Le ministre saoudien de la santé confirme le succès des plans de santé pour le Hajj, aucune épidémie n’a été enregistrée

Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, participe à une conférence de presse au Centre de commandement et de contrôle de Mina, le 30 juin 2023. (SPA)
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Publié le Samedi 01 juillet 2023

Le ministre saoudien de la santé confirme le succès des plans de santé pour le Hajj, aucune épidémie n’a été enregistrée

  • Plus de 400 000 pèlerins ont bénéficié de soins de santé au cours du pèlerinage de cette année
  • «Plus de 354 établissements de soins de santé ont été préparés pour servir les pèlerins, avec l’aide de plus de 36 000 cadres de santé de tous les secteurs de la santé, soutenus par plus de 7600 bénévoles.»

DJEDDAH : Le ministre saoudien de la Santé, Fahad al-Jalajel, a annoncé le succès des plans de santé pour la saison du Hajj de cette année et a confirmé qu’il n’y avait pas eu d’épidémies ou de menaces pour la santé publique, a rapporté vendredi l’Agence de presse saoudienne (SPA).

Dans un communiqué diffusé par le Centre de commandement et de contrôle de Mina, M. Al-Jalajel déclare : « Avec le soutien du Gardien des Deux Saintes Mosquées et le suivi du prince héritier et du Premier ministre, j’ai le plaisir d’annoncer le succès des plans sanitaires du Hajj de cette année et l’absence de toute épidémie ou menace pour la santé publique, le nombre de pèlerins de cette saison étant revenu à ce qu’il était avant la pandémie. »

Le ministre de la Santé a salué le rôle joué par le Comité suprême du Hajj, dirigé par le prince Abdelaziz ben Saoud ben Nayef, ministre de l’Intérieur, dans la résolution de tous les problèmes de santé, et a remercié le ministère de l’Intérieur pour sa contribution efficace à la mise en œuvre des plans de santé.

Il a également remercié le prince Khaled ben Faisal, gouverneur de La Mecque et président du Comité central du Hajj, le prince Badr ben Sultan, vice-gouverneur de La Mecque et vice-président du Comité central du Hajj, ainsi que la principauté de La Mecque, pour le suivi inlassable qu’ils ont assuré et qui a contribué à ce succès.

Le ministre a attribué le succès de ces plans à « l’intégration entre toutes les agences gouvernementales et à la préparation préalable de la saison du Hajj. »

M. Al-Jalajel a indiqué que, grâce à la volonté du roi Salmane, « plus de 354 établissements de soins de santé ont été préparés pour servir les pèlerins, avec l’aide de plus de 36 000 cadres de santé de tous les secteurs de la santé, soutenus par plus de 7600 bénévoles. »

Il a ajouté que plus de 400 000 pèlerins avaient bénéficié de soins de santé au cours du pèlerinage de cette année. Parmi eux, 50 ont subi une opération à cœur ouvert, 800 ont subi des cathétérismes cardiaques, et plus de 1600 ont effectué des séances de dialyse.

Quatre mille pèlerins ont bénéficié de consultations médicales virtuelles par l’intermédiaire de l’hôpital virtuel Seha, qui utilise les dernières technologies innovantes pour fournir des services spécialisés et soutenir les établissements de santé du Royaume, et 8000 ont été traités contre le stress thermique.

M. Al-Jalajel a remercié tous les secteurs qui ont contribué à la sensibilisation sanitaire des pèlerins et qui leur ont fourni des services, et il a souhaité aux pèlerins un bon retour dans leurs pays respectifs.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Les États-Unis débloquent 117 millions de dollars pour les Forces libanaises

Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
Drapeau américain agitant isolément sur fond blanc (Photo iStock)
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  • Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».
  • C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

WASHINGTON : Lles États-Unis ont annoncé  samedi le transfert de 117 millions de dollars destinés à soutenir les forces de l'ordre et l'armée libanaises, à l'issue d'une réunion de donateurs internationaux, jeudi.

Selon un communiqué du département d'État, ces fonds doivent aider les Forces armées libanaises (FAL) et les Forces de sécurité intérieure (FSI, chargées du maintien de l'ordre) à « garantir la souveraineté du Liban dans tout le pays ».

C'est ce dernier qui est à l'origine de la réunion des donateurs internationaux qui a eu lieu jeudi « avec partenaires et alliés pour évoquer le soutien crucial à la sécurité du Liban afin de pérenniser la cessation des hostilités avec Israël ».

Un cessez-le-feu a pris effet fin novembre entre le mouvement islamiste pro-iranien Hezbollah et Israël, après plus d'un an de bombardements de part et d'autre, ainsi qu'une incursion des forces israéliennes en territoire libanais à partir de fin septembre.

L'enveloppe annoncée samedi par le département d'État « démontre son engagement à continuer à travailler avec ses partenaires et alliés pour s'assurer que le Liban bénéficie du soutien nécessaire pour renforcer la sécurité du pays et de la région ».

