Expo Dubaï célèbre la Journée internationale de la fraternité humaine

Le cardinal Miguel Angel Ayuso, le cheikh Nahyan Mubarak Al-Nahyan et le Dr Muhammad Al-Duwaini Al-Azhar, l'adjoint du Grand Imam, assistent à une table ronde intitulée «La fraternité humaine et l'Alliance pour la tolérance mondiale» à Dubai. (AFP)
Le cardinal Miguel Angel Ayuso, le cheikh Nahyan Mubarak Al-Nahyan et le Dr Muhammad Al-Duwaini Al-Azhar, l'adjoint du Grand Imam, assistent à une table ronde intitulée «La fraternité humaine et l'Alliance pour la tolérance mondiale» à Dubai. (AFP)
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Publié le Samedi 05 février 2022

Expo Dubaï célèbre la Journée internationale de la fraternité humaine

  • Le pape François et le grand imam d'Al-Azhar, cheikh Ahmed el-Tayeb, ont cosigné le Document pour la fraternité humaine le 4 février 2019
  • S'adressant à Arab News, le cardinal Miguel Angel Ayuso a exhorté toutes les communautés religieuses à travailler ensemble pour contrecarrer les défis mondiaux communs

 

DUBAÏ: Le Document pour la fraternité humaine a été «une étape importante sur la voie du dialogue interreligieux», a déclaré le cardinal Miguel Angel Ayuso à Arab News en marge d'un événement à l'Expo 2020 de Dubaï marquant la Journée internationale de la fraternité humaine.

Il était l'un des nombreux chefs religieux qui se sont réunis au pavillon de la durabilité de l'Expo vendredi pour marquer le troisième anniversaire de la signature du document, par le pape François de l'Église catholique et cheikh Ahmed el-Tayeb, grand imam d'Al-Azhar, à Abu Dhabi le 4 février 2019.

La déclaration commune appelle à la paix entre tous les peuples, tout en établissant un plan pour une culture de dialogue et de collaboration entre toutes les religions.

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Le cardinal Miguel Angel Ayuso, Président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux de la Fraternité humaine pour les initiatives conjointes et la coexistence pacifique. (Photo fournie)

«Nous sommes des citoyens du monde», a affirmé Ayuso, d'Espagne, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux et historien renommé de l'Islam.

«Tous les croyants de Dieu doivent travailler ensemble afin de faire face aux problèmes auxquels nous sommes confrontés aujourd'hui. Il est important de cultiver les valeurs et d'entretenir une relation avec la religion, que ce soit à l'église, dans une mosquée ou une synagogue.»

Pour marquer cet anniversaire, le pape François et cheikh el-Tayeb ont envoyé des messages vidéo dans lesquels ils ont appelé à la poursuite de la compréhension interconfessionnelle.

«L'heure n'est pas à l'indifférence», a expliqué le pape François. «Soit nous sommes frères et sœurs, soit tout s'écroule.»

Le cheikh El-Tayeb a estimé: «Cette célébration signifie la quête d'un monde meilleur où règne l'esprit de tolérance, de fraternité, de solidarité et de collaboration. Elle indique également un espoir de fournir des outils efficaces dans le but de faire face aux crises et aux défis de l'humanité contemporaine.

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Cela fait trois ans que le pape François de l'Église catholique et cheikh Ahmed el-Tayeb, grand imam d'Al-Azhar, ont cosigné le document à Abu Dhabi le 4 février 2019. (Photo fournie)

«Nous nous sommes engagés sur cette voie dans l'espoir d'un monde nouveau, sans guerres ni conflits, où les craintifs sont rassurés, les pauvres soutenus, les vulnérables protégés et la justice rendue.»

Inaugurant les célébrations, le juge Mohammed Abdelsalam, secrétaire général du Haut Comité de la fraternité humaine, a souligné la manière dont le Document pour la fraternité humaine a donné aux gens les moyens de lutter contre les préjugés et d'accroître la responsabilité, offrant une protection aux «nantis et aux démunis, aux riches et aux pauvres, et aux hommes et femmes».

Le Haut Comité de la fraternité humaine a été fondé par les autorités des Émirats arabes unis pour déterminer les lauréats du prix Zayed, qui est décerné chaque année à des personnes ou des organisations «qui incarnent par leur travail cet engagement de toute une vie envers la fraternité humaine».

Les lauréats de l'année dernière étaient le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, et Latifa ebn Ziaten, une activiste franco-marocaine qui milite sans relâche contre la radicalisation depuis la perte de son fils dans un attentat terroriste il y a 10 ans.

S'exprimant lors de l'événement de vendredi à Dubaï, Mohammed al-Diwaini, directeur adjoint du grand imam d'Al-Azhar, a déclaré qu'il était impératif de «laisser tomber toutes maladie» de haine et de discrimination en faveur de la tolérance religieuse.

