Un jeune «Picasso saoudien» souffrant de problèmes visuels expose cinquante peintures abstraites

L’exposition de Mishal al-Shoaibi, intitulée «The Seeing Eye», se tient à la galerie Ahlam dans la capitale. (Photo fournie)
L’exposition de Mishal al-Shoaibi, intitulée «The Seeing Eye», se tient à la galerie Ahlam dans la capitale. (Photo fournie)
En reconnaissance de son travail, M. Al-Shoaibi a été nommé, le 20 décembre, ambassadeur de l’Association pour les enfants en situation de handicap par le président de l’organisation, le prince Sultan ben Salmane. (Photo fournie)
En reconnaissance de son travail, M. Al-Shoaibi a été nommé, le 20 décembre, ambassadeur de l’Association pour les enfants en situation de handicap par le président de l’organisation, le prince Sultan ben Salmane. (Photo fournie)
L’exposition de Mishal al-Shoaibi à la galerie Ahlam devait initialement prendre fin le 21 décembre, mais elle a été prolongée jusqu’au 28 décembre en raison de la forte affluence. (Photo fournie)
L’exposition de Mishal al-Shoaibi à la galerie Ahlam devait initialement prendre fin le 21 décembre, mais elle a été prolongée jusqu’au 28 décembre en raison de la forte affluence. (Photo fournie)
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Publié le Jeudi 28 décembre 2023

Un jeune «Picasso saoudien» souffrant de problèmes visuels expose cinquante peintures abstraites

  • L’artiste en herbe, qui souffre d’un trouble du traitement sensoriel l’empêchant de voir les objets de près, porte des lunettes assez épaisses
  • Il est actuellement en classe de troisième à la Beacon School de Bahreïn pour les jeunes rencontrant des difficultés d’apprentissage

RIYAD: L’artiste Mishal al-Shoaibi, 16 ans, souffrant de troubles visuels, a réalisé une série de cinquante peintures abstraites qui lui ont valu le surnom de «Picasso saoudien» par les créateurs locaux.

L’exposition de M. Al-Shoaibi, intitulée «The Seeing Eye», se tient à la galerie Ahlam dans la capitale.

L’artiste en herbe souffre d’un trouble du traitement sensoriel qui l’empêche de voir les objets de près. C’est d’ailleurs pour cela qu’il porte des lunettes assez épaisses.

Il est actuellement en classe de troisième à la Beacon School de Bahreïn pour les jeunes rencontrant des difficultés d’apprentissage.

En reconnaissance de son travail, Mishal al-Shoaibi a été nommé, le 20 décembre, ambassadeur de l’Association pour les enfants en situation de handicap par le président de l’organisation, le prince Sultan ben Salmane.

Une partie des bénéfices de la vente de ses œuvres sera reversée au programme de dessins d’enfants de l’association.

Il a commencé à dessiner et à peindre à l’âge de 9 ans et il est aujourd’hui devenu un artiste prolifique.

Émerveillée par sa créativité, la tante du jeune homme, l’artiste Shaden al-Tuwaijri, l’a pris sous son aile.

«Je n’ai jamais influencé Mishal. Il a un style bien à lui qui s’est beaucoup développé depuis sa première exposition. Tout ce que je fais, c’est le guider dans le mélange des couleurs et le nettoyage de ses pinceaux pour que les couleurs restent propres sur la toile.»

Elle décrit son neveu comme «très talentueux». Il la surprend par son talent à chaque fois qu’il entame un nouveau tableau.

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«Lorsque nous avons rencontré Mishal et découvert son travail, ainsi que son désir d’exposer sa dernière collection d’œuvres d’art, il nous a semblé important de le soutenir en tant qu’artiste émergent au talent exceptionnel.» - Ahlam Alshedoukhy, fondatrice de la galerie Ahlam

«Mishal est un artiste à tous points de vue... il est doué en musique... il a un sens unique du style... il est très curieux quand il est question d’art… il aime visiter des galeries d’art et des musées, partout où il va.»

Pour développer son art, Mme Al-Tuwaijri lui avait lancé le défi de créer quarante œuvres d’art en trente jours pour une exposition. Il en a produit cinquante.

Le jeune artiste soutient: «Ce qui m’inspire dans mon travail artistique, ce sont les yeux, car je porte des lunettes. Je pense que c’est la partie la plus importante du corps.»

Son processus créatif est une forme de thérapie. «Chaque fois que je fais de l’art, je me sens détendu et dans mon élément.»

Sa mère, Noura al-Tuwaijri, se dit fière de son dévouement. «Il est très persévérant et très motivé lorsqu’il s’agit de peindre. Il croit en lui et se bat contre vents et marées. Il trouve une forme de libération dans l’art et cela fait de lui une personne plus mature.»

