Comment l’Initiative verte saoudienne pourrait révolutionner le monde

Des ouvriers plantent des arbres à proximité d’une autoroute dans la capitale saoudienne, Riyad. (Getty)
Des ouvriers plantent des arbres à proximité d’une autoroute dans la capitale saoudienne, Riyad. (Getty)
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Publié le Jeudi 21 octobre 2021

Comment l’Initiative verte saoudienne pourrait révolutionner le monde

Des ouvriers plantent des arbres à proximité d’une autoroute dans la capitale saoudienne, Riyad. (Getty)
  • «Nous rejetons le faux choix entre la préservation de l’économie et la protection de l’environnement», affirme le prince héritier, Mohammed ben Salmane
  • Le forum de l’Initiative verte saoudienne générera sans aucun doute plus d’idées, une plus grande prise de conscience et des solutions pratiques pour un avenir durable en Arabie saoudite et dans le monde

Depuis le début du siècle dernier, l’image et la fortune de l’Arabie saoudite sont inextricablement liées à un seul élément. La découverte et l’exploitation du pétrole ont bouleversé le mode de vie en Arabie saoudite et placé le pays au premier plan de l’économie mondiale basée sur le pétrole. 

Mais les temps ont changé au cours des deux dernières décennies. Le pétrole et ses dérivés, comme le plastique et les produits pétrochimiques, font partie des principales causes du réchauffement climatique, de la pollution et de la catastrophe écologique. En Arabie saoudite, la pollution de l’air due aux gaz à effet de serre réduit d’un an et demi l’espérance de vie, tandis que la désertification et les tempêtes de sable provoquent des dégâts estimés à treize milliards de dollars (1 dollar = 0,86 euro) chaque année. 

Ce sombre tableau est un signal d’alarme qui entraîne un changement radical à travers le monde: celui de s’éloigner de l’énergie à base de carbone et de l’hyperconsommation pour se diriger vers un mode de vie plus sain et plus durable. 

Chef de file en matière d’énergie depuis des décennies, le royaume d’Arabie saoudite se place désormais à l’avant-garde de l’action environnementale. Cet effort s’inscrit dans le cadre de l’Initiative verte saoudienne (SGI) – un programme national visant à lutter contre la pollution et la dégradation des sols, accroître le couvert végétal, réduire les émissions de carbone et préserver la vie marine. 

«Le Royaume reconnaît pleinement sa part de responsabilité dans la lutte contre la crise climatique. Tout comme le Royaume a soutenu les marchés de l’énergie à l’époque du pétrole et du gaz, il est sur le point de devenir un leader mondial dans la promotion d’un monde plus vert», déclare le prince héritier, Mohammed ben Salmane, responsable de la SGI. 

Après avoir introduit le concept d’économie circulaire à faibles émissions de carbone (un système en circuit fermé impliquant les «4R»: réduire, réutiliser, recycler et revaloriser) lors de sa présidence du sommet du Groupe des vingt (G20) l’année dernière, l’Arabie saoudite joue à nouveau un rôle de chef de file en accueillant le prochain forum de la SGI, qui se tiendra à Riyad les 23 et 24 novembre. 

Le forum permettra, selon ses propres termes, «de catalyser l’action climatique de manière coordonnée tant au niveau régional qu’international, de réunir des chefs d’État, des fonctionnaires, des chefs d’entreprise, des universitaires pionniers en la matière et des spécialistes de l’environnement ainsi que de stimuler l’action tout en mettant en place des solutions innovantes pour lutter contre le réchauffement climatique». 

L’événement permettra de définir une feuille de route qui vise à mobiliser la région du Golfe et à contribuer aux objectifs mondiaux consentis, en faisant face au réchauffement climatique, en augmentant l’utilisation d’énergies propres, en compensant l’impact des effets des combustibles fossiles et en protégeant l’environnement. 

La SGI est extrêmement ambitieuse. Dix milliards d’arbres doivent être plantés dans le Royaume au cours de la prochaine décennie, tout en réhabilitant quelque 40 millions d’hectares de terres dégradées et en multipliant par douze le couvert arboré actuel. Cela équivaut à 4 % de l’initiative mondiale visant à limiter la dégradation des sols et à 1 % de l’objectif qui consiste à planter mille milliards d’arbres dans le monde. 