«Si nous suivons notre religion dans sa forme correcte et sans interprétation erronée, nous vivrons dans les meilleures conditions possibles», a-t-il déclaré aux participants.

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Le cardinal Miguel Angel Ayuso, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux de la Fraternité humaine pour les initiatives conjointes et la coexistence pacifique (à gauche); le Cheikh Nahyan Moubarak Al-Nahyan (au centre), ministre de la Tolérance et de la coexistence des Émirats arabes unis et le Dr Mohammed al-Duwaini, adjoint du grand imam d’Al-Azhar à Dubaï, le 4 février 2022. (Photo, AFP)

La cérémonie d'ouverture comprenait une courte vidéo mettant en lumière les dirigeants qui ont servi la cause de la coexistence, notamment le Mahatma Gandhi, Mère Teresa, Martin Luther King Jr. et le cheikh Zayed, qui a été la force motrice de la formation des Émirats arabes unis et qui a défendu la pluralité tout au long de sa vie.

Pour marquer la Journée internationale de la fraternité humaine, le président américain, Joe Biden, a envoyé une lettre au Haut Comité appelant à la solidarité mondiale de manière à relever les défis du jour.

«De la menace permanente de la pandémie de la Covid-19 et de la crise climatique existentielle à la montée de la violence dans le monde, ces défis nécessitent une coopération mondiale de la part de personnes de toutes origines, cultures, confessions et croyances», a écrit Biden.

Il a ajouté que ces défis «exigent que nous nous parlions dans un dialogue ouvert, afin de promouvoir la tolérance, l'inclusion et la compréhension. Par-dessus tout, ces défis exigent que nous fassions preuve d’ouverture d'esprit, de coopération et d'empathie et que nous veillions à ce que toutes les personnes soient traitées avec dignité et comme des participants à part entière de la société».

Faisant écho à ces sentiments, le cardinal Ayuso a précisé que la pandémie était un défi pour les personnes de toutes les religions, mais a ajouté que la foi a contribué à guider les communautés à travers la crise et les aiderait à se remettre.

«À la lumière de la pandémie d'aujourd'hui qui a poussé les gens à se confiner, le nombre de croyants dans les lieux de culte a diminué, mais je crois que leur foi s'est renforcée dans leur cœur», a déclaré Ayuso à Arab News.

«Certaines personnes se plaignent que la religion ne devrait pas être active dans la société, mais la religion n'est pas un problème; elle fait plutôt partie de la solution.»

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Rapport: Meta approuve les publicités politiques antimusulmanes en Inde

Les dépenses de campagne pour les élections indiennes – les plus importantes et les plus longues au monde – sont estimées à 16 milliards de dollars (1 dollar = 0,92 euro). (AFP)
Les dépenses de campagne pour les élections indiennes – les plus importantes et les plus longues au monde – sont estimées à 16 milliards de dollars (1 dollar = 0,92 euro). (AFP)
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  • L’enquête a révélé que Meta, la société mère de Facebook et Instagram, avait autorisé des publicités politiques manipulées par l’IA qui diffusaient de la désinformation
  • Les publicités, soumises à la bibliothèque publicitaire de Meta, contenaient des insultes envers les musulmans en Inde

LONDRES: Le géant de la technologie Meta a approuvé, sur ses plates-formes, des publicités politiques incitant à la violence et aux discours de haine lors des élections générales en Inde, a révélé un rapport publié lundi.

L’enquête, menée par l’organisation diasporique non sectaire India Civil Watch International et l’organisme de surveillance des entreprises Eko, a révélé que Meta, la société mère de Facebook et Instagram, avait autorisé des publicités politiques manipulées par l’IA qui diffusaient de la désinformation et incitaient à la violence religieuse, ciblant particulièrement les musulmans.

Le rapport révèle que le système de Meta n’a pas réussi à interdire une série de publicités incendiaires conçues pour imiter des scénarios réels, mises en ligne par ICWI et Eko.

Les publicités, soumises à la bibliothèque publicitaire de Meta, contenaient des insultes envers les musulmans en Inde, telles que «Brûlons cette vermine» et «Le sang hindou coule, ces envahisseurs doivent être brûlés».

Une autre publicité présentait un langage suprémaciste hindou et de fausses déclarations sur des dirigeants politiques, notamment un chef de l’opposition qui aurait voulu «effacer les Hindous de l’Inde» et aurait appelé à leur exécution.

Selon le rapport, toutes les publicités «ont été créées sur la base de véritables discours de haine et de désinformation qui prévalent en Inde, soulignant la capacité des réseaux sociaux à amplifier les récits préjudiciables existants».

Sur 22 publicités soumises en anglais, en hindi, en bengali, en gujarati et en kannada, 14 ont été approuvées par Meta, tandis que trois autres ont été approuvées après des ajustements mineurs qui n’ont pas modifié l’ensemble du message provocateur.

