L'Arabie saoudite célèbre une avancée spectaculaire en matière d'égalité sociale

Ces dernières années, les Saoudiens ont réalisé des progrès significatifs dans le domaine des droits de l'homme. (Photo Arab News)
Ces dernières années, les Saoudiens ont réalisé des progrès significatifs dans le domaine des droits de l'homme. (Photo Arab News)
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Publié le Jeudi 10 décembre 2020

L'Arabie saoudite célèbre une avancée spectaculaire en matière d'égalité sociale

  • «Le Royaume, sous la direction du roi Salmane et du prince héritier Mohammed ben Salmane, travaille à promouvoir le développement durable, l’état de droit, la justice et l’égalité»
  • Les dirigeants saoudiens ont mis en œuvre des réformes sans précédent pour les droits de l'homme, avec plus de 70 résolutions

RIYAD: L'Arabie saoudite continue de faire de grands progrès en matière de paix, de justice et d'égalité, caractéristiques d'une société durable. Alors que le monde célèbre la Journée mondiale des droits de l'homme, Arab News revient sur les réalisations du Royaume en 2020.

Ces dernières années, les Saoudiens ont réalisé des progrès significatifs dans le domaine des droits de l'homme. Le droit des femmes de conduire, l’abolition de la tutelle masculine et la possibilité pour les femmes de voyager sans l’autorisation des hommes montrent que le Royaume continue de faire des progrès importants.

Tout aussi importants pour les droits de l'homme dans le Royaume ont été l'assouplissement du système de parrainage (kafala) pour les travailleurs migrants et les contributions à la lutte pour l'égalité des sexes.

Dans une déclaration marquant la Journée des droits de l'homme le 10 décembre, le président saoudien de la Commission des droits de l'homme, le Dr Awwad al-Awwad, explique que le Royaume, sous la direction du roi Salmane et du prince héritier Mohammed ben Salmane, travaille à promouvoir le développement durable, l’état de droit, la justice et l’égalité.

«À cet égard, les dirigeants saoudiens ont mis en œuvre des réformes sans précédent pour les droits de l'homme, avec plus de 70 résolutions, et ils ont rempli tous les engagements qu'ils avaient pris», poursuit-il.

Pour le Dr Awwad al-Awwad, cet engagement reflète le soutien et l'attention que l'Arabie saoudite accorde aux droits de l'homme dans le cadre de son programme de réforme Vision 2030.

Alors que le nombre de cas atteints de Covid-19 continuait d'augmenter en Arabie saoudite, le roi Salmane a ordonné que les traitements soient gratuits pour tous les patients atteints de coronavirus dans les établissements de santé publics et privés, même pour ceux qui ne possèdent pas un permis de séjour légal.

L'arrêté royal, dont l’objectif est de donner la priorité à la santé des citoyens et des résidents et d’assurer la sécurité de tous, a été prononcé par le ministre saoudien de la Santé, le Dr Tawfiq al-Rabiah, le 30 mars – une décision que peu de pays ont pu égaler.

 

EN BREF

  • Le roi Salmane a ordonné que les traitements soient gratuits pour tous les patients atteints de coronavirus dans les établissements de santé publics et privés, même pour ceux qui ne possèdent pas un permis de séjour légal.

 

  • L'Arabie saoudite a assoupli le système de parrainage pour les travailleurs migrants.

 

  • Le Royaume a autorisé les femmes à conduire et a aboli la tutelle masculine.

«L'Arabie saoudite a accordé une grande importance et une grande attention à la lutte contre la pandémie, aussi bien à l’intérieur de ses frontières que dans le monde», explique le Dr Awwad al-Awwad.

En novembre, le Royaume a assoupli le système de parrainage pour les travailleurs expatriés étrangers, y compris concernant les restrictions contractuelles qui permettaient aux employeurs de contrôler la vie d'environ 10 millions de travailleurs migrants.

Les nouvelles réformes permettront aux travailleurs du secteur privé de changer d’emploi et de quitter le pays sans avoir besoin du consentement de leur employeur.

Salma al-Rashid, cheffe du plaidoyer d’Al-Nahda Philanthropic Society for Women et ambassadrice sherpa du Women 20 (W20) qui représente l'Arabie saoudite à ce sommet depuis 2018, explique que le Groupe des vingt (G20) offre aux Saoudiennes un accès sans précédent aux débats qui dictent leur avenir.

«Cette année, le W20 nous a permis de créer un pont entre les débats aux niveaux international et régional sur ce qui compte le plus pour les femmes et sur la manière dont nous pouvons assurer leur émancipation économique», poursuit-elle.

Selon un rapport de la Banque mondiale publié en janvier, l'économie saoudienne a réalisé «les plus grands progrès au monde en matière d'égalité des sexes depuis 2017».