«L’art abstrait, c’est son domaine de prédilection. Les réactions d’artistes saoudiens célèbres ont été très positives. Certains le qualifient même de “Picasso saoudien de son époque”. Et tous notent la maturité de ses peintures, bien au-dessus de son âge.»

La fondatrice de la galerie Ahlam, Ahlam Alshedoukhy, affirme: «À seulement 16 ans, il est le plus jeune artiste à avoir eu une exposition personnelle à la galerie Ahlam. Lorsque nous avons rencontré Mishal et découvert son travail, ainsi que son désir d’exposer sa dernière collection d’œuvres d’art, il nous a semblé important de le soutenir en tant qu’artiste émergent au talent exceptionnel.»

L’exposition de Mishal al-Shoaibi à la galerie devait initialement prendre fin le 21 décembre, mais elle a été prolongée jusqu’au 28 décembre en raison de la forte affluence.

«L’exposition de Mishal, The Seeing Eye, est un grand succès pour de nombreuses raisons. Cette collection, constituée au cours des trois dernières années, est une belle représentation de la personnalité et du caractère de l’artiste. Écouter Mishal parler de ses sources d’inspiration met en lumière sa passion et son amour pour son art. Il a une histoire à raconter pour chaque œuvre», ajoute Mme Alshedoukhy.

Elle note que «les œuvres de M. Al-Shoaibi, qui se concentrent sur des portraits de lui-même ou de personnes dans sa vie, sont de grande qualité. Les sujets y sont présentés dans un style unique empreint d’émotion.»

La galerie Ahlam est une entité commerciale qui s’engage auprès d’artistes locaux et internationaux.

Pour découvrir les œuvres de Mishal al-Shoaibi, visitez son compte Instagram @artbigmish.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com 

 


La saison de Diriyah inaugure les activités du district historique d'At-Turaif

La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
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La Saison Diriyah a lancé vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite. (Fourni)
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  • La saison 2024/2025 de Diriyah a débuté le 20 décembre de l'année dernière, sous le thème "Divertissez votre curiosité culturelle"

DIRIYAH, Riyad : La Saison de Diriyah a inauguré vendredi un nouveau programme d'activités dans le district d'At-Turaif, un site du patrimoine mondial de l'UNESCO, offrant aux visiteurs une gamme d'expériences culturelles et historiques visant à explorer le patrimoine de l'Arabie saoudite.

Le programme met en lumière les moments clés de l'histoire du premier État saoudien à travers des ateliers, des représentations théâtrales et des sessions culturelles.

Les visiteurs participeront à des activités telles que des ateliers de création traditionnelle Najdi, des récitations de poèmes et des démonstrations de l'Arda saoudienne, la danse traditionnelle de l'épée du Royaume.

Le programme de cette année comprend également l'expérience interactive 850 mise à jour, nommée d'après la création de Diriyah en l'an 850 de l'hégire (1446 ou 1447 après J.-C. dans le calendrier grégorien).

L'expérience s'appuie sur des récits et des énigmes pour explorer des personnages historiques notables, dont l'imam Turki ben Abdullah, et des événements clés de l'histoire de Diriyah.

Des ateliers sur les techniques de construction traditionnelles, des jeux historiques et des expositions présentant l'architecture du quartier sont conçus pour approfondir la compréhension de l'importance culturelle de la région, tandis que des spectacles en direct et des discussions permettront au public de se familiariser avec les histoires du passé d'At-Turaif, notamment son rôle dans les débuts de l'Arabie saoudite en tant qu'État.

La saison 2024/2025 de Diriyah a débuté le 20 décembre de l'année dernière, sous le thème "Divertissez votre curiosité culturelle". L'événement vise à promouvoir Diriyah en tant que centre culturel, en combinant l'éducation historique avec des divertissements en direct et des vitrines créatives.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


"Indiana Jones and the Great Circle" : Une immersion dans l'univers du célèbre archéologue

Indiana Jones et le Grand Cercle" est une aventure mondiale des années 1930, imprégnée d'intrigues. (Fourni)
Indiana Jones et le Grand Cercle" est une aventure mondiale des années 1930, imprégnée d'intrigues. (Fourni)
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  • "Indiana Jones and the Great Circle" est une tentative audacieuse de mélanger les tropes de l'aventure classique avec les sensibilités du jeu moderne
  • Cette aventure mondiale des années 1930 est imprégnée d'intrigues, mettant les joueurs sur la voie de la découverte d'un ordre secret de géants caché sous le Vatican, avec la menace constante des antagonistes nazis qui rendent les enjeux plus élevés

LONDRES : "Indiana Jones and the Great Circle" est une tentative audacieuse de mélanger les tropes de l'aventure classique avec les sensibilités du jeu moderne, bien que son titre fade ne rende pas justice à l'ampleur de son ambition.

