pour améliorer l’expérience globale des visiteurs.

M. Walia a déclaré : «J'ai été très impressionné et étonné par l'attention portée au client final, le touriste, et par les efforts déployés pour faire de cette expérience la meilleure au monde. Il faut veiller à ce que l'information soit facilement accessible afin que l'expérience soit optimale».

Il a souligné que l'entreprise souhaitait contribuer à atteindre cet objectif et qu'elle pouvait participer au développement du tourisme et des infrastructures en Arabie saoudite.

M. Walia a mis en avant le potentiel d'améliorer l'expérience des visiteurs, qu'ils soient religieux ou non, en exploitant les données et la technologie dans des domaines tels que le transport, l'hébergement et les installations de loisirs.

Informatica permet aux entreprises de tirer parti de leurs informations et de l’IA en connectant et en gérant les données à travers n'importe quel système multi-cloud ou hybride, facilitant ainsi l’adoption de stratégies commerciales modernes.

Lors d'une entrevue avec Arab News lors du premier sommet majeur sur l'innovation en matière de données, l'Informatica Summit Saudi Arabia 2024, à Riyad, le PDG a souligné que l'objectif de cet événement était de tracer une feuille de route pour accélérer la transformation de l'Arabie saoudite en un État axé sur le cloud et les données, avant l'Exposition universelle de 2030.

Il a également affirmé que les capacités de l'entreprise à gérer les chaînes d'approvisionnement et à garantir la sécurité et la gouvernance des données peuvent améliorer l'efficacité opérationnelle du Royaume en tant qu'entreprise numérique.

M. Walia a également souligné la conviction d'Informatica selon laquelle son investissement en Arabie saoudite accélérera la transformation numérique du pays axée sur l'IA et le Cloud, ce qui bénéficiera en in fine à son avancement.

«Tous les grands partenaires se sont standardisés sur Informatica. Nous sommes convaincus que nous pouvons non seulement aider le Royaume à atteindre son objectif 2030, mais nous pensons qu'il pourrait l’atteindre plus tôt. Nous souhaitons pleinement contribuer à cette réussite» , a-t-il déclaré.

Insistant sur le rôle crucial de la technologie cloud dans la transformation numérique, en particulier dans le contexte de l'IA, Walia a affirmé que l'infrastructure cloud est essentielle pour permettre ces développements technologiques.

Il a souligné l'importance de la gestion des données, affirmant que des données de haute qualité sont cruciales pour obtenir des résultats précis dans les applications d'IA. 

L'entreprise s’apprête à ouvrir son tout premier bureau dans le Royaume au cours des prochains mois, renforçant ainsi sa présence dans la région.

Le PDG s'est montré confiant quant au développement d'Informatica en Arabie saoudite, prévoyant une croissance dépassant celle de toute autre région, y compris son expansion en Europe.

«Je suis fermement convaincu que notre croissance dans le Royaume sera bien plus rapide que dans n'importe quelle autre région du continent européen. Nous investissons en conséquence», a déclaré M. Walia.  

Au cours de l'entretien, M. Walia a indiqué que l'entreprise avait collaboré avec Google Cloud pour mettre en place une infrastructure régionale de fourniture de données, garantissant ainsi la sécurité. 

Il a en outre expliqué que les partenariats avec des intégrateurs de systèmes mondiaux et des agences locales visent à standardiser les pratiques en matière de gouvernance et de protection de la vie privée dans tout le pays.

«Il s'agit d'un partenariat très étroit. Nous travaillons avec Google Cloud depuis ses débuts. Notre objectif ici, dans le Royaume, est de nous assurer que toutes nos plateformes cloud pour la gestion des données sont disponibles localement», a déclaré M. Walia. 

Il poursuit: «Nous prévoyons d'aborder ce sujet de manière plus approfondie dans les mois et les semaines à venir, afin de devenir le socle de toutes les initiatives relatives à une gestion sécurisée et de qualité des données pour le Royaume».  

Il a conclu l'entretien en soulignant l'importance de la gestion des données à l'ère des avancées induites par l'IA. À cet effet, M. Walia a souligné que même si l'IA est puissante, elle ne génère de la valeur que si elle est associée à des données de haute qualité.

 «L'IA ne génère pas intrinsèquement de valeur. Elle n'apporte de la valeur que lorsqu'elle est associée à des données de qualité. Or, les données ne sont pas nécessairement bonnes par nature; elles peuvent être de mauvaise qualité et fragmentées. La gestion des données est cruciale. C'est précisément ce que nous faisons chez Informatica.», a-t-il déclaré.

