Arts et culture arabes: les événements phares de l’année 2023 à Paris

«Ce que la Palestine apporte au monde» est le titre d’une exposition qui porte sur la créativité artistique et culturelle palestinienne. (Fournie)
«Ce que la Palestine apporte au monde» est le titre d’une exposition qui porte sur la créativité artistique et culturelle palestinienne. (Fournie)
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Publié le Vendredi 29 décembre 2023

Arts et culture arabes: les événements phares de l’année 2023 à Paris

  • Sous l’impulsion de Jack Lang, l’Institut du monde arabe lance cette année son tout premier prix du design
  • Après le succès retentissant de ses trois premières éditions, la Menart Fair a eu lieu du 15 au 17 septembre au Palais d’Iéna, au cœur de la capitale française

PARIS: En termes d’événements célébrant la culture arabe en France, l’année 2023 a été particulièrement riche. Qu’ils soient organisés à l’Institut du monde arabe (IMA) à travers des colloques, des rencontres et des expositions ou dans différents autres lieux tels que le Palais d’Iéna ou le cinéma Beaugrenelle à travers des initiatives privées, ces moments forts ont rythmé la vie culturelle française. 

Histoire des parfums

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L’exposition Parfums d’Orient a été inaugurée le 26 septembre à l’IMA, à Paris. Cet événement culturel historique, proposé par Hanna Boghanim et Agnès Carayon, est unique. (Fournie)

L’exposition Parfums d’Orient a été inaugurée le 26 septembre à l’IMA, à Paris. Cet événement culturel historique, proposé par Hanna Boghanim et Agnès Carayon, est unique. Il appelle les visiteurs au voyage et à la découverte des parfums d’Orient – de Mascate, du Caire, de Tunis ou de Djeddah. Programmé jusqu’au 17 mars 2024, il présente plus de deux cents œuvres. On y trouve des manuscrits, des peintures, des photographies, des textiles ainsi que des dispositifs odorants, des vidéos, des miniatures et des installations. Il y est question de l’histoire des parfums et des huiles, de la fabrication des fragrances, des eaux florales, des baumes et de leurs usages dans la vie quotidienne ou à l’occasion de diverses célébrations.

Prix prestigieux

Avec pour enjeu la mise en lumière de la création du monde arabe sous toutes ses formes, l’IMA s’ouvre au design: il lance un prix prestigieux réparti en quatre catégories et destiné à une quinzaine de candidats d’horizons différents. 

Sous l’impulsion de Jack Lang, l’institut lance en effet cette année son tout premier prix du design. Il est destiné à promouvoir le projet d’une entreprise de design et d’un jeune designer ressortissant de la Ligue arabe (ou dont la production est développée dans l’un des pays de la Ligue arabe). C’est l’occasion de célébrer une figure confirmée de cette industrie créative dans le monde arabe. L’IMA distingue les designers du monde arabe par l’attribution des récompenses suivantes: «talent émergent» , «talent entrepreneurial», «grand prix» et «grand prix d’honneur». Le jury, présidé par l’architecte franco-iranienne India Mahdavi, a révélé son palmarès le 6 septembre dernier. 

L’IMA à l’heure palestinienne

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Pendant six mois, c'est tout l’IMA qui s’est mis à l’heure palestinienne! (Fournie)

«Ce que la Palestine apporte au monde» est le titre d’une exposition qui porte sur la créativité artistique et culturelle palestinienne. Elle s’est tenue à l’IMA du 31 mai et au 19 novembre 2023. Cette initiative inédite a pour objectif «la mise en valeur de l’ampleur et de l’originalité de la créativité artistique et culturelle palestinienne». Elle propose au public quatre expositions ainsi que l’édition d’un livre dans la collection Araborama, en partenariat avec les éditions du Seuil. L’ouvrage est consacré à la Palestine, à son peuple, à ses frontières et à son histoire. Il évoque l’organisation de diverses manifestations culturelles, qu’il s’agisse de musique, de littérature, de cinéma, de poésie ou de danse, autour de cette thématique. Expositions, spectacles, cinéma, rencontres et débats, visites guidées, ateliers jeune public, rencontres littéraires… Pendant six mois, c'est tout l’IMA qui s’est mis à l’heure palestinienne!