L’étude, qui suit la façon dont les lois affectent les femmes dans 190 économies, a évalué l’économie du Royaume à 70,6 points sur 100, une augmentation spectaculaire par rapport à son score précédent de 31,8 points.

Issam Abu Sulaiman, directeur régional de la Banque pour le Conseil de coopération du Golfe (CCG), explique à propos du rapport que «l’Arabie saoudite est devenue l’un des leaders du monde arabe en matière d’autonomisation des femmes».

La princesse Reema benta Bandar benta Sultan, ambassadrice d'Arabie saoudite aux États-Unis, a également commenté l’évolution des droits des femmes dans le pays ces dernières années.

«Ces nouvelles réglementations sont en cours d'élaboration. Elles appellent à un engagement égal des femmes et des hommes dans notre société. C'est une approche holistique de l'égalité des sexes qui créera incontestablement un réel changement pour les Saoudiennes», a-t-elle twitté.

Pour Hanan al-Hamad, une activiste saoudienne des droits de l'homme et chroniqueuse, le Royaume fait un «travail remarquable» en ce qui concerne le renforcement des droits de l'homme dans le pays. «Félicitations à notre société civile dans laquelle les droits de l'homme sont devenus une source de force et de fierté», a-t-elle déclaré à Arab News.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur ArabNews.com


Syrie: le bilan des frappes israéliennes sur Palmyre s'élève à 92 morts

Quatre-vingt-douze combattants pro-iraniens ont été tués dans des frappes israéliennes mercredi à Palmyre, dans le centre de la Syrie, a annoncé vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) dans un nouveau bilan. (AFP)
Quatre-vingt-douze combattants pro-iraniens ont été tués dans des frappes israéliennes mercredi à Palmyre, dans le centre de la Syrie, a annoncé vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) dans un nouveau bilan. (AFP)
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  • Un dépôt d'armes proche de la zone industrielle de Palmyre a aussi été visé, selon l'OSDH, ONG basée au Royaume-Uni mais qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie
  • Le bilan s'élève à "92 morts", a déclaré l'OSDH, parmi lesquels 61 combattants syriens pro-iraniens dont onze travaillant pour le Hezbollah libanais, "27 ressortissants étrangers" pour la plupart d'Al-Noujaba, et quatre membres du Hezbollah

BEYROUTH: Quatre-vingt-douze combattants pro-iraniens ont été tués dans des frappes israéliennes mercredi à Palmyre, dans le centre de la Syrie, a annoncé vendredi l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) dans un nouveau bilan.

Mercredi, trois frappes israéliennes ont ciblé la ville moderne attenante aux ruines gréco-romaines de la cité millénaire de Palmyre. Une d'entre elles a touché une réunion de membres de groupes pro-iraniens avec des responsables des mouvements irakien d'Al-Noujaba et libanais Hezbollah, selon l'Observatoire.

Un dépôt d'armes proche de la zone industrielle de Palmyre a aussi été visé, selon l'OSDH, ONG basée au Royaume-Uni mais qui dispose d'un vaste réseau de sources en Syrie.

Le bilan s'élève à "92 morts", a déclaré l'OSDH, parmi lesquels 61 combattants syriens pro-iraniens dont onze travaillant pour le Hezbollah libanais, "27 ressortissants étrangers" pour la plupart d'Al-Noujaba, et quatre membres du Hezbollah.

L'ONG avait fait état la veille de 82 morts.

Ces frappes israéliennes sont "probablement les plus meurtrières" ayant visé la Syrie à ce jour, a déclaré jeudi devant le Conseil de sécurité Najat Rochdi, adjointe de l'envoyé spécial de l'ONU en Syrie.

Depuis le 23 septembre, Israël a intensifié ses frappes contre le Hezbollah au Liban mais également sur le territoire syrien, où le puissant mouvement libanais soutient le régime de Damas.

Depuis le début de la guerre civile en Syrie, Israël a mené des centaines de frappes contre le pays voisin, visant l'armée syrienne et des groupes soutenus par Téhéran, son ennemi juré. L'armée israélienne confirme rarement ces frappes.

Le conflit en Syrie a éclaté après la répression d'un soulèvement populaire qui a dégénéré en guerre civile. Il a fait plus d'un demi-million de morts, ravagé les infrastructures et déplacé des millions de personnes.

Située dans le désert syrien et classée au patrimoine mondial de l'Unesco, Palmyre abrite des temples gréco-romains millénaires.

 


Israël annonce mettre fin à un régime de garde à vue illimitée pour les colons de Cisjordanie

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  • Quelque 770 Palestiniens y ont été tués par des soldats ou des colons israéliens, selon des données de l'Autorité palestinienne
  • Dans le même temps, selon des données officielles israéliennes, 24 Israéliens, civils ou militaires, y ont été tués dans des attaques palestiniennes ou lors de raids militaires israéliens

JERUSALEM: Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé vendredi que le régime dit de la détention administrative, équivalent d'une garde à vue quasi illimitée, ne serait désormais plus applicable aux colons israéliens en Cisjordanie.