Et M. Walia d'ajouter : «Informatica gère les données depuis 30 ans. Nous sommes la première entreprise à le faire à grande échelle. Notre plateforme gère 92 milliards de transactions par mois et enregistre une croissance de 100 % chaque année.»

En avril, Informatica a lancé sa plateforme Cloud de gestion intelligente des données alimentée par l'IA en Arabie saoudite, ce qui représente une avancée inédite pour le Royaume.

Cette initiative a impliqué la mise en place d'un nouveau point de livraison à Riyad sur Google Cloud, permettant à l'entreprise de renforcer son soutien aux partenaires et aux organisations locales avec sa plateforme de gestion des données dans le cloud, conformément aux réglementations locales.


De nouvelles lois simplifient l'enregistrement des entreprises saoudiennes

Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024. Shutterstock
Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024. Shutterstock
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  • la nouvelle loi sur le registre du commerce et la loi sur les noms commerciaux entreront en vigueur le 3 avril. 
  • Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024, avec 521 969 délivrés par rapport à l'année précédente.

RIYAD : L'Arabie saoudite s'apprête à introduire des changements importants dans son système d'enregistrement des entreprises lorsque la nouvelle loi sur le registre du commerce et la loi sur les noms commerciaux entreront en vigueur le 3 avril. 

Abdulrahman Al-Hussein, porte-parole officiel du ministère du Commerce, a souligné que l'un des changements majeurs comprend l'abolition des registres subsidiaires, rendant suffisant un registre commercial unique, a rapporté l'agence de presse saoudienne. 

Les lois, annoncées en septembre, suppriment également l'obligation de spécifier la ville d'enregistrement, ce qui signifie qu'un seul enregistrement commercial sera valable dans toutes les régions du Royaume, a ajouté M. Al-Hussein. 

Ces changements interviennent alors que l'Arabie saoudite a connu une augmentation de 60 % des enregistrements commerciaux en 2024, avec 521 969 délivrés par rapport à l'année précédente, selon le ministère du Commerce.

Ces mesures s'inscrivent également dans le cadre des efforts de diversification économique du Royaume, qui visent à réduire la dépendance au pétrole et à augmenter la contribution du secteur privé au produit intérieur brut, celle-ci devant passer de 40 % à 65 % d'ici 2030. 

M. Al-Hussein a déclaré que la loi sur le registre du commerce « annule la date d'expiration du registre du commerce et n'exige qu'une confirmation annuelle des données ».

Il a souligné que le numéro d'enregistrement commercial servira désormais de numéro unifié de l'établissement, commençant par « 7 ». 

Les registres subsidiaires existants disposeront d'un délai de grâce de cinq ans pour se conformer à la nouvelle réglementation. 

En outre, la nouvelle loi sur les noms commerciaux autorise désormais la réservation et l'enregistrement de noms commerciaux en anglais, y compris les lettres et les chiffres, contrairement à la règle précédente qui n'autorisait que les noms arabes sans caractères ou chiffres étrangers. 

Cette modification permet également de gérer séparément les noms commerciaux de l'établissement, ce qui permet de transférer la propriété. Elle empêche l'enregistrement de noms identiques ou similaires pour différentes entreprises, quelles que soient leurs activités. 

M. Al-Hussein a ajouté que cette loi comprend des dispositions permettant de réserver les noms de famille comme noms commerciaux et fixe des normes pour les noms interdits ou trompeurs. 

Le cabinet saoudien a approuvé ces changements le 17 septembre, le gouvernement souhaitant rationaliser les opérations commerciales et améliorer l'environnement de travail dans son ensemble. 

Dans un message publié sur son compte X, le ministre du commerce, Majid bin Abdullah Al-Qasabi, a souligné que ces changements permettraient de rationaliser les procédures de réservation et d'enregistrement des noms commerciaux, protégeant et renforçant ainsi leur valeur, conformément aux avancées économiques et technologiques décrites dans la Vision 2030. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Des enjeux stratégiques derrière l'apaisement diplomatique entre Paris et Alger

Le président français Emmanuel Macron (G) et le président algérien Abdelmadjid Tebboune (D) se serrent la main lors d'une cérémonie de signature au pavillon d'honneur de l'aéroport d'Alger, à Alger, le 27 août 2022. (Photo Ludovic MARIN / AFP)
Le président français Emmanuel Macron (G) et le président algérien Abdelmadjid Tebboune (D) se serrent la main lors d'une cérémonie de signature au pavillon d'honneur de l'aéroport d'Alger, à Alger, le 27 août 2022. (Photo Ludovic MARIN / AFP)
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  • Les deux chefs d'État ont souligné lundi la nécessité de renouer le dialogue « d'égal à égal » en raison de « la force des liens » unissant la France et l'Algérie, de leurs intérêts stratégiques et de sécurité.
  • La France, ancien pays colonisateur de l'Algérie, compte aujourd'hui une importante communauté algérienne (649 991 personnes en 2024, +0,5 % par rapport à 2023 auxquels s'ajoutent 1,2 million de descendants d'immigrés algériens.

