Sanofi se sépare de son pôle de santé Grand Public et prépare un plan d'économies

Une photo prise à Paris le 31 mai 2023 montre le siège de la multinationale française pharmaceutique et de santé Sanofi. (Photo, AFP)
Une photo prise à Paris le 31 mai 2023 montre le siège de la multinationale française pharmaceutique et de santé Sanofi. (Photo, AFP)
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Publié le Vendredi 27 octobre 2023

Sanofi se sépare de son pôle de santé Grand Public et prépare un plan d'économies

  • Le géant pharmaceutique français a décidé de faire de la Santé Grand Public "une entité commerciale mondiale autonome au sein du groupe" à travers "la création d'une entité cotée en bourse dont le siège sera en France"
  • "Sous réserve des conditions du marché, la séparation pourrait être réalisée au plus tôt au quatrième trimestre 2024 après consultation des partenaires sociaux"

PARIS: Sanofi va se séparer de sa division Santé Grand Public (Doliprane, Mucosolvan...) en la cotant séparément en Bourse en 2024 pour se concentrer sur de nouveaux relais de croissance dans les médicaments innovants qu'il veut financer grâce à un plan d'économies.

Le géant pharmaceutique français a décidé de faire de la Santé Grand Public "une entité commerciale mondiale autonome au sein du groupe" à travers "la création d'une entité cotée en bourse dont le siège sera en France", a-t-il annoncé à l'occasion de la présentation de ses résultats trimestriels.

"Sous réserve des conditions du marché, la séparation pourrait être réalisée au plus tôt au quatrième trimestre 2024 après consultation des partenaires sociaux", souligne le groupe.

En parallèle, Sanofi vise des économies pouvant aller jusqu’à 2 milliards d'euros entre 2024 et fin 2025 et assure que "la majeure partie sera ré-allouée au financement de l'innovation et des moteurs de croissance".

Après ces annonces, l'action de Sanofi a plongé de plus de 15% à la bourse de Paris, son plus gros plongeon en séance depuis 1997.

Ces projets font aussi hurler les syndicats qui doivent participer à une réunion avec la direction à 10H00.

"C'est le tarif!. Tous les deux ans, depuis 2008, on a des plans d'économies entre 1 et 2 milliards d'euros" et "depuis 2008, c'est 16 usines et centres de recherche qui ont disparu de l'Hexagone, tout ça c'est le résultat des plans d’économies", enrage Jean-Louis Pérenne de la CGT Sanofi.

"Mais nos gouvernants continuent de faire des ponts d'or à Sanofi" notamment en crédit d'impôt car "nos dirigeants n'aiment que les actionnaires", se désole-t-il.

Accélérer les investissements en R&D

"Nous renforçons nos investissements en R&D et franchissons des étapes pour devenir un +pure player+ biopharmaceutique, tout en optimisant encore davantage notre structure de coûts", a déclaré Paul Hudson, directeur général de Sanofi.

L'objectif pour Sanofi, qui a arrêté la recherche sur le secteur très concurrentiel du diabète et du cardiovasculaire pour aller de plus en plus vers les produits de spécialité, est d’accélérer dans l'innovation et de se concentrer sur les maladies rares, l’immunoinflammation, l’hématologie, les vaccins et certains domaines de l’oncologie.

Pour innover, Sanofi a augmenté de plus d’un milliard par an ses dépenses en R&D depuis 2019 et l'arrivée du britannique Paul Hudson aux manettes.

Les segments de biopharmacie comprennent la médecine de spécialité, la médecine générale ainsi que l'activité vaccins tandis que l'activité Santé Grand Public couvre les compléments alimentaires et divers produits vendus sans ordonnance.

On y trouve Mucosolvan contre la toux, Allegra dans la rhinite, la marque Novanuit pour le sommeil mais aussi le très populaire paracétamol Doliprane pour soulager la douleur.