Le pourcentage d’aires protégées en Arabie saoudite atteindra plus de 30 % de la superficie totale – près de 600 000 kilomètres carrés – dépassant l’objectif mondial de 17 %. Les émissions de carbone seront réduites de 130 millions de tonnes grâce à un plan visant à générer 50 % de l’énergie du Royaume à partir d’énergies renouvelables d’ici à 2030; et les décharges – où 95 % des déchets sont actuellement déposés – ne représenteront plus que 5 % des déchets. 

En réalité, la notion même de «déchets» fera partie d’une époque révolue, puisque chaque forme de déchet devient la matière première d’un produit à valeur ajoutée ou d’une source d'énergie – un élément phare du concept d’économie circulaire à faibles émissions de carbone. 

La SGI travaillera de concert avec l’Initiative verte du Moyen-Orient vert qui comprend tous les États du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ainsi que d’autres pays de la région. L’objectif global est de planter 50 milliards d’arbres à travers le Moyen-Orient. Il s’agit du plus grand programme de reboisement au monde qui consiste à restaurer 200 millions d’hectares de terres dégradées. Les émissions de carbone de la région devraient être réduites de plus de 60 %, soit plus de 10 % de la réduction prévue à l’échelle mondiale. 

Il est évident que la SGI a déjà des répercussions culturelles importantes, étant donné que les citoyens saoudiens sont habitués à mener une vie confortable dans laquelle les grosses voitures et les produits jetables occupent une place primordiale. 

«Je pense que la SGI inaugurera une nouvelle ère pour l’humanité», déclare à Arab News Ziyad al-Shiha, directeur général de la Saudi Investment Recycling Company, une agence de premier plan dans le domaine de l’économie circulaire à faibles émissions de carbone. 

«Nous sommes actuellement à un tournant et cela fait partie d’un changement majeur dans l’économie mondiale. Nous investissons sur le terrain, en travaillant avec des PME et des particuliers pour contribuer à l’économie circulaire à faibles émissions de carbone.» 

L’écologisation de l'Arabie saoudite entraînera des changements dans la vie quotidienne des gens ordinaires et favorisera un état d’esprit entièrement nouveau. Ce seront les jeunes, en particulier, qui suivront une nouvelle voie, loin des habitudes des dernières décennies. 

«La SGI est une initiative de notre gouvernement pour garantir un avenir plus vert en Arabie saoudite et au Moyen-Orient», affirme Fatimah Ahmad, une jeune traductrice professionnelle saoudienne, à Arab News

Elle ajoute: «L’Arabie saoudite prend l’initiative pour préserver l’avenir de la crise du réchauffement climatique. C’est l’un des projets de Vision 2030 qui me passionne personnellement. C’est un rêve ambitieux et fou et je suis sûr qu’il se réalisera très prochainement.» 

Les plus cyniques pourraient dire que le déclin de l’ère pétrolière et la transition mondiale vers un mode de vie plus vert auront un effet néfaste sur l’économie et le niveau de vie en Arabie saoudite. 

Cependant, le prince héritier, Mohammed ben Salmane, a une vision plus positive. «Nous rejetons le faux choix entre la préservation de l’économie et la protection de l’environnement», avait-il déclaré lors du lancement de la SGI en mars. 

Il poursuit: «L’action pour le climat améliorera la compétitivité, stimulera l’innovation et permettra de créer des millions d’emplois de qualité. Les jeunes, tant dans le Royaume qu’à travers le monde, exigent un avenir plus propre, plus vert et plus inclusif. Nous leur devons d’y parvenir.» 

Le forum de la SGI générera sans aucun doute plus d’idées, une plus grande prise de conscience et des solutions pratiques pour un avenir durable en Arabie saoudite et dans le monde. 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Autrefois prospère, Hong Kong peine aujourd'hui à combler ses déficits publics

Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
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  • Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années.
  • Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

HONG-KONG : Malgré sa traditionnelle réputation d'opulent centre financier, Hong Kong se retrouve confrontée à une situation budgétaire la plus difficile en trois décennies, avec des déficits difficiles à juguler alors que l'économie vacille.

Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années, sans toutefois atteindre les 252 milliards de dollars hongkongais (30,9 milliards d'euros) de l'exercice fiscal 2020-2021, en pleine pandémie de Covid-19.

La dernière série de déficits à Hong Kong remontait à la période post-crise financière asiatique de la fin des années 1990.

Avant de dévoiler son prochain budget mercredi, Paul Chan, le secrétaire aux Finances de la région administrative spéciale (RAS) de Chine, a déclaré être convaincu que Hong Kong renouera avec les excédents d'ici environ trois ans, à mesure que les dépenses publiques se stabiliseront.

Mais pour Anthony Cheung, ancien secrétaire aux Transports et au Logement, la situation n'est « pas seulement due aux cycles économiques » provoqués par la pandémie de Covid-19 : « Si l'on compare Hong Kong à d'autres économies de la région, comme Singapour, ces dernières s'en sortent beaucoup mieux. »

Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

- Crise foncière -

Victime de la crise qui touche ses promoteurs immobiliers, Hong Kong se retrouve face à une équation délicate pour réduire ses dépenses, alors que la Chine, dont la croissance ralentit, est confrontée à des tensions commerciales croissantes avec les États-Unis de Donald Trump.

La Loi fondamentale de Hong Kong, qui fait office de Constitution, impose au gouvernement local de « s'efforcer d'atteindre l'équilibre budgétaire », vestige de la période coloniale britannique durant laquelle le marché a pu rester pratiquement à l'abri de l'intervention de l'État.

Après sa rétrocession à la Chine en 1997, Hong Kong a continué à maintenir les impôts à un faible niveau et a rempli ses caisses grâce aux recettes foncières.

Cependant, les promoteurs immobiliers rencontrent des difficultés depuis plusieurs années et Hong Kong n'a perçu que 2,4 milliards d'euros de recettes foncières en 2021, contre un pic de plus de 20 milliards en 2018.

Selon Yang Liu, professeur associé de finance à l'université de Hong Kong, ce déclin représente « la majorité de la baisse des revenus » de la ville. « Nous avons un marché foncier très inactif et des prix de l'immobilier en baisse », souligne-t-il auprès de l'AFP.

Hong Kong dispose encore d'une bonne quantité de réserves et sa dette publique reste faible par rapport à la plupart des économies du monde, ce qui lui permet d'emprunter facilement sur les marchés.

- Moins de fonctionnaires ? -

Mais les déficits accumulés ces dernières années ont alimenté le débat sur la manière de dépenser moins.

Le budget que doit dévoiler le secrétaire aux Finances devrait afficher un déficit inférieur à 100 milliards de dollars de Hong Kong (12,25 milliards d'euros).

Edmund Wong, membre du Conseil législatif de Hong Kong, a mis en garde contre une baisse des salaires des fonctionnaires, qui, selon lui, pourrait inciter les employeurs du secteur privé à faire de même.

Il a néanmoins exhorté le gouvernement à réduire ses dépenses, estimant auprès de l'AFP que des coupes « considérables » dans les effectifs de fonctionnaires sont possibles « à long terme ».

Les autorités ont indiqué qu'elles poursuivraient un plan massif d'infrastructures dans le nord de Hong Kong, mais ont renoncé à un autre projet de création d'îles artificielles.

Les déficits pourraient également amener Hong Kong à reconsidérer ses sources de revenus, bien que les discussions passées concernant l'élargissement de la taxation des biens et services n'aient pas abouti.

Pour dynamiser son économie, Hong Kong cherche des opportunités dans la région du Moyen-Orient et d'Asie du Sud-Est.

Mais selon l'ex-ministre Cheung, la richesse du territoire dépend du regard que les investisseurs portent sur son statut de plaque tournante de l'économie régionale et mondiale.

La réputation internationale de Hong Kong a souffert de la répression des manifestations pro-démocratie en 2019 par Pékin, qui a imposé une loi sur la sécurité nationale l'année suivante.