PARIS : De la nécessaire coopération sécuritaire et économique à l'épineux dossier des Algériens que la France ne parvient pas à expulser, les raisons qui ont poussé Emmanuel Macron et son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune à reprendre langue sont multiples.

Huit mois jour pour jour après le début d'une crise inédite entre les deux pays, les deux chefs d'État ont souligné lundi la nécessité de renouer le dialogue « d'égal à égal » en raison de « la force des liens » unissant la France et l'Algérie, de leurs intérêts stratégiques et de sécurité, ainsi que des « défis et crises auxquels l'Europe, la Méditerranée et l'Afrique » sont confrontées.

- Relations humaines imbriquées

La France, ancien pays colonisateur de l'Algérie, compte aujourd'hui une importante communauté algérienne (649 991 personnes en 2024, +0,5 % par rapport à 2023, selon le ministère de l'Intérieur), auxquels s'ajoutent 1,2 million de descendants d'immigrés algériens, selon l'Institut national d'études démographiques.

Une restriction des visas de courte durée pour visite familiale affecterait ainsi directement les Algériens.

Le Premier ministre François Bayrou et le chef de la diplomatie Jean-Noël Barrot ont publiquement refusé de faire peser sur la diaspora algérienne le poids de cette crise diplomatique. 

- Coopération sécuritaire

« La France considère Alger comme un partenaire privilégié dans la lutte contre le terrorisme en raison de son expertise et de ses capacités dans ce domaine », note Hasni Abidi, spécialiste de l'Algérie.

Et elle a un intérêt objectif à la stabilité de l'Algérie, le plus grand pays d'Afrique, frontalier de pays (Mali, Niger, Libye) où la sécurité est chaotique.

Les deux pays vont ainsi reprendre leur coopération sur la lutte contre le jihadisme au Sahel, avec à la clé les échanges de renseignements.

L'objectif est d'y contenir la progression des groupes armés et celle des différents trafics (drogue, armes, migrants).

Les deux pays doivent aussi travailler sur la question du potentiel retour de Syrie de centaines de jihadistes algériens ou franco-algériens. 

- Intérêts économiques

L'Algérie est une puissance énergétique considérable. La France est l'un de ses clients pour le gaz (6 milliards d'euros). « C'est important pour nous, mais pas critique », tempère un diplomate, précisant que le gaz algérien représente 6 à 7 % des approvisionnements.

Néanmoins, la crise a eu des effets délétères sur les intérêts français en Algérie, où la France compte quelque 6 000 entreprises.

Les flux commerciaux ont baissé de 20 à 30 % dans certains secteurs l'an dernier, en raison notamment de l'arrêt des importations de blé français.

Si les petites entreprises sont les plus affectées, les grandes ne sont pas épargnées. Le redémarrage d'une usine Renault a ainsi été suspendu.

- Immigration -

La question de la réadmission dans leur pays d'origine des Algériens sous obligation de quitter le territoire français (OQTF) a enflammé les relations bilatérales. Cette question a été brandie à de multiples reprises par le ministre français de l'Intérieur Bruno Retailleau.

La crise a atteint son paroxysme après l'attentat de Mulhouse ayant fait un mort le 22 février, commis par un Algérien qui avait fait l'objet de plusieurs demandes de réadmission, refusées par l'Algérie. 

Le dernier rapport de la direction générale des étrangers en France note toutefois qu'en 2024, « la part de retours forcés est plus importante que la moyenne pour les éloignements d'Algériens ». Sur les quelque 34 000 Algériens interpellés en situation irrégulière, 3 000 ont été éloignés l'an dernier.

S'agissant des visas pour les dignitaires (anciens diplomates, ministres ou généraux), Alger peut aisément contourner cette restriction en raison d'un récent accord de réciprocité avec la Slovénie.

L'Italie, l'Allemagne et l'Espagne, qui achètent des milliards d'euros de gaz algérien, sont également susceptibles de leur fournir un visa Schengen.

- Accord avec l'UE

Alger a besoin du soutien de la France, dont le poids est prépondérant à Bruxelles, pour renégocier son accord d'association avec l'Union européenne.

L'UE est le plus grand partenaire commercial de l'Algérie.

Cet accord, en vigueur depuis 2005, prévoit notamment l'élimination progressive et réciproque des droits à l'importation sur les biens.

