RIYAD: La Red Sea Development Co. connue sous le nom de TRSDC, a changé de nom pour devenir Red Sea Global (RSG), a annoncé l’entreprise lors de la sixième édition de la Future Investment Initiative (FII) à Riyad le 25 octobre.
La RSG supervise actuellement la création de deux destinations touristiques de luxe en Arabie saoudite: La mer Rouge et Amaala. Ces projets soutiendront les ambitions du pays à devenir un pôle touristique mondial, conformément aux objectifs définis dans la Vision 2030 du Royaume.
Selon un communiqué de presse, la destination de la mer Rouge devrait accueillir ses premiers visiteurs au début de l'année 2023, et le mandat de la RSG s'est élargi pour superviser plus d'une douzaine de projets s'étendant sur toute la côte de la mer Rouge en Arabie Saoudite, avec la possibilité de s'étendre au-delà du Royaume à l'avenir.
«Avec la mer Rouge et Amaala, nous avons prouvé notre capacité à réaliser des projets responsables à grande échelle qui façonnent positivement l'avenir des personnes que nous accueillons et employons, ainsi que des lieux dans lesquels nous opérons», a déclaré John Pagano, PDG du groupe RSG.
«L'annonce d'aujourd'hui marque le début de notre évolution vers un développeur réellement mondial qui peut mener la catégorie vers un nouvel archétype de développement. Nous sommes soutenus par des personnes extraordinaires issues du Royaume et d'ailleurs, et nous avons les compétences, les connaissances et l'expérience nécessaires afin de réussir sur la scène mondiale», a-t-il ajouté.
La RSG dispose d'un portefeuille croissant de projets s'étendant le long de la côte de la mer Rouge en Arabie saoudite, avec plus de cinq projets supplémentaires faisant déjà l'objet d'études de faisabilité, certains entrant dans la phase de concours de plan directeur, et d'autres dont la construction a déjà commencé.
Le communiqué de presse a indiqué en outre que les projets de la mer Rouge et Amaala, une fois achevés, devraient apporter une contribution annuelle de 8,78 milliards d’euros à l'économie du Royaume.
Selon le même communiqué, à travers les projets de la Mer Rouge et Amaala, l’entreprise a attribué plus de 1 300 contrats d'une valeur de près de 8,55 milliards d’euros, dont environ 70% de la valeur totale à des entreprises saoudiennes.
Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com