« Nous devons continuer à présenter Hong Kong comme une ville qui accueille toutes sortes de points de vue et de personnes, tant qu'elles restent dans les limites de la législation sur la sécurité nationale », plaide M. Cheung. 


Trump renforce les restrictions sur les investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
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  • Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine »
  • Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

WASHINGTON : Donald Trump a signé un mémo visant à freiner les investissements chinois dans des secteurs stratégiques américains, dont la technologie et les infrastructures critiques, une initiative fermement dénoncée samedi par Pékin qui la juge « discriminatoire ».

Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine », a précisé vendredi soir la Maison-Blanche sur son site.

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ».

La Maison-Blanche accuse également « certains adversaires étrangers », dont la Chine, d'investir dans des entreprises américaines afin « d'obtenir des technologies de pointe et de la propriété intellectuelle ».

Le nouvel exécutif américain compte solliciter la Commission aux investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS) afin « de restreindre les investissements chinois dans les secteurs stratégiques américains tels que la technologie, les infrastructures critiques, la santé, l'agriculture, l'énergie, les matières premières et autres », ajoute la Maison-Blanche.

Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

« Cette façon de faire des États-Unis élargit abusivement le concept de sécurité nationale, est discriminatoire et portera gravement atteinte à la confiance des entreprises chinoises désirant investir aux États-Unis », a dénoncé samedi un porte-parole du ministère chinois du Commerce.

Dans un communiqué, il a exhorté Washington à « respecter les lois de l'économie de marché et à cesser de politiser et d'instrumentaliser les questions économiques et commerciales ».

« La Chine suivra de près l'évolution de la situation aux États-Unis et prendra les mesures nécessaires pour défendre ses droits et intérêts légitimes », a-t-il conclu.

Cette décision du président américain intervient alors que les deux plus grandes économies du monde sont déjà en proie à des tensions commerciales.

Début février, Donald Trump a imposé 10 % de droits de douane supplémentaires, en plus de ceux déjà existants, sur les produits en provenance de Chine. Toutefois, il a estimé mercredi qu'un accord commercial avec Pékin était « possible ».


Lucid dévoile le Lucid Air Sapphire unique en son genre lors de la réunion de la Saudi Cup

Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
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  • ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. » a déclaré Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East.
  • Le véhicule sera offert au vainqueur de la Coupe d'Arabie saoudite.

RIYADH : Lucid a dévoilé sa Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, exclusivement conçue et construite pour le vainqueur de la course la plus lucrative du monde, la Saudi Cup 2025.

Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East, a déclaré : « Présenté comme une récompense spéciale au vainqueur de la Saudi Cup, ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. »

Lors de son discours, qui a eu lieu le premier jour de la Saudi Cup à l'hippodrome King Abdulaziz de Riyad, M. Sultan a ajouté : « J'ai également le privilège de présenter une création qui illustre l'apogée de ce que Lucid peut réaliser : Le premier Lucid Air Sapphire unique au monde ».

Le véhicule est doté d'une finition lavande, d'un système à trois moteurs et d'une dynamique de conduite offrant une puissance de 1 234 chevaux, ainsi que des freins en carbone-céramique.

M. Sultan a déclaré que le dévoilement de ce véhicule était le résultat du partenariat entre Lucid et la Saudi Cup.

Le vainqueur de la course de la Saudi Cup, qui aura lieu le 22 février, recevra 20 millions de dollars, ainsi que le véhicule.

M. Sultan a également dévoilé le dernier modèle de Lucid, le Lucid Gravity SUV, et a ajouté : « Les débuts du Lucid Gravity SUV à la Saudi Cup reflètent la vision commune de Lucid et son soutien à la vision audacieuse du Royaume pour l'avenir.

« Il est particulièrement approprié que ce véhicule révolutionnaire soit maintenant disponible dans ce pays, une nation qui se tient à la pointe de l'innovation et de la durabilité grâce à la Vision 2030. »

La Saudi Cup est un événement équestre de deux jours qui réunit certains des meilleurs jockeys du monde sur l'hippodrome King Abdulaziz, dont la cagnotte s'élève à plus de 38 millions de dollars.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com