Keolis présentera des solutions de mobilité innovantes lors du Mena Transport Congress and Exhibition 2024

Keolis, leader mondial des solutions de mobilité partagée, a annoncé sa participation en tant qu'exposant au Mena Transport Congress and Exhibition (MTCE), qui se déroulera du 28 février au 1er mars 2024 à Dubaï.
Keolis, leader mondial des solutions de mobilité partagée, a annoncé sa participation en tant qu'exposant au Mena Transport Congress and Exhibition (MTCE), qui se déroulera du 28 février au 1er mars 2024 à Dubaï.
L'agent et responsable de la maintenance de Keolis Bordeaux, Romain Yuste, effectue les vérifications et opération de recharge des distributeurs de gel hydroalcoolique dans une voiture du tramway de Bordeaux le 27 novembre 2020. (AFP)
L'agent et responsable de la maintenance de Keolis Bordeaux, Romain Yuste, effectue les vérifications et opération de recharge des distributeurs de gel hydroalcoolique dans une voiture du tramway de Bordeaux le 27 novembre 2020. (AFP)
Short Url
Publié le Vendredi 01 mars 2024

Keolis présentera des solutions de mobilité innovantes lors du Mena Transport Congress and Exhibition 2024

  • Keolis, leader mondial des solutions de mobilité partagée, a annoncé sa participation en tant qu'exposant au Mena Transport Congress and Exhibition (MTCE)
  • Le thème de cette année, «Mobilité durable et bien-être», s'aligne parfaitement sur l'engagement de Keolis à façonner un avenir plus vert pour les villes

DUBAÏ: Keolis, leader mondial des solutions de mobilité partagée, a annoncé sa participation en tant qu'exposant au Mena Transport Congress and Exhibition (MTCE), qui se déroulera du 28 février au 1er mars 2024 à Dubaï. Organisé par la Road and Transport Authority en collaboration avec The International Association of Public Transport, l’édition 2024 du MTCE constituera à n’en pas douter une plate-forme dynamique pour évoquer l'avenir de la mobilité urbaine durable. 

Le thème de cette année, «Mobilité durable et bien-être», s'aligne parfaitement sur l'engagement de Keolis à façonner un avenir plus vert pour les villes.

Organisé au Dubai World Trade Centre, le prochain MTCE devrait réunir plus de 2 000 participants et 65 intervenants, parmi lesquels des experts et des spécialistes du secteur des transports publics venus de 22 pays, ainsi que de nombreux chefs d'organismes gouvernementaux et décideurs politiques. L'événement sera complété par une exposition à laquelle participeront plus de 46 invités qui représenteront 20 pays du monde entier. Il proposera en outre un programme complet avec des discours d'ouverture, des tables rondes ainsi qu’une exposition qui dévoilera les dernières avancées en matière de solutions de mobilité urbaine durable.

Des représentants de Keolis seront présents tout au long de l'événement, soucieux d'échanger avec les autres participants, de favoriser la collaboration et d'avancer vers une vision commune de la mobilité durable. 

Alistair Gordon, PDG de Keolis au Royaume-Uni, au Moyen-Orient et en Inde, occupera le devant de la scène le 29 février avec une session intitulée «Connecting Sustainable Urban Mobility and Quality of Life» («Connecter la mobilité urbaine durable et la qualité de vie»). Elle mettra en lumière l'engagement de Keolis pour un transport centré sur le client et sa volonté d'améliorer la vie des citoyens grâce à des solutions innovantes.

En commentant la participation de Keolis, Alistair Gordon a exprimé son enthousiasme pour cet événement. «Je suis honoré de participer au Mena Transport Congress and Exhibition 2024, qui offrira une vitrine de l'engagement de Keolis en faveur de la mobilité durable et du bien-être. C’est aussi l'occasion pour toutes les personnes présentes de partager des idées et des réflexions afin de faire avancer le changement positif et de créer un rôle central pour la mobilité urbaine à l'avenir pour les villes du monde entier», a-t-il affirmé.

«Le thème de cette année, “Mobilité durable et bien-être”, illustre le fait que nous nous engageons à façonner un avenir plus vert pour la mobilité urbaine. Nous nous concentrons sur l'exploitation des technologies de pointe, la mise en œuvre de politiques efficaces et l'adoption des meilleures pratiques de l'industrie afin de créer un monde durable.»