Cette aventure mondiale des années 1930 est imprégnée d'intrigues, mettant les joueurs sur la voie de la découverte d'un ordre secret de géants caché sous le Vatican, avec la menace constante des antagonistes nazis qui rendent les enjeux encore plus élevés.

Les fans de la série "Tomb Raider" se retrouveront ici en terrain connu, même si le jeu comporte également des éléments rappelant "Metal Gear Solid". Cependant, au lieu d'un jeu d'espionnage et de furtivité, "The Great Circle" s'appuie sur des énigmes satisfaisantes et des combats au corps à corps viscéraux. Le résultat est un jeu qui semble ancré dans le passé, tant par ses thèmes narratifs que par ses touches de gameplay rétro.

Les combats du jeu sont rafraîchissants et physiques, mettant l'accent sur les bagarres plutôt que sur les armes à feu. Les coups de poing tombent avec un impact gratifiant, accompagnés d'effets sonores rétro qui évoquent les classiques de l'arcade. C'est une approche inhabituelle dans un genre souvent dominé par les armes à feu, et elle fonctionne étonnamment bien, même si la simplicité de l'intelligence artificielle des ennemis nuit à l'expérience. Le combat peut parfois sembler maladroit, les ennemis se comportant de manière erratique et souvent hilarante, les portes se verrouillant inexplicablement ou les corps s'entassant dans des positions inconfortables.

Les énigmes sont un autre point fort, conçues pour trouver un équilibre entre le défi et l'accessibilité. Elles ne laisseront pas les joueurs perplexes pendant des heures, mais elles sont suffisamment complexes pour être gratifiantes. Les mécanismes à l'ancienne des puzzles, comme tourner physiquement des clés ou déchiffrer des codes simples, confèrent un charme nostalgique qui s'inscrit dans le cadre des années 1930 du jeu.

Un arbre d'amélioration alimenté par des "points d'aventure" à collectionner ajoute un sentiment de progression, permettant aux joueurs d'améliorer leurs capacités au fur et à mesure. Le système est simple mais efficace, offrant suffisamment de variété pour que l'exploration en vaille la peine sans pour autant submerger les joueurs occasionnels.

"The Great Circle" s'épanouit grâce à sa narration inspirée des romans de gare. La toile de fond est suffisamment grandiose, avec des lieux tels que la Rome nocturne qui prennent vie avec des détails stupéfiants. L'intrigue mêle mystères historiques et éléments fantastiques, et bien qu'elle soit familière aux fans chevronnés du genre, les plaisanteries et les dialogues permettent de garder la tête froide tandis qu'Indy cherche à déjouer les plans diaboliques des nazis.

Le protagoniste manie avec aisance l'insolence à la Indiana Jones, tandis qu'une compagne déterminée et pleine d'esprit veille à ce que la dynamique ne s'essouffle jamais. L'interaction entre les deux personnages est vive et efficace, ajoutant une légèreté bien nécessaire à une histoire qui pourrait autrement virer au mélodrame.

En revanche, les ennemis fascistes du jeu manquent de nuance et ne servent que de chair à canon. Pour une histoire au concept aussi ambitieux, il est décevant que les antagonistes ne se distinguent pas davantage.

Là où "The Great Circle" brille vraiment, c'est dans ses environnements. Des rues pavées de Rome aux pyramides de Gizeh, l'attention portée aux détails est remarquable. Le jeu fait également un usage intelligent de sa caméra, offrant des indices subtils au cours de l'exploration et récompensant les joueurs avec des détails historiques fascinants.

The Great Circle est le rêve d'un fan de cinéma, plein de clins d'œil aux classiques de l'aventure et débordant de charme nostalgique. Pour les nouveaux venus dans le genre, il peut sembler moins engageant en raison de ses mécanismes désuets et de son manque occasionnel de finition. Néanmoins, il s'agit d'une aventure satisfaisante pour ceux qui sont prêts à accepter ses racines rétro et son style cinématographique.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Sculpté dans la pierre : Le symposium de sculpture Tuwaiq revient à Riyad pour la sixième année