En octobre dernier, le président algérien avait annoncé vouloir négocier avec l'UE sa révision à partir de 2025, alors que les experts algériens estiment à plus de 30 milliards de dollars le manque à gagner du fait de cet accord.

Les entreprises publiques et privées algériennes ont d'importantes difficultés à rivaliser avec leurs homologues, car l'économie algérienne est restée longtemps très fermée à la concurrence, reposant traditionnellement sur l'exportation de dérivés pétroliers.

Dès lundi, Emmanuel Macron « a fait part au président Tebboune de l'appui de la France à la révision » de cet accord.


Les entreprises saoudiennes annoncent leurs résultats financiers pour 2024

Les entreprises saoudiennes ont annoncé leurs résultats pour 2024. (Shutterstock)
Les entreprises saoudiennes ont annoncé leurs résultats pour 2024. (Shutterstock)
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  • La Red Sea International Co. a fait état d'un redressement de sa rentabilité, annonçant un bénéfice net de 4 millions de riyals saoudiens
  • La Raydan Food Co. a affiché une perte nette de 73,1 millions de riyals saoudiens en 2024

RIYAD: De nombreuses entreprises ont publié leurs résultats financiers pour 2024 malgré la fermeture du marché saoudien en raison de la fête de l'Aïd el-Fitr, qui dure jusqu'au 2 avril.

La Red Sea International Co. a fait état d'un redressement de sa rentabilité, annonçant un bénéfice net de 4 millions de riyals saoudiens (1,07 million de dollars; 1 dollar = 0,93 euro), contre une perte nette de 23,1 millions de riyals saoudiens en 2023.

Dans un communiqué publié sur Tadawul, l'organisation a attribué cette amélioration à l'impact de l'acquisition de First Fix sur l'ensemble de l'année, ainsi qu'à l'augmentation des revenus et des performances. Le bénéfice d'exploitation est passé de 6 millions l'année précédente à 70 millions de riyals saoudiens.

La Raydan Food Co. a affiché une perte nette de 73,1 millions de riyals saoudiens en 2024, contre 30,8 millions de riyals saoudiens en 2023, soit une augmentation de 136,6 pour cent.

L'entreprise a attribué ces pertes à la baisse des ventes, à la diminution des revenus provenant des contrats et des franchises, à l'augmentation des frais de vente et de marketing, et aux coûts de dépréciation liés aux actifs de droit d'utilisation et aux terrains.

Les ajustements de la valeur des devises étrangères et les dépréciations d'investissement ont également contribué au déclin. Les ventes ont chuté de 12,4% pour atteindre 155,3 millions de riyals saoudiens, en raison de la baisse des performances des succursales et des revenus des contrats.

L'Osool and Bakheet Investment Co. est restée rentable malgré une baisse du revenu net. Les bénéfices de la société sont passés de 25,4 millions de riyals saoudiens en 2023 à 19,8 millions de riyals saoudiens en 2023, principalement en raison d'une baisse de 24% du total des revenus.

Une réduction de 31% des dépenses et une diminution de 55% des coûts de financement ont permis de compenser l'impact de cette baisse. Les autres revenus ont augmenté de 152% pour atteindre 4,2 millions de riyals saoudiens, bien que les dépenses de zakat aient augmenté de 58% pour atteindre 3,8 millions de riyals saoudiens.

La Maharah Human Resources Co. a fait état d'une forte augmentation des bénéfices, les bénéfices nets augmentant de 27,1 pour cent pour atteindre 127,4 millions de riyals saoudiens, grâce à une augmentation de 18 pour cent des revenus et à une amélioration de 6 pour cent du bénéfice brut, soutenus par la croissance du secteur des services aux entreprises.

L'organisation a bénéficié d'une réduction de 20 millions de riysals saoudien des pertes de crédit attendues et d'une augmentation de 11 millions de riyals saoudiens des autres revenus d'exploitation, principalement en raison de l'augmentation des incitations gouvernementales pour l'emploi en Arabie saoudite.

Toutefois, l'augmentation des investissements dans le capital humain a entraîné une hausse des frais généraux et administratifs de 3,5 millions de riyals saoudiens, tandis que les coûts de financement ont augmenté de 4 millions de riyals saoudiens.

En outre, les bénéfices des entreprises associées, dont la Care Shield Holding Co. et la Saudi Medical Systems Co. ont chuté de 30%, soit une baisse de 12,2 millions de riyals saoudiens, en raison des résultats plus faibles de Care Shield Holding Co. et de l'absence des données financières de la Saudi Medical Systems Co. pour les six derniers mois de l'année 2024.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com