Seules cinq publicités ont été rejetées pour violation des standards de la communauté de Meta en matière de discours de haine et de violence.

Les publicités, qui ciblaient en grande partie les musulmans, ont été immédiatement supprimées après approbation par l’ICWI et Eko.

Les organisations ont accusé Meta de profiter des discours de haine et de ne pas avoir respecté son engagement d’empêcher la diffusion de contenus générés ou manipulés par l’IA sur ses plates-formes pendant les élections indiennes.

Les dépenses de campagne pour les élections indiennes – les plus importantes et les plus longues au monde – sont estimées à 16 milliards de dollars (1 dollar = 0,92 euro).

Le rapport affirme également que les publicités approuvées violaient les règles électorales indiennes, qui interdisent les contenus liés aux élections 48 heures avant le début du scrutin et pendant le vote.

Meta, qui exige une approbation de contrôle pour les comptes diffusant des publicités politiques, avait déjà fait face à une controverse lors des élections indiennes de cette année.

Un rapport précédent de l’ICWI et d’Eko a révélé que des comptes de substitution ou «fantômes» alignés sur des partis politiques payaient d’énormes sommes d’argent pour diffuser des publicités politiques non autorisées sur les plates-formes.

Certains comptes autorisés à diffuser des publicités politiques étaient même en vente dans des groupes publics Facebook comptant des dizaines de milliers de membres.

Nombre de ces publicités réelles approuvaient les tropes islamophobes et les propos suprémacistes hindous.

Le géant de la technologie lutte depuis des années contre la diffusion de contenus islamophobes sur ses plates-formes, suscitant des inquiétudes quant à la capacité de Meta à appliquer ses politiques et à contrôler la situation dans un contexte de montée du sentiment antimusulman en Inde.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

 


Les corps d'otages retrouvés à Gaza se trouvaient dans des tunnels 

Shani Louk, Amit Buskila et Itzhak Gelerenter ont été "pris en otage" et "brutalement assassinés" le 7 octobre par le Hamas en tentant de fuir le festival de musique Nova près de la bande de Gaza, tandis que Ron Benjamin, 53 ans, a été tué à l'intersection de Mefalsim, un kibboutz du sud d'Israël, d'où son corps a été emmené à Gaza, avait déclaré l'armée, la semaine dernière. (AFP).
Shani Louk, Amit Buskila et Itzhak Gelerenter ont été "pris en otage" et "brutalement assassinés" le 7 octobre par le Hamas en tentant de fuir le festival de musique Nova près de la bande de Gaza, tandis que Ron Benjamin, 53 ans, a été tué à l'intersection de Mefalsim, un kibboutz du sud d'Israël, d'où son corps a été emmené à Gaza, avait déclaré l'armée, la semaine dernière. (AFP).
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  • Les corps de Ron Benjamin, Shani Louk, Amit Buskila et Itzhak Gelerenter ont été rapatriés en Israël à l'issue d'une opération menée sur la base de renseignements obtenus lors d'interrogatoires
  • Les dépouilles ont été extraites "de tunnels souterrains à Jabalia dans le nord de Gaza", a précisé l'armée dans un communiqué tard lundi soir

JERUSALEM: L'armée israélienne a indiqué lundi que les corps de quatre otages retrouvés dans la bande de Gaza la semaine dernière se trouvaient dans des tunnels de Jabalia, où ont lieu des combats intenses ces derniers jours.

Les corps de Ron Benjamin, Shani Louk, Amit Buskila et Itzhak Gelerenter ont été rapatriés en Israël à l'issue d'une opération menée sur la base de renseignements obtenus lors d'interrogatoires, selon l'armée israélienne, qui a indiqué que ces quatre personnes ont été tuées lors de l'attaque menée par le Hamas le 7 octobre dans le sud d'Israël.

Les dépouilles ont été extraites "de tunnels souterrains à Jabalia dans le nord de Gaza", a précisé l'armée dans un communiqué tard lundi soir.

Les forces israéliennes ont inspecté un bâtiment suspect dans lequel se trouvait une entrée de tunnel, selon le communiqué.

"Les soldats sont ensuite entrés dans le tunnel souterrain lors d'une opération de nuit, et ont mené des combats à l'intérieur", ajoute l'armée.

Lors de cette opération, les soldats "ont localisé les corps d'otages et les ont extraits des tunnels", selon la même source.

Shani Louk, Amit Buskila et Itzhak Gelerenter ont été "pris en otage" et "brutalement assassinés" le 7 octobre par le Hamas en tentant de fuir le festival de musique Nova près de la bande de Gaza, tandis que Ron Benjamin, 53 ans, a été tué à l'intersection de Mefalsim, un kibboutz du sud d'Israël, d'où son corps a été emmené à Gaza, avait déclaré l'armée, la semaine dernière.