Alors que "les colonies juives [en Cisjordanie] sont soumises à de graves menaces terroristes palestiniennes [...] et que des sanctions internationales injustifiées sont prises contre des colons [ou des entreprises oeuvrant à la colonisation], il n'est pas approprié que l'Etat d'Israël applique une mesure aussi sévère [la détention administrative, NDLR] contre des colons", déclare M. Katz dans un communiqué.

Israël occupe la Cisjordanie depuis 1967 et les violences ont explosé dans ce territoire palestinien depuis le début de la guerre entre Israël et le mouvement islamiste Hamas à Gaza, le 7 octobre 2023.

Quelque 770 Palestiniens y ont été tués par des soldats ou des colons israéliens, selon des données de l'Autorité palestinienne. Dans le même temps, selon des données officielles israéliennes, 24 Israéliens, civils ou militaires, y ont été tués dans des attaques palestiniennes ou lors de raids militaires israéliens.

Face à la montée des actes de violences commis par des colons armés, plusieurs pays occidentaux (Etats-Unis, Union européenne, Royaume-Uni et Canada notamment) ont au cours des douze derniers mois pris des sanctions (gel des avoirs, interdiction de voyager) contre plusieurs colons qualifiés d'"extrémistes".

Il y a quelques jours, les Etats-Unis ont sanctionné pour la première fois une entreprise israélienne de BTP active dans la construction de colonies en Cisjordanie.

La détention administrative est une procédure héritée de l'arsenal juridique de la période du Mandat britannique sur la Palestine (1920-1948), avant la création d'Israël. Elle permet aux autorités de maintenir un suspect en détention sans avoir à l'inculper, pendant des périodes pouvant aller jusqu'à plusieurs mois, et pouvant être renouvelées pratiquement à l'infini.

Selon le Club des prisonniers palestiniens, ONG de défense des Palestiniens détenus par Israël, plus de 3.430 Palestiniens se trouvaient en détention administrative fin août. Par comparaison, seuls huit colons juifs sont détenus sous ce régime à ce jour, selon le quotidien israélien de gauche Haaretz vendredi.

L'annonce de la fin de la détention administrative pour les colons survient au lendemain de l'émission par la Cour pénale internationale (CPI) de mandats d'arrêts internationaux contre le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, et son ex-ministre de la Défense Yoav Gallant recherchés par la justice internationale pour des "crimes de guerres" et "crimes contre l'humanité".

M. Netanyahu a rejeté catégoriquement la décision de la Cour comme une "faillite morale" et une mesure animée par "la haine antisémite à l'égard d'Israël".

 


Incursion israélienne au Liban-Sud et frappes aériennes sur la banlieue sud de Beyrouth

 Le feu fait rage à l'intérieur des bâtiments touchés par une frappe aérienne israélienne qui a ciblé le quartier de Haret Hreik dans la banlieue sud de Beyrouth, le 21 novembre 2024, dans le cadre de la guerre entre Israël et le Hezbollah. (AFP)
Le feu fait rage à l'intérieur des bâtiments touchés par une frappe aérienne israélienne qui a ciblé le quartier de Haret Hreik dans la banlieue sud de Beyrouth, le 21 novembre 2024, dans le cadre de la guerre entre Israël et le Hezbollah. (AFP)
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  •  Le bilan total depuis le début des affrontements s'élève à plus de 3 520 morts et 14 940 blessés
  •  Les avions de guerre israéliens ont mené des frappes aériennes destructrices par étapes sur la banlieue sud de Beyrouth jeudi matin

BEYROUTH: Des combats acharnés entre l'armée israélienne et le Hezbollah ont éclaté dans la ville de Khiam et à la périphérie de la ville de Biyyadah au Liban jeudi.

Les Israéliens ont repris leurs frappes aériennes intenses dans la matinée sur la banlieue sud de Beyrouth et les villages du gouvernorat de Baalbeck-Hermel, après une pause qui a coïncidé avec la visite de 48 heures de l'envoyé américain Amos Hochstein à Beyrouth avant de se rendre à Tel-Aviv.

Le Hezbollah a poursuivi ses attaques contre le nord d'Israël, des roquettes atteignant Nahariya. Selon les médecins du Magen David Adom, ces attaques ont «tué un homme de 30 ans à cause des tirs de roquettes».

Le Liban fait l'objet d'attaques israéliennes de grande envergure depuis le 23 septembre.

Israël a pris pour cible les quartiers généraux du Hezbollah, les maisons civiles dans les villages du sud, poursuivant les personnes déplacées vers leurs nouveaux lieux de résidence et détruisant des quartiers entiers dans la banlieue sud de Beyrouth, la région de la frontière sud, les villes du sud et les villages de Baalbeck-Hermel.