Au troisième trimestre, cette entité présente dans 150 pays avec plus de 11.000 employés, s'affiche en hausse de 4,6%, soutenu par les produits liés à la digestion et aux allergies, représentant 1,245 milliard d'euros, soit un plus de 10% de son chiffre d'affaires.

Le chiffre d'affaires trimestriel du groupe a reculé de 4,1% à 11,964 milliards d'euros mais à taux de change constants les ventes s'affichent en hausse de 3,2%.

La rentabilité, elle, ne fléchit pas avec un bénéfice net en hausse de 21,6% à 2,525 milliards d'euros.

Du côté de la biopharmacie, les ventes ont progressé de 3,1% (à 10 719 millions d’euros), soutenues par la forte performance du blockbuster Dupixent (immunologie, médecine de spécialités), dont le champ de commercialisation ne cesse de s'élargir alors que les ventes de médecine générale et des vaccins ont elles enregistré une baisse respectivement de 6,6% et de 0,6%.

Beyfortus en compensation

Le succès du lancement de Beyfortus (nirsevimab) un nouveau traitement préventif contre la bronchiolite des bébés, est venu compenser la baisse des vaccins contre la grippe.

Dans une conférence téléphonique, Paul Hudson a répété "travailler" avec son partenaire britannique AstraZeneca, détenteur de l'autorisation de mise sur le marché du Beyfortus et responsable de la production, pour avoir plus de doses en 2023 et préparer l'approvisionnement en vue de 2024.

Le groupe pharmaceutique prévoit par ailleurs un bénéfice ajusté par action (BNPA) des activités en 2024 "à peu près stable" par rapport aux niveaux de 2023, en raison de l'augmentation des dépenses de recherche et développement et d'un taux d'imposition plus élevé.

En 2025, il s'attend toutefois "à un fort rebond" de la croissance du BNPA des activités.


l'adoption des véhicules électriques requiert des mesures encourageantes selon des experts

Des experts ont participé à une table ronde intitulée « Charging Ahead : Construire l'ossature de la révolution des véhicules électriques en Arabie saoudite ». Photo AN
Des experts ont participé à une table ronde intitulée « Charging Ahead : Construire l'ossature de la révolution des véhicules électriques en Arabie saoudite ». Photo AN
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  • « Pour inciter les utilisateurs à venir en Arabie saoudite ou à acheter ce véhicule, il faut mettre en place des mesures incitatives. Ils doivent construire davantage de stations de recharge ; ils doivent aider les chefs de produit à pénétrer ce marché ».
  • Vers la fin du débat, M. Al-Makahlas a prédit une croissance significative du marché des VE. « Je pense que le marché doublera d'ici l'année prochaine. Vous serez surpris l'année prochaine, je peux vous le garantir.

RIYADH : Le gouvernement saoudien détient la clé du développement de l'infrastructure nécessaire aux véhicules électriques, a déclaré un haut responsable lors de la première journée du salon EV Auto Show qui se tient actuellement à Riyad.

S'exprimant lors d'une table ronde intitulée « Charging Ahead : Building the Backbone of Saudi Arabia's EV Revolution », Mansour Al-Makahlas, responsable de la division eMobility chez Solutions Valley, une filiale de Saudi Electric Co, a décrit les étapes essentielles nécessaires pour faire progresser le marché.

M. Al-Makahlas a souligné l'importance d'étendre l'infrastructure de recharge afin d'encourager la participation des chefs de produit.

« Pour inciter les utilisateurs à venir en Arabie saoudite ou à acheter ce véhicule, il faut mettre en place des mesures incitatives. Ils doivent construire davantage de stations de recharge ; ils doivent aider les chefs de produit à pénétrer ce marché ».

Il poursuit : « Le gouvernement doit offrir une incitation, comme c'est le cas en Europe et aux États-Unis. Les CPO savent que le retour sur investissement est à long terme. Il n'est pas à court terme. Il faut donc qu'il y ait une incitation.