Sur les 252 personnes prises en otages le 7 octobre, 124 sont toujours détenues à Gaza, dont 37 sont mortes selon l'armée israélienne.

Plus de 360 personnes sont mortes au festival de musique électronique Nova, où des milliers de jeunes s'étaient réunis les 6 et 7 octobre, selon le décompte d'Israël, soit près du tiers des 1.170 personnes, majoritairement des civils, tuées lors de l'attaque du Hamas sur le sol israélien le 7 octobre, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes.

Israël, qui a juré de détruire le Hamas, a ensuite lancé une offensive dévastatrice dans la bande de Gaza qu'elle a assiégée, entraînant la mort d'au moins 35.562 personnes, pour la plupart des civils, selon des données lundi du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza dirigé par le Hamas.

L'armée a déclaré à l'AFP vendredi que les combats à Jabalia étaient "peut-être les plus acharnés" depuis octobre. Les affrontements ont repris dans le nord et le centre de la bande de Gaza, quand Israël a débuté son opération le 7 mai à Rafah, ville du sud du territoire, frontalière avec l'Egypte.


Lancement du programme des jeunes leaders de la diplomatie régionale entre l’Union Européenne et les pays du CCG

Membres du programme des jeunes leaders de la diplomatie régionale entre l’Union Européenne et les pays du CCG (Fournie)
Membres du programme des jeunes leaders de la diplomatie régionale entre l’Union Européenne et les pays du CCG (Fournie)
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  • Ce programme, le premier du genre, rentre dans le cadre de l’engagement permanent de l’UE à renforcer les contacts interpersonnels entre les pays du Conseil de coopération du Golfe et l'Union européenne.
  • Ce programme a permis aux diplomates du CCG de rencontrer de hauts fonctionnaires de l’UE, des représentants d'éminents groupes de réflexion européens.

RIYAD : l'Union Européenne a accueilli à Bruxelles et à Bruges, du 12 au 17 mai 2024, la première édition du programme « Les jeunes leaders de la diplomatie régionale » ou le « Young Leaders in Regional Diplomacy »

Coordonné par le bureau du représentant spécial de l'UE pour le Golfe, Luigi Di Maio, ce programme a été mis en œuvre avec le soutien du Service des instruments de politique étrangère de la Commission européenne.

Il a été lancé lors du forum de haut niveau du 22 avril 2024 à Luxembourg et a réuni pour la première fois les ministres des affaires étrangères de l'UE et du CCG dans le cadre d'un dialogue informel et franc sur la sécurité et la coopération régionales.

Ce programme, le premier du genre, rentre dans le cadre de l’engagement permanent de l’UE à renforcer les contacts interpersonnels entre les pays du Conseil de coopération du Golfe et l'Union européenne a coïncidé avec le deuxième anniversaire de la communication conjointe de l'UE sur un partenariat stratégique avec le Golfe, publiée en mai 2022, et les conclusions du Conseil du 20 juin 2022 qui s'y rapportent. 

Cette communication conjointe définit la vision des relations UE-Golfe et vise à élargir, à approfondir la coopération de l'UE avec le Conseil de coopération du Golfe et ses États membres Elle présente des propositions concrètes pour renforcer la coopération en matière d'énergie, de transition écologique et de changement climatique, de commerce et de diversification économique, de stabilité régionale et de sécurité mondiale, de défis humanitaires et de développement, et de contacts plus étroits entre les peuples. 

La première édition du programme « Les jeunes leaders de la diplomatie régionale » a réuni 14 jeunes diplomates des États membres du Conseil de coopération du Golfe, ainsi que le Secrétariat général du CCG, y compris deux diplomates du ministère des affaires étrangères de l'Arabie saoudite, avec leurs jeunes collègues diplomates européens à l'Académie diplomatique européenne au Collège d'Europe à Bruges.

M. Luigi Di Maio, représentant spécial de l'UE pour la région du Golfe a déclaré à cette occasion: " Je crois fermement à l'effet magique de ces rencontres et à l'énergie positive de nos jeunes pour construire des liens qui durent, pour mieux comprendre les sensibilités respectives, pour s'écouter et se respecter. C'est un grand investissement dans notre diplomatie, notre sécurité et notre prospérité communes ». 

Ce programme a permis aux diplomates du CCG de rencontrer de hauts fonctionnaires de l’UE, des représentants d'éminents groupes de réflexion européens. Ils ont échangé leurs points de vue avec leurs jeunes collègues diplomates, sur des domaines stratégiques d'intérêt commun et des priorités à prendre en compte pour l'avenir des relations bilatérales et régionales. Ils ont eu aussi l’opportunité de se familiariser avec les principes et le fonctionnement de l'UE et de son service.