Samedi, le président libanais, Joseph Aoun, a réclamé le retrait de l'armée israélienne « dans les délais fixés » par l'accord de cessez-le-feu.

Ce dernier prévoit le déploiement de l'armée libanaise aux côtés des Casques bleus dans le sud du pays et le retrait de l'armée israélienne dans un délai de 60 jours, soit d'ici au 26 janvier.

Le Hezbollah doit, pour sa part, retirer ses forces au nord du fleuve Litani, à environ 30 km de la frontière libano-israélienne. 


Manifestation pour revendiquer la libération de l'opposante Abir Moussi

Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
Des partisans d'Abir Moussi, chef du Parti Destourien Libre (PDL), participent à une manifestation demandant sa libération, à Tunis le 18 janvier 2025. (Photo FETHI BELAID / AFP)
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  • Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.
  • Soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

TUNIS : Plusieurs centaines de sympathisants du Parti destourien libre (PDL), qui revendique l'héritage des autocrates Bourguiba et Ben Ali, ont manifesté samedi en Tunisie pour réclamer la libération de leur dirigeante, l'opposante Abir Moussi.

Brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « Liberté pour Abir » ou « Nous sommes des opposants, pas des traîtres ! », ils étaient entre 500 et 1 000, selon des journalistes de l'AFP. Beaucoup portaient des drapeaux tunisiens et des photos de la dirigeante du PDL.

Ils ont critiqué virulemment à la fois le président Kaïs Saied et le parti islamo-conservateur d'opposition Ennahdha. Mme Moussi, ex-députée de 49 ans, est en détention depuis son arrestation le 3 octobre 2023 devant le palais présidentiel, où, selon son parti, elle était venue déposer des recours contre des décrets de M. Saied.

Mme Moussi fait l'objet de plusieurs accusations, dont celle particulièrement grave de tentative « ayant pour but de changer la forme de l'État », soupçonnée d'avoir voulu rétablir un pouvoir similaire à celui de Zine El Abidine Ben Ali, renversé en 2011 par la première révolte du Printemps arabe.

Les manifestants ont dénoncé le décret 54 sur les « fausses nouvelles », en vertu duquel Mme Moussi est poursuivie dans cette affaire, et dont l'interprétation très large a entraîné l'incarcération depuis septembre 2022 de dizaines de politiciens, d'avocats, de militants ou de journalistes.

Pour Thameur Saad, dirigeant du PDL, emprisonner Mme Moussi pour des critiques envers l'Isie « n'est pas digne d'un pays se disant démocratique ». « Les prisons tunisiennes sont désormais remplies de victimes du décret 54 », a renchéri à l'AFP Karim Krifa, membre du comité de défense de Mme Moussi.

D'autres figures de l'opposition, dont le chef d'Ennahdha, Rached Ghannouchi, sont également emprisonnées.

Depuis le coup de force de M. Saied à l'été 2021, l'opposition et les ONG tunisiennes et étrangères ont déploré une régression des droits et des libertés en Tunisie. Le chef de l'État a été réélu à une écrasante majorité de plus de 90 % des voix le 6 octobre, lors d'un scrutin marqué toutefois par une participation très faible (moins de 30 %).


L'Égypte annonce que 50 camions-citernes de carburant entreront chaque jour dans la bande de Gaza

Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
Le ministère palestinien de la Santé a déclaré qu'une frappe aérienne israélienne sur le camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie occupée, a tué cinq personnes mardi, l'armée israélienne confirmant avoir mené une attaque dans la région. (Photo d'archives de l'AFP)
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  • Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.
  • M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

LE CAIRE : Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a annoncé samedi que 50 camions-citernes chargés de carburant devaient entrer dans la bande de Gaza à partir de dimanche, marquant le début du cessez-le-feu.

M. Abdelatty, dont le pays, le Qatar et les États-Unis ont servi de médiateur, a déclaré que l'accord prévoyait « l'entrée de 600 camions par jour dans la bande, dont 50 de carburant ».

La trêve devrait entrer en vigueur dimanche à 13 h 30 GMT, ouvrant ainsi la voie à un afflux massif d'aide, selon les médiateurs.

Des centaines de camions sont garés du côté égyptien du poste frontière de Rafah, un point d'entrée autrefois vital pour l'aide humanitaire, fermé depuis mai, lorsque les forces israéliennes ont pris le contrôle du côté palestinien du point de passage.

Au cours d'une conférence de presse conjointe avec son homologue nigérian, M. Abdelatty a déclaré : « Nous espérons que 300 camions se rendront au nord de la bande de Gaza », où des milliers de personnes sont bloquées dans des conditions que les agences humanitaires qualifient d'apocalyptiques.

Les travailleurs humanitaires ont mis en garde contre les obstacles monumentaux qui pourraient entraver les opérations d'aide, notamment la destruction des infrastructures qui traitaient auparavant les livraisons.