La 5e édition du congrès abordera des sujets clés tels que l'intelligence artificielle (IA), les transports verts, les infrastructures résilientes et la planification urbaine. Elle mettra également l'accent sur la réalisation de progrès vers des émissions nettes nulles d'ici à 2050. Il offrira également une plate-forme aux experts de l'industrie, aux décideurs politiques ainsi qu’aux représentants des gouvernements pour échanger des connaissances, collaborer et explorer des solutions innovantes pour l'avenir des transports.

M. Alistair a ajouté: «Keolis dispose d'une grande expertise. Le groupe gère plus de 300 contrats avec des autorités de transport public dans le monde. Notre principal objectif est d'aider les autorités de transport public à créer et à mettre en œuvre des systèmes de transport public efficaces qui favorisent le passage des véhicules privés aux transports publics et aux modes actifs. Compte tenu des préoccupations mondiales pressantes liées au changement climatique et à l'augmentation des températures, nous nous attachons à collaborer avec les autorités de transport public afin de développer des systèmes de transport intégrés, qui offriront des solutions de mobilité alternatives attrayantes pour les communautés.»

 

EN BREF

Keolis propose une approche claire pour s'engager activement à façonner l'avenir de la mobilité durable à travers trois piliers clés: 

- Faire progresser les connaissances en partageant son expertise par le biais de tables rondes et de conférences, en encourageant la résolution collaborative de problèmes afin de relever des défis communs et de capitaliser sur les opportunités.

- Créer des partenariats en utilisant la MTCE comme une plate-forme pour entrer en contact avec des organisations partageant les mêmes idées et forger des alliances qui accélèrent les progrès vers des objectifs communs, en reconnaissant que la collaboration est essentielle pour stimuler l'innovation et parvenir à un avenir durable pour tous.

- Inspirer le changement en présentant des exemples concrets de la manière dont ses solutions innovantes améliorent concrètement les conditions de vie et créent un avenir plus durable. 

 

Grâce à ces efforts proactifs, Keolis ne fait pas simplement acte de présence au MTCE. Il expose une stratégie et un état d'esprit qui ont pour but de faire de ce groupe un acteur clé dans l'élaboration d'un avenir transformateur et durable pour la mobilité urbaine.

 


L'Arabie saoudite recherche de nouvelles technologies de carburant pour décarboniser l'aviation

Mohammad Altayyar, directeur du programme de durabilité du pétrole du ministère saoudien de l'Énergie. (Ministère de l'Énergie)
Mohammad Altayyar, directeur du programme de durabilité du pétrole du ministère saoudien de l'Énergie. (Ministère de l'Énergie)
Short Url
  • Le directeur du programme de durabilité pétrolière du ministère saoudien de l'Énergie s'est entretenu avec Arab News 
  • «Aujourd'hui, nous avons l'occasion de contribuer aux efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique», dit-il

BAKOU: L'Arabie saoudite recherche de nouvelles technologies pour améliorer le rendement énergétique et décarboniser le secteur de l'aviation, a déclaré un porte-parole du programme de durabilité du pétrole dans un entretien accordé à Arab News.

Mohammad Altayyar, directeur du programme de durabilité pétrolière du ministère saoudien de l'Énergie, s'est entretenu avec Arab News lors de la conférence des Nations unies sur le climat COP29 au sujet des efforts du Royaume pour améliorer la durabilité dans l'aviation.

«Aujourd'hui, nous avons l'occasion de contribuer aux efforts mondiaux de lutte contre le changement climatique.»

«Le secteur de l'aviation contribue à 2% des émissions mondiales et les pays poursuivent des objectifs de développement durable. La demande de transport continue d'augmenter et les nations continuent de travailler pour relever le défi du climat.»

M. Altayyar a souligné que les discussions qui ont eu lieu lors de la COP29 ont illustré l'engagement collectif du ministère à s'attaquer aux problèmes urgents par le biais d'un dialogue sur les progrès réalisés dans le domaine des carburants pour l'aviation.

Il a également souligné les progrès réalisés par l'Arabie saoudite dans le secteur de l'aviation, qui s'alignent sur les objectifs de l'initiative Vision 2030.