Le cinéma arabe à l’honneur

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La 3e édition de la Nuit du cinéma saoudien a été organisée à l’IMA dans le cadre d’une tournée du cinéma saoudien en France à l’initiative de l’association d’amitié franco-saoudienne Génération 2030. (Fournie)

La 3e édition de la Nuit du cinéma saoudien a été organisée à l’IMA dans le cadre d’une tournée du cinéma saoudien en France à l’initiative de l’association d’amitié franco-saoudienne Génération 2030. Elle a connu une forte affluence en 2023. Cette association joue aujourd'hui le rôle de véritable «pont culturel» entre la France et l’Arabie saoudite. Le principe est le suivant: le temps d’une soirée, mettre en avant les œuvres récentes de jeunes réalisateurs saoudiens, les faire connaître en France et permettre le rapprochement des acteurs des industries européenne et saoudienne. L’événement propose la projection de courts métrages, mais également des moments d’échange avec le public. Les amateurs de cinéma français – étudiants, parties prenantes de l’industrie cinématographique ou simples curieux – ont découvert de jeunes talents d’Arabie saoudite qui sont reconnus sur la scène internationale. La plupart des films ont été projetés et commentés par les réalisateurs eux-mêmes ou par leurs producteurs saoudiens dans une ambiance conviviale.

Quelques mois auparavant avait eu lieu la 1re édition des Soirées du cinéma saoudien à Paris, organisée au cinéma Pathé Beaugrenelle à l’initiative de la Commission du film d’Arabie saoudite. Il s’agit de faire découvrir pendant plusieurs soirées de jeunes réalisateurs saoudiens. Lors de cet événement, cinq films principaux étaient à l’affiche : A Swing, de Dana et Raneem Almohandes, Othman, de Khaled Zidan, Dunya’s Day, de Raed Alsamari, Matchstick, de Salma Murad, et Starting Point, un film d’animation réalisé par Kamel Altamimi. Comme pour la Nuit du cinéma, ces œuvres ont été analysées par les cinéastes ou par leurs producteurs saoudiens.

Les relations culturelles et de coopération entre la France et l’Arabie saoudite sont aujourd’hui rayonnantes, notamment grâce à l’ouverture du Royaume et à la mise en œuvre de la Vision 2030, avec le programme Quality of Life (sport, culture, divertissement, tourisme). 

Le Festival du film libanais de France a également connu une forte affluence en 2023. Sa 3e édition s’est tenue du 23 au 26 novembre à l’IMA ainsi qu’au cinéma Le Lincoln. Placée sous le signe de l’espoir, elle a proposé de nombreux films inédits ainsi que vingt-huit courts métrages (la moitié d’entre eux étaient réalisés par des étudiants issus de plus d’une dizaine d’universités). La programmation de cette édition s’articule autour des thématiques de la représentation du trauma et de la santé mentale, un sujet récurrent dans la production cinématographique libanaise. Ce thème, encore tabou dans le monde arabe, a fait l’objet de plusieurs discussions lors du festival. L’événement a également proposé des tables rondes, des débats et des rencontres dans le but de rassembler les cinéphiles et de créer des liens entre les professionnels du secteur.

4e édition réussie pour Menart Fair

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Après le succès retentissant de ses trois premières éditions, la Menart Fair a eu lieu du 15 au 17 septembre au Palais d’Iéna, au cœur de la capitale française. (Fournie)

Après le succès retentissant de ses trois premières éditions, la Menart Fair a eu lieu du 15 au 17 septembre au Palais d’Iéna, au cœur de la capitale française. Il a présenté le meilleur de la création moderne et contemporaine du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord. Trente et une galeries de onze pays ainsi que six institutions ont répondu à l'appel de cette initiative artistique unique qui souligne la fécondité et l'originalité de la création dans la région Mena. Cette jeune foire propose un parcours au sein d’une sélection exigeante de plus d’une centaine d’artistes; la plupart d’entre eux sont reconnus dans leurs pays respectifs. Elle permet de découvrir une scène dynamique et engagée qui nous invite à poser un nouveau regard sur un contexte géopolitique complexe et apporte une grande diversité artistique. 