Au cours de la même discussion, Alhareth Al-Hisan, fondateur et PDG d'iCharge, a fait remarquer que l'Arabie saoudite disposait d'une base solide pour l'adoption des VE au niveau mondial. « Elle dispose de la capacité du réseau, de la volonté politique et de la capacité du client à dépenser pour un véhicule électrique coûteux.

M. Al-Hisan a souligné que la planification est une préoccupation majeure dans l'industrie régionale des VE et a suggéré que l'Arabie saoudite pourrait bénéficier de l'approche de l'Europe en matière de développement des infrastructures. « Lorsque l'infrastructure pour les véhicules électriques a commencé en Europe, elle était fortement planifiée et très détaillée quant à l'endroit où les placer et à la manière de les placer », a-t-il déclaré.

Wolfgang Ademmer, directeur marketing de l'entreprise de mobilité durable Alpitronic, a également encouragé l'Arabie saoudite à suivre l'exemple de l'Europe. « L'Europe a des choses à apprendre pour les autres marchés. Je suis toujours un fervent partisan du raccourcissement des courbes d'apprentissage, et nous pouvons le faire en Arabie saoudite. »

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

M. Ademmer a insisté sur la nécessité d'un plan global pour soutenir les acteurs de l'industrie et garantir leur réussite dans le secteur des véhicules électriques. « Il faut élaborer un plan clair et donner confiance à tous les acteurs du marché, y compris à ceux qui se lancent dans l'aventure dès maintenant. Les encourager à rester et à investir avec les bonnes lignes directrices, puis convaincre les utilisateurs, les automobilistes, d'utiliser et de conduire des VE.

Li Bo, vice-président de Huawei Digital Power Strategy and Marketing pour le Moyen-Orient et l'Asie centrale, et directeur de Huawei EV Charging Business pour la même région, a prédit une augmentation du ratio de charge des véhicules électriques.

Li a noté que le développement des énergies renouvelables progresse en Arabie saoudite et s'attend à ce que les nouvelles réglementations mettent davantage l'accent sur les sources renouvelables et les solutions de stockage pour les stations de recharge des véhicules électriques.

Vers la fin du débat, M. Al-Makahlas a prédit une croissance significative du marché des VE. « Je pense que le marché doublera d'ici l'année prochaine. Vous serez surpris l'année prochaine, je peux vous le garantir.

Le salon de l'automobile EV à Riyad souligne la Vision 2030 de l'Arabie saoudite, en mettant en avant son engagement en faveur des véhicules électriques et des technologies durables. Le salon est un événement clé pour l'écosystème en plein essor des véhicules électriques du Royaume, attirant 10 000 participants de 50 pays, y compris des leaders de l'industrie, des constructeurs automobiles, des fournisseurs de solutions de recharge et des décideurs politiques, pour discuter de l'avenir de la mobilité dans la région.

 


Voitures électriques: Berlin exhorte l'UE et Pékin à s'entendre

Le ministre allemand de l'Économie et de la Protection du climat, Robert Habeck (à droite), serre la main du ministre chinois du Commerce, Wang Wentao, alors qu'ils posent pour les photographes avant des entretiens bilatéraux, le 17 septembre 2024 à Berlin. (AFP)
Le ministre allemand de l'Économie et de la Protection du climat, Robert Habeck (à droite), serre la main du ministre chinois du Commerce, Wang Wentao, alors qu'ils posent pour les photographes avant des entretiens bilatéraux, le 17 septembre 2024 à Berlin. (AFP)
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  • Le vice-chancelier allemand Robert Habeck a appelé mardi l'Union européenne et Pékin à "trouver une solution négociée" dans le bras de fer sur la taxation des voitures électriques chinoises pour "éviter une guerre commerciale"
  • La Commission européenne avait annoncé le 20 août sa décision de surtaxer pendant cinq ans les voitures électriques provenant de Chine

Francfort: Le vice-chancelier allemand Robert Habeck a appelé mardi l'Union européenne et Pékin à "trouver une solution négociée" dans le bras de fer sur la taxation des voitures électriques chinoises pour "éviter une guerre commerciale".