«L'Arabie saoudite, en tant qu'acteur clé du paysage énergétique mondial, réalise des progrès significatifs et est pionnière dans la promotion de pratiques durables dans le secteur de l'aviation. Elle respecte les engagements de Vision 2030, qui définissent clairement un cadre ambitieux pour la diversification de son économie et la gestion de l'environnement.»

«Le Royaume recherche activement des technologies innovantes qui amélioreront le rendement énergétique et réduiront les émissions, en vue d'atteindre des objectifs mondiaux à long terme.»

«Ces initiatives soutiennent non seulement les objectifs climatiques mondiaux, mais font également du Royaume un leader dans le développement de solutions énergétiques équilibrées et plus propres», a déclaré M. Altayyar.

Par ailleurs, le ministère saoudien de l'Énergie a signé un programme exécutif de coopération dans le domaine des énergies renouvelables avec ses homologues de trois pays asiatiques: Azerbaïdjan, Kazakhstan et Ouzbékistan.

Ce programme met l'accent sur la formation de partenariats stratégiques afin d'explorer les interconnexions des réseaux électriques régionaux alimentés par des énergies renouvelables. Il vise également à renforcer l'efficacité des infrastructures énergétiques et à intégrer les projets d'énergie renouvelable dans les réseaux nationaux des pays participants.

En outre, le ministère de l'Énergie a assisté à la signature de deux accords stratégiques entre la société saoudienne ACWA Power et diverses entités pour faire avancer les initiatives en matière d'énergie renouvelable en Ouzbékistan et en Azerbaïdjan.

Le premier accord porte sur une collaboration avec le ministère ouzbek de l'Énergie pour développer des systèmes de stockage d'énergie par batterie d'une capacité allant jusqu'à 2 GWh, dans le but d'améliorer la stabilité du réseau.

Le second accord était un protocole d'entente avec la compagnie pétrolière azerbaïdjanaise SOCAR et la société émiratie Masdar pour développer des projets d'énergie éolienne offshore dans la mer Caspienne d'une capacité maximale de 3,5 GW.

Dans le cadre du programme exécutif, le projet d'énergie éolienne Khyzi Absheron d'ACWA Power en Azerbaïdjan, d'une capacité de 240 MW, devrait être opérationnel d'ici au premier trimestre 2026.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Dernier jour de la COP29, bras de fer Nord-Sud sur la finance climatique

Les participants passent devant le logo de la COP29 lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP29) à Bakou, en Azerbaïdjan, le 21 novembre 2024. (AFP)
Les participants passent devant le logo de la COP29 lors de la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP29) à Bakou, en Azerbaïdjan, le 21 novembre 2024. (AFP)
Short Url
  • Les négociateurs de près de 200 pays, frustrés de deux semaines de tractations stériles, attendent vendredi d'ultimes propositions de compromis financier
  • Le prochain projet de texte est promis pour midi heure locale (08H00 GMT), selon la présidence de la COP29, ce qui lancera un nouveau round de pourparlers en vue d'un texte final dans la soirée de vendredi

BAKOU: La journée sera longue à Bakou: les négociateurs de près de 200 pays, frustrés de deux semaines de tractations stériles, attendent vendredi d'ultimes propositions de compromis financier entre pays riches et en développement à la conférence sur le changement climatique de l'ONU en Azerbaïdjan.

"Nous percevons des lueurs d'espoir", a résumé la négociatrice allemande Jennifer Morgan. "Mais des lueurs d'espoir ne suffisent pas, car il y a aussi des pilules empoisonnées".

Un journaliste de l'AFP a observé dans la soirée de jeudi de nombreuses allées et venues de ministres et diplomates entre les bureaux des délégations brésilienne, européenne, américaine, chinoise... et de la présidence azerbaïdjanaise du sommet. Un délégué européen confirme que les consultations de haut niveau se sont poursuivies jusque très tard dans la nuit.

Le prochain projet de texte est promis pour midi heure locale (08H00 GMT), selon la présidence de la COP29, ce qui lancera un nouveau round de pourparlers en vue d'un texte final dans la soirée de vendredi, au dernier moment.

Vendredi au petit-déjeuner, le négociateur d'un grand pays a indiqué à l'AFP que le texte était "en train d'être poli".

La question centrale, au "stade olympique" de Bakou, est de déterminer combien d'argent les pays développés, au nom de leur responsabilité historique dans le dérèglement climatique, accepteront de transférer aux pays en développement, pour les aider à affronter un climat plus destructeur et à investir dans les énergies bas carbone.