Perspectives de coopération

Les relations culturelles et de coopération entre la France et l’Arabie saoudite sont aujourd’hui rayonnantes, notamment grâce à l’ouverture du Royaume et à la mise en œuvre de la Vision 2030, avec le programme Quality of Life (sport, culture, divertissement, tourisme). Ce dernier multiplie les perspectives de coopération et de rayonnement culturel, surtout en ce qui concerne les grands projets (AlUla, Neom, Red Sea, Qiddiya, Diriyah…).

La coopération archéologique franco-saoudienne a débuté à Hégra en 2002. Elle s’étend aujourd’hui à seize lieux emblématiques du riche patrimoine saoudien.

D’autres liens ont également été renforcés: ainsi, l’accord de partenariat entre le Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou et la Commission royale pour AlUla contribuera à la mise en place d'un musée d'art contemporain à AlUla, un projet unique dans la région. Dans le secteur du cinéma, le film Jeanne du Barry, présenté en ouverture du Festival de Cannes, a bénéficié en 2023 d’un soutien du Fonds de la mer Rouge dans sa phase de postproduction, une première pour un film français.


Un pharaon sans nom émerge des sables d'Abydos

Des archéologues et chercheurs sur le site de la tombe nouvellement découverte à Abydos, l'une des plus anciennes cités de l'Égypte antique, à environ 480 kilomètres au sud du Caire. (Josef W. Wegner pour le Penn Museum)
Des archéologues et chercheurs sur le site de la tombe nouvellement découverte à Abydos, l'une des plus anciennes cités de l'Égypte antique, à environ 480 kilomètres au sud du Caire. (Josef W. Wegner pour le Penn Museum)
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  • Le site d'Abydos, au sud du Caire, constitue la plus importante découverte depuis plus d'une décennie
  • La dernière demeure d'un roi inconnu daterait de plus de 3 600 ans

LONDRES: Une équipe d'archéologues a exhumé en Égypte la sépulture d'un souverain pharaonique encore non identifié, à quelque 480 kilomètres au sud de la capitale égyptienne.

Cette découverte exceptionnelle, fruit d'une collaboration entre spécialistes égyptiens et américains, constitue la seconde trouvaille majeure de cette nature cette année et daterait d'environ 3.600 ans.

L'imposante structure funéraire a été mise au jour à 7 mètres sous la surface d'Abydos, considérée comme l'un des plus anciens sites habités de l'Égypte antique.

Particulièrement impressionnante avec ses voûtes majestueuses culminant à 5 mètres et ses chambres multiples aux décors somptueux, cette découverte surpasse en importance celle réalisée dans la même région en 2014 - jusqu'ici considérée comme la plus significative jamais documentée - qui avait révélé la dernière demeure du souverain Seneb-Kay.

"Cette découverte ouvre un chapitre inédit dans notre compréhension de cette dynastie", a confié au New York Times Josef W. Wegner, conservateur au Penn Museum de Philadelphie et responsable de l'équipe américaine sur le chantier de fouilles.

L'intérieur de la tombe royale révèle d'extraordinaires fresques mythologiques, parmi lesquelles figurent des représentations des divinités Isis et Nephthys.

Ne cachant pas son enthousiasme face à cette trouvaille qu'il qualifie de "passionnante", Wegner a précisé : "Cette sépulture, tout comme celle de Seneb-Kay, constitue l'un des plus anciens exemples conservés de tombes royales ornées de décorations picturales intérieures."

L'ouvrage funéraire porte néanmoins les stigmates de plus de trois millénaires d'existence, et les archéologues n'ont pu y découvrir aucune dépouille identifiable du souverain.