"Nous voulons éviter une guerre commerciale avec une spirale de droits de douane, ce qui, en fin de compte, nuit aux deux parties", a déclaré le vice-chancelier et ministre de l'Economie dans un communiqué, après sa rencontre à Berlin avec le ministre chinois du Commerce, Wang Wentao.

Ce dernier doit se rendre jeudi à Bruxelles pour tenter de convaincre le commissaire européen au Commerce Valdis Dombrovskis de renoncer à la mise en place de droits de douane par l'UE.

L'Allemagne fait à son tour monter la pression sur les négociateurs, après que l'Espagne a demandé la semaine dernière à l'UE de revoir sa position.

Berlin, de longue date sceptique sur la question des surtaxes proposées par l'UE, avait vu avec satisfaction Madrid se rallier à ses vues.

"Nous n'avons pas besoin d'une autre guerre, une guerre commerciale dans ce cas", avait déclaré à Shanghai le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez.

"Nous partageons la même orientation", avait salué la chancellerie allemande après les déclarations du dirigeant espagnol.

La Commission européenne avait annoncé le 20 août sa décision de surtaxer pendant cinq ans les voitures électriques provenant de Chine, y compris celles du constructeur américain Tesla, qui possède une usine à Shanghai.

Elle accuse Pékin d'avoir faussé la concurrence en subventionnant massivement les constructeurs sur son territoire, leur permettant d'offrir des prix inférieurs aux clients. L'UE espère ainsi protéger sa filière automobile qui emploie 14,6 millions de salariés.

Pékin a lancé en représailles une enquête antidumping sur les importations de porc et de produits à base de porc, dont l'Espagne est le plus grand exportateur européen vers la Chine.

Avant de devenir définitifs, les droits de douane doivent être confirmés par un vote des 27 États membres de l'UE, avant la fin du mois d'octobre.

- "Conditions équitables" -

Mais les Etats membres sont divisés sur le sujet. La France a poussé pour des mesures ciblant les véhicules chinois. L'Allemagne, la Suède et la Hongrie appellent à la retenue du fait de leurs liens avec le secteur automobile chinois.

La mise en place de taxes est largement soutenue au sein du Conseil européen. Pour contrer la Commission, les opposants doivent réunir 15 Etats sur 27 représentant 65% de la population de l'UE.

Le gouvernement allemand lui-même ne parle pas d'une seule voix, les divisions entre Verts, libéraux et sociaux-démocrates, membres de la coalition, se manifestant une nouvelle fois sur ce dossier.

L'industrie automobile allemande, pilier de la première économie européenne, redoute les répercussions d'un conflit commercial dans un environnement économique déjà peu porteur, surtout pour les ventes électriques.

"La Chine est d'une grande importance pour l'économie allemande et européenne – à l'inverse, la Chine a également un grand intérêt à commercer avec nous", a argué M. Habeck mardi.

"L'Allemagne n'a pas peur de la concurrence avec la Chine" qui doit se dérouler "dans des conditions équitables", a soutenu le ministre écologiste.

Il avait déjà rencontré M. Wang cet été à Pékin pour tenter de jouer les médiateurs.

La Chine est restée en 2023 le premier partenaire commercial de l'Allemagne pour la huitième année consécutive, reculant cependant derrière les Etats-Unis depuis le début de l'année.

Le géant asiatique est le principal marché des constructeurs automobiles allemands, dont Volkswagen, plus gros employeur industriel d'Allemagne, qui a annoncé début septembre envisager des fermetures d'usines et des licenciements pour réduire ses coûts.