"Nous ne demandons qu'1% du PIB mondial. Est-ce trop demander pour sauver des vies?" demande Juan Carlos Monterrey Gomez, négociateur du Panama.

Depuis le début du sommet, le 11 novembre, des tempêtes ont tué des Philippines au Honduras, l'Espagne panse ses plaies après des inondations meurtrières, l'Equateur a déclaré l'urgence nationale à cause de la sécheresse et des incendies....

- "Au moins" 500 milliards -

L'arrière-plan inédit de cette 29e COP est une année 2024 qui sera vraisemblablement la plus chaude jamais mesurée. Et, neuf ans après l'accord de Paris, l'humanité va encore brûler plus de pétrole, de gaz et de charbon que l'année passée.

Un projet d'accord publié jeudi matin a mécontenté tout le monde car, à la place de chiffres figuraient des "X", et parce qu'il ne tranchait pas entre deux visions très opposées.

L'heure est venue des chiffres, mais combien? "Au moins" 500 milliards de dollars par an de la part des pays développés d'ici 2030, demande la plus grande alliance de pays en développement. A comparer aux 116 milliards de finance climatique fournie en 2022.

Les Européens, premiers contributeurs mondiaux, répètent qu'ils veulent "continuer à montrer la voie": un terme soigneusement choisi, venu directement de l'accord de Paris, en signe de bonne volonté. Mais le resserrement budgétaire limite leur marge de manœuvre.

Les Américains se sont dits "profondément inquiets" du dernier texte. Le commissaire européen Wopke Hoekstra a dénoncé un travail "inacceptable".

"Pourrais-je vous demander, s'il vous plaît, de montrer du leadership?" a-t-il lancé au président de la COP29, le ministre Moukhtar Babaïev, ancien cadre de la compagnie pétrolière azerbaïdjanaise.

Américains et Européens n'ont pas encore révélé combien ils étaient prêts à payer.

- La Chine refuse toute obligation -

"Ils tournent en rond dans leurs jeux géopolitiques", a déploré la ministre colombienne Susan Muhamad.

Les pays développés négocient en fait en parallèle davantage d'"ambition" pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais s'opposent aux pays producteurs de pétrole comme l'Arabie saoudite. Le groupe arabe a explicitement prévenu qu'il n'accepterait aucun texte ciblant "les combustibles fossiles".

Ce qui fait désordre un an après la COP28 de Dubaï, qui a appelé à lancer la transition vers la sortie des combustibles fossiles.

En public, les pays donnent de la voix. Mais en coulisses, Chinois, Occidentaux, Etats insulaires... Tous se parlent encore.

Le ministre irlandais Eamon Ryan confie à l'AFP qu'"il y a de l'espace pour un accord".

La Chine, clé pour trouver l'équilibre entre Occidentaux et Sud, a appelé "toutes les parties à se retrouver à mi-chemin".

Pékin a toutefois tracé une ligne rouge: elle ne veut aucune obligation financière. Pas question de renégocier la règle onusienne de 1992 qui stipule que la responsabilité de la finance climatique incombe aux pays développés.

Les délégués se préparent déjà à une prolongation samedi. Une tradition des COP.


Le Saudi French Business Council collabore avec CCI France UAE pour accueillir une délégation française

Le Saudi French Business Council (CAFS) collabore avec CCI France UAE pour organiser la visite d'une délégation française. (AFP)
Le Saudi French Business Council (CAFS) collabore avec CCI France UAE pour organiser la visite d'une délégation française. (AFP)
Short Url
  • Cette réunion d'accueil donnera lieu à des présentations de l'économie saoudienne et de l'environnement des affaires par l'Ambassade de France et les membres du CAFS
  • Elle se terminera par un déjeuner de réseautage qui donnera l'occasion aux participants de se rencontrer et d'élargir leurs réseaux d'affaires

RIYAD: Le Conseil d'affaires franco-saoudien collabore avec CCI France UAE pour organiser la visite d'une délégation française.

Cette réunion d'accueil donnera lieu à des présentations de l'économie saoudienne et de l'environnement des affaires par l'Ambassade de France et les membres du CAFS.

Elle se terminera par un déjeuner de réseautage qui donnera l'occasion aux participants de se rencontrer et d'élargir leurs réseaux d'affaires.