Le symposium de sculpture Tuwaiq se déroule du 15 janvier au 8 février au Front ROSHN. (Fourni)
Le symposium de sculpture Tuwaiq se déroule du 15 janvier au 8 février au Front ROSHN. (Fourni)
Le symposium de sculpture Tuwaiq se déroule du 15 janvier au 8 février au Front ROSHN. (Fourni)
Le symposium de sculpture Tuwaiq se déroule du 15 janvier au 8 février au Front ROSHN. (Fourni)
Le symposium de sculpture Tuwaiq se déroule du 15 janvier au 8 février au Front ROSHN. (Fourni)
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  • 30 sculpteurs de 23 pays exposeront leurs œuvres au Roshn Front
  • L'événement offrira un forum pour "partager et produire des connaissances", selon le conservateur

RIYADH : Roshn Front sera le centre de tout ce qui est artistique au cours des prochaines semaines. Le sixième symposium annuel de sculpture Tuwaiq s'est ouvert mercredi sur le thème "D'hier à aujourd'hui : La joie dans la lutte pour la création".

Selon ses commissaires, Sebastian Betancur-Montoya et Manal Al-Harbi, l'événement, qui se poursuivra jusqu'au 8 février, est une célébration du parcours de l'artiste, de la joie, de la lutte et de l'accomplissement qui accompagnent l'acte de création.

"J'aborde le commissariat dans une optique d'exploration et de compréhension de l'idée du symposium en tant que lieu de partage et de production de connaissances", a déclaré Mme Betancur-Montoya à Arab News.

"Nous travaillons avec des artistes. Ils travaillent avec leurs mains, avec leurs formes et (ce sont) le type d'expériences, de connaissances et de choses que nous produisons ici dans cette perspective.

"Je m'intéresse aux processus de création des choses et des idées. La pierre exige une technique et chaque artiste aborde le bloc de pierre d'une manière différente. L'une des premières choses qui m'est venue à l'esprit a donc été de me demander comment rendre cela visible".

Tuwaiq Sculpture se concentre non seulement sur les créations finales, mais aussi sur le processus créatif, physique et intellectuel qui les sous-tend.

Betancur-Montoya s'inspire du "Mythe de Sisyphe" d'Albert Camus, un essai qui se termine par cette phrase : "il faut imaginer Sisyphe heureux".

Au lieu de l'interprétation traditionnelle du mythe selon laquelle Sisyphe est puni en faisant rouler le rocher jusqu'en haut d'une colline pour le voir redescendre encore et encore, Camus a proposé qu'il y ait un but méditatif dans l'objectif de la perfection.

"Je relie l'idée de cette tâche sisyphéenne sans fin de pousser le rocher au travail d'un artiste, qui crée ses œuvres et les abandonne avant même de les avoir achevées, car c'est une impossibilité. Les projets ne sont pas achevés. Les projets sont abandonnés, laissés de côté ou libérés", a déclaré Mme Betancur-Montoya.

Au cours des prochaines semaines, le Roshn Front se transformera en un terrain de jeu artistique animé où 30 sculpteurs de 23 pays réaliseront des œuvres d'art public en temps réel. Pour les visiteurs, il s'agit d'une occasion rare d'assister à la magie de la sculpture à partir de la base, alors que les matériaux bruts prennent lentement forme sous les mains des artisans.

L'événement de cette année comprend également un programme d'apprentissage pour les jeunes artistes qui aspirent à devenir les prochains participants de Tuwaiq.

Sarah Alruwayti, directrice du symposium, a déclaré : "Nous avons été surpris de recevoir plus de 400 candidatures pour le programme d'apprentissage.

"Je pense qu'il s'agit d'une étape importante pour nous et nous sommes très fiers de tous ceux qui ont participé et qui ont posé leur candidature.

Les visiteurs auront également la possibilité de rencontrer les artistes et de leur poser des questions. L'événement comprend 11 tables rondes qui exploreront le rôle de l'art public dans les espaces urbains, et 10 ateliers interactifs où les visiteurs pourront s'essayer à l'artisanat, comme la teinture naturelle et les pratiques artistiques durables.

Pour les plus curieux, six ateliers de maître permettront de se familiariser avec des techniques de sculpture avancées, notamment des sculptures cinétiques.

Des visites guidées et des voyages éducatifs seront également proposés, offrant un aperçu des processus créatifs des artistes et du paysage culturel florissant de Riyad.

Les sculptures terminées seront dévoilées lors d'une exposition qui se tiendra du 12 au 24 février, donnant aux visiteurs la chance de découvrir les œuvres achevées de près.

"Une fois que les artistes ont terminé leurs sculptures, ils les déplacent dans différentes zones et nous avons déjà commencé ce processus (avec les créations des événements précédents). Très bientôt, vous pourrez voir ces sculptures dans leurs espaces publics", a déclaré M. Alruwayti.