Le ministère saoudien du Commerce poursuit en justice 44 entreprises pour concours et rabais illégaux

La loi contre la fraude commerciale a été publiée en 2008. (Shutterstock)
La loi contre la fraude commerciale a été publiée en 2008. (Shutterstock)
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  • Ces entreprises ont été déférées au ministère public pour des sanctions potentielles en vertu de la loi contre la fraude commerciale
  • Le ministère a souligné l'obligation légale pour les commerces physiques et les boutiques en ligne d'obtenir une licence avant d'organiser des concours ou de proposer des réductions

RIYAD: Le ministère saoudien du Commerce a pris des mesures à l'encontre de 44 établissements commerciaux pour avoir organisé des concours et des promotions sur les ventes sans disposer des licences nécessaires.

Ces entreprises ont été déférées au ministère public pour des sanctions potentielles en vertu de la loi contre la fraude commerciale.

Le ministère a souligné l'obligation légale pour les commerces physiques et les boutiques en ligne d'obtenir une licence avant d'organiser des concours ou de proposer des réductions.

Le non-respect de cette réglementation constitue une infraction à la loi contre la fraude commerciale.

Le ministère a déclaré qu'il surveillait activement le respect de cette loi, afin d'identifier les violations et d'empêcher les pratiques trompeuses ou mensongères qui pourraient nuire aux consommateurs.

En vertu de la loi contre la fraude commerciale, les contrevenants s'exposent à des sanctions sévères, notamment une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à trois ans et des amendes pouvant atteindre 1 million de riyals saoudiens (266 427 dollars; 1 dollar = 0,90 euro).

En outre, la loi autorise la publication des noms des contrevenants après que les tribunaux compétents ont rendu des décisions judiciaires définitives.

La loi contre la fraude commerciale a été initialement publiée en 2008 et son dernier amendement a été approuvé en 2019 afin d'améliorer son efficacité face à l'évolution des problèmes de fraude commerciale.

La loi a été établie pour répondre à un besoin croissant de protection des consommateurs face à l'augmentation des activités commerciales, tant sur les marchés traditionnels qu'en ligne.

Elle vise à garantir la transparence, l'équité et la légalité des transactions commerciales en imposant des sanctions strictes aux entreprises qui se livrent à des pratiques frauduleuses telles que la présentation erronée de produits, la publicité mensongère et l'organisation de promotions ou de concours sans licence.

En appliquant cette loi, le gouvernement saoudien cherche à maintenir un environnement de marché fiable, à protéger les droits des consommateurs et à maintenir une concurrence loyale entre les entreprises à mesure que le secteur commercial se développe.

La Vision 2030 transforme le secteur commercial du Royaume en appliquant des réglementations telles que la loi contre la fraude commerciale.

L'objectif est de faire passer la contribution du secteur privé au produit intérieur brut de 40% à 65% et d'augmenter les exportations non pétrolières de 16% à 50% du PIB non pétrolier.

La Vision 2030 cherche également à attirer davantage d'investissements directs étrangers, en visant une augmentation de 3,8% à 5,7% du PIB. Ces initiatives favorisent la transparence du marché, garantissent le respect de la législation et favorisent une économie plus diversifiée et plus compétitive.

En mars, le ministère a pris des mesures punitives à l'encontre de plusieurs établissements commerciaux et de particuliers pour avoir organisé des tirages au sort qui exigeaient que les consommateurs fassent des achats comme condition préalable à leur participation.

Le ministère a sommé les parties en infraction d'engager des actions en justice avant de transmettre leur dossier au ministère public.

À l'époque, le ministère avait souligné que les entreprises et les particuliers ne devaient pas imposer d'obligation d'achat aux consommateurs pour participer à des concours, des offres ou des tirages au sort. En outre, des pratiques telles que l'inclusion d'un bon de participation à un concours dans un produit ou l'augmentation des prix lors d'événements promotionnels sont interdites.

Le ministère a rappelé que le fait d'exiger un paiement ou un achat comme condition de participation à un concours constitue une activité de loterie, qui est interdite dans le Royaume en vertu de la réglementation actuelle.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com