Selon toute vraisemblance, la nécropole aurait été profanée à une époque lointaine par des pillards, ce qui expliquerait la quasi-absence d'objets précieux ou d'artefacts significatifs dans l'enceinte funéraire.

Ces violations anciennes ont également causé des dommages considérables aux ornementations murales, altérant gravement certaines inscriptions cruciales, notamment celles qui auraient pu révéler l'identité du monarque enseveli en ces lieux.

Selon Wegner, des indices sur l'identité du mystérieux occupant pourraient subsister dans diverses inscriptions présentes sur d'autres monuments et édifices disséminés à travers l'ancienne cité d'Abydos. Deux souverains, connus sous les noms de Senaiib et Paentjeni, figurent actuellement parmi les candidats les plus plausibles.

L'archéologue a confirmé que la mission scientifique poursuivrait ses efforts, tant pour assurer la conservation de cette découverte majeure que pour explorer d'autres structures funéraires potentielles dans le secteur. Ces futures fouilles pourraient non seulement enrichir la compréhension de cette ère tumultueuse, mais aussi lever le voile sur l'identité du pharaon anonyme.

"Notre espoir le plus cher reste de découvrir une tombe préservée dans son intégralité, ou du moins partiellement épargnée par les pilleurs", a-t-il confié. "De telles sépultures pourraient encore sommeiller sous le sable d'Abydos."

Interrogée par le New York Times, la professeure Anna-Latifa Mourad-Cizek, archéologue rattachée à l'Université de Chicago, a souligné l'importance capitale de cette trouvaille pour éclairer "une période passionnante durant laquelle l'Égypte se trouvait morcelée entre plusieurs pouvoirs rivaux".

Selon les précisions apportées par Wegner, cette ère se caractérisait par "une succession de souverains-guerriers perpétuellement en conflit". L'expert a d'ailleurs rappelé que la dépouille du roi Seneb-Kay présentait des traumatismes laissant penser qu'il aurait péri lors d'affrontements militaires.

Malgré la fragmentation politique qui régnait alors sur le territoire égyptien, le spécialiste a tenu à rectifier une idée reçue: la dynastie d'Abydos ne constituait nullement "un simple épiphénomène où quelques monarques auraient fait sécession de leur territoire d'origine".

Cette lignée royale aurait au contraire joué un rôle déterminant dans le processus qui conduirait ultérieurement à la réunification du pays et à l'avènement de ce qui allait devenir "la glorieuse civilisation du Nouvel Empire égyptien".

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


La restauration de la mosquée Al-Oudah à Diriyah redonne vie au patrimoine Najdi 

La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
La mosquée Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national (SPA).
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  • La deuxième phase du projet du prince Mohammed ben Salmane pour les mosquées historiques vise à préserver la riche histoire de la mosquée et son patrimoine architectural Najdi
  • Reconnaissant son importance culturelle, le projet utilisera des méthodes de construction traditionnelles Najdi, notamment la boue et des matériaux naturels adaptés au climat du désert

RIYAD : La mosquée historique Al-Oudah à Diriyah, un site patrimonial clé de la région de Riyad, est en cours de restauration dans le cadre d'un projet national, a rapporté l'Agence de presse saoudienne.

La deuxième phase du projet du prince Mohammed ben Salmane pour les mosquées historiques vise à préserver la riche histoire de la mosquée et son patrimoine architectural Najdi, en lui redonnant sa splendeur d'antan.

L'un des plus anciens sites de culte de la région, la mosquée Al-Oudah a été restaurée à trois reprises, la dernière rénovation remontant à une quinzaine d'années, selon l'agence.

Reconnaissant son importance culturelle, le projet utilisera les méthodes de construction traditionnelles Najdi, notamment la boue et les matériaux naturels adaptés au climat du désert.

La rénovation permettra d'agrandir la mosquée, qui passera de 794 mètres carrés pour 510 fidèles à 1 369 mètres carrés pour 992 fidèles.