Les frappes israéliennes ont également ciblé Beyrouth à plusieurs reprises. Le bilan total depuis le début des affrontements s'élève à plus de 3 520 morts et 14 940 blessés.

Les affrontements dans le sud se sont concentrés entre la ville de Chamaa et la ville côtière de Biyyadah, à la suite de la prise de Chamaa.

Le Hezbollah a déclaré que ses membres «ont repoussé une nouvelle tentative de progression des forces israéliennes à la périphérie sud de Chamaa en direction de Biyyadah».

Une bataille féroce a également fait rage à Khiam, alors que des rapports suggéraient mercredi soir que la ville était tombée aux mains de l'armée israélienne. Cependant, le Hezbollah a fait état de «batailles continues sur quatre fronts, utilisant tous les types d'armes».

Les rapports de sécurité indiquent que l'armée israélienne «procède à des démolitions à grande échelle à Khiam, faisant exploser des maisons et des bâtiments résidentiels au cours de son incursion dans la ville».

Le contrôle de Khiam est important, car il s'agit d'une ville stratégique située au sommet de la colline Al-Hamames, à 500 mètres au-dessus du niveau de la mer. Khiam est également l'une des plus grandes villes du Liban-Sud en termes de superficie, ce qui permet à l'armée israélienne de surveiller le nord d'Israël d'un côté et le plateau du Golan de l'autre.

Un raid israélien sur la route de Khardali, qui relie Nabatieh à Marjaayoun et est considérée comme une route d'approvisionnement du Hezbollah, l'a complètement bloquée.

Pendant ce temps, les avions de guerre israéliens ont mené des frappes aériennes destructrices par étapes sur la banlieue sud de Beyrouth jeudi matin.

Ces frappes ont été précédées d'une série d'ordres d'évacuation adressés aux habitants de Ghobeiri, Hadath, Haret Hreik, Bir Abed et Kafaat.

Les raids ont détruit un nombre important de bâtiments résidentiels et de magasins. Ils ont également atteint un bâtiment adjacent à une école spécialisée à Kafaat.

L'armée israélienne a affirmé avoir «ciblé le quartier général et les infrastructures du Hezbollah dans la banlieue sud de Beyrouth».

Les raids menés à Younin, dans le nord de la Békaa, ont tué au moins quatre personnes après avoir visé une maison habitée sans avertissement préalable.

Les raids israéliens ont touché Brital, Makneh, Nahleh, Chaat dans les montagnes de l'Anti-Liban, et Bouday dans la chaîne de montagnes de l'Ouest.

Mercredi soir, des dizaines de citoyens ont reçu des appels mystérieux leur demandant d'évacuer leurs maisons dans les quartiers de Beyrouth et du Mont-Liban, notamment à Mazraat Yachouh, dans le Metn, où le Hezbollah n'est pas présent.

Ces appels ont semé la confusion, les habitants de quartiers entiers attendant dans les rues la confirmation des autorités. Ces appels ont été perçus comme «faisant partie d'une guerre psychologique».

À la veille du 81e Jour de l'indépendance du Liban, le chef de l'armée, Joseph Aoun, a déclaré que «le Liban se révoltera toujours contre ses ennemis et ceux qui portent atteinte à sa sécurité et à sa souveraineté, notamment l'ennemi israélien».

M. Aoun a précisé que cette commémoration intervenait dans le contexte d'une guerre destructrice et brutale menée par l'ennemi israélien depuis plus d'un an, qui a fait des milliers de blessés et entraîné le déplacement de populations de leurs villages et villes dans le sud, dans la Békaa et à Beyrouth.

«Alors que l'ennemi persiste dans ses violations et agressions quotidiennes, les efforts s'intensifient pour parvenir à un cessez-le-feu qui rétablirait le calme dans notre pays, ouvrant la voie au retour de notre peuple dans le sud sur ses terres et au retour des autres personnes déplacées dans leurs foyers.

M. Aoun a déclaré que l'armée était «toujours déployée dans le sud, où les soldats sacrifient leur vie pour le Liban. Nous ne l'abandonnerons pas car elle fait partie intégrante de la souveraineté nationale et opère en coordination avec la Finul dans le cadre de la résolution 1701. L'armée est également aux côtés de son peuple et de ses citoyens, remplissant son devoir national et poursuivant ses missions malgré les défis et les dangers».

Il a ajouté qu'«il n'y a pas de retour en arrière ni de crainte pour l'armée, qui restera inébranlable aux côtés des Libanais en toutes circonstances, protégeant le Liban et défendant sa sécurité, sa stabilité et sa souveraineté. L'armée continuera de rassembler tous les Libanais de différentes origines, se tenant équitablement aux côtés de chacun».

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com