Cette expansion reflète un engagement à préserver l'histoire tout en répondant aux besoins évolutifs de la communauté, a également rapporté l’agence.

Il s'agit de l'une des 30 mosquées réparties dans 13 régions dans le cadre de la deuxième phase du projet, qui comprend six mosquées à Riyad, cinq à La Mecque, quatre à Médine, trois à Asir et deux dans la province orientale, à Jouf et à Jazan. Les frontières du Nord, Tabuk, Al Bahah, Najran, Hail et Al Qassim ont chacune une mosquée dans le projet.

La deuxième phase fait suite à la première, achevée en 2018, au cours de laquelle 30 mosquées ont été restaurées dans 10 régions. Des entreprises saoudiennes et des experts en restauration du patrimoine dirigent les efforts de développement, selon l’agence.

Le projet établit un équilibre entre les normes de construction traditionnelles et modernes, assurant la durabilité des éléments de la mosquée tout en préservant le patrimoine.

Des entreprises saoudiennes et des ingénieurs spécialisés dans la restauration du patrimoine dirigent les efforts de développement, selon le rapport.

Les quatre objectifs stratégiques du projet comprennent la restauration des mosquées historiques pour le culte, la préservation de l'authenticité architecturale, la mise en valeur du patrimoine culturel du Royaume et l'amélioration de la signification religieuse et culturelle des sites religieux.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Ithra accueillera les festivités de l'Aïd Al-Fitr pendant trois jours

Au Musée des enfants, les activités comprennent une célébration immersive de l'Aïd et des ateliers tels que "l'art du ballon", "l'Aïd dans un sac" et "le parfum de l'Aïd". (Fourni)
Au Musée des enfants, les activités comprennent une célébration immersive de l'Aïd et des ateliers tels que "l'art du ballon", "l'Aïd dans un sac" et "le parfum de l'Aïd". (Fourni)
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  • Le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale à Dhahran accueillera plus de 25 événements de l'Aïd Al-Fitr du 31 mars au 2 avril, avec des expositions, des spectacles et des activités interactives
  • Le programme comprend une exposition présentant huit maîtres artisans dans les domaines de la papeterie, de la calligraphie et de l'ornementation

DHAHRAN : Le Centre du roi Abdulaziz pour la culture mondiale à Dhahran accueillera plus de 25 événements de l'Aïd Al-Fitr du 31 mars au 2 avril, avec des expositions, des spectacles et des activités interactives.

Le programme comprend une exposition présentant huit maîtres artisans dans les domaines de la papeterie, de la calligraphie et de l'ornementation. Les visiteurs peuvent explorer une installation inspirée de l'architecture en briques de terre et de l'artisanat traditionnel à base de palmiers.

Au musée des enfants, les activités comprennent une célébration immersive de l'Aïd et des ateliers tels que "l'art du ballon", "l'Aïd dans un sac" et "le parfum de l'Aïd".

Les familles peuvent profiter du jeu de la "roue de l'Aïd" et des séances de contes au cours desquelles les enfants créent leur propre souvenir de nuage.

Parmi les autres expériences, citons "Eid Echoes", un voyage audio à 360 degrés capturant les sons festifs de l'Aïd, sur la place. La bibliothèque organisera des séances de contes sur le thème de l'Aïd.

Le programme "L'Aïd sur grand écran" proposera du cinéma mondial et des dessins animés japonais, notamment "Le vent se lève", "Chibi Maruko-chan" et "Un moustique".

Les visiteurs pourront également découvrir une exposition interactive alimentée par l'IA et un voyage en réalité virtuelle à travers les célébrations historiques de l'Aïd. Des concerts de oud en direct auront lieu dans les jardins d'Ithra, créant ainsi un concert festif en plein air.

Lush Garden offrira un espace dynamique avec des jeux et des défis pour que les familles et les enfants profitent de l'atmosphère joyeuse de l'Aïd. L'exposition sur l'énergie proposera également un programme spécial pour les enfants de tous âges.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com