Wa'ed, filiale d'Aramco, double son financement des start-up d'ici à 2023

Au cœur de la pandémie, Wa'ed a triplé le montant des prêts qu’elle octroie aux start-up du Royaume dans le cadre de ses services de soutien au secteur des PME. Photo fournie.
Au cœur de la pandémie, Wa'ed a triplé le montant des prêts qu’elle octroie aux start-up du Royaume dans le cadre de ses services de soutien au secteur des PME. Photo fournie.
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Publié le Lundi 19 juillet 2021

Wa'ed, filiale d'Aramco, double son financement des start-up d'ici à 2023

  • Au cœur de la pandémie, Wa'ed a triplé le montant des prêts qu’elle octroie aux start-up du Royaume dans le cadre de ses services de soutien au secteur des PME
  • Wa'ed a lancé le mois dernier une première tournée afin de financer la prochaine génération d'entrepreneurs saoudiens à hauteur de 100 millions riyals saoudiens (SAR)

DJEDDAH: Soutenir les entrepreneurs locaux fait partie des principaux objectifs du programme Vision 2030 en Arabie saoudite. C’est pourquoi le gouvernement compte porter la contribution des petites et moyennes entreprises (PME) au produit intérieur brut (PIB) à 35% d'ici à 2030, contre 20% en 2016.

Parmi les organisations qui œuvrent pour cet objectif figure Saudi Aramco Entrepreneurship Center (Wa'ed), une filiale de la plus grande compagnie pétrolière au monde.

Créée en 2011, Wa'ed a à ce jour accordé des aides – qu’il s’agisse de prêts ou investissements en capital-risque – à près de quatre-vingt-dix entreprises. Un nombre qui pourrait doubler d'ici à 2023, d’autant plus qu’une vingtaine de transactions sont prévues en 2021.

L'année dernière, au cœur de la pandémie, Wa'ed a triplé le montant des prêts qu’elle octroie aux start-up du Royaume dans le cadre de ses services de soutien au secteur des PME. Mais Wassim Basraoui, directeur général de cette filiale, a décidé d’améliorer encore cette offre.

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Wassim Basraoui, directeur général de cette filiale, a décidé d’améliorer encore cette offre. Photo fournie.

«Nous avons l’honneur d’être mandatés pour soutenir l'entrepreneuriat dans le Royaume. C'est généralement dans une période de détresse que vous avez le plus besoin de [ce secteur], lorsque les emplois et les opportunités sont rares», explique-t-il à Arab News. «Les parties prenantes et les décideurs ont augmenté les cibles. Ils estiment que ce que nous avons fait en 2020 n'est pas suffisant», ajoute-t-il.

Wa’ed investit souvent dans des entreprises qui ont identifié un manque sur le marché local: par exemple, dernièrement, une start-up de cartographie numérique, une application de sport et de fitness, une plate-forme logicielle linguistique à destination des professeurs chargés d'étudiants handicapés, une entreprise de technologie agricole, un système de gestion du trafic rattaché à une intelligence artificielle ainsi qu’un opérateur de drone.

Basraoui donne la priorité aux idées commerciales qui ont le potentiel pour se développer. «Plus l'écart est grand, plus l'impact est considérable», estime-t-il.

Le directeur général observe que le taux de réussite est élevé pour les entreprises dans lesquelles Wa'ed a investi (83% en moyenne) – taux que l’organisme compte bien maintenir.

L’ensemble du secteur a progressé. Selon le rapport Global Entrepreneurship Monitor de cette année, l'activité entrepreneuriale totale en Arabie saoudite a augmenté de 24% en 2020 par rapport à 2019.

Le rapport indique en outre que plus de 90% des adultes considèrent l'entrepreneuriat comme un choix de carrière favorable. Par ailleurs, un tiers des Saoudiens interrogés affirment qu’ils comptent créer leur entreprise dans les trois prochaines années.

Focus

  • L'activité entrepreneuriale globale en Arabie saoudite a augmenté de 24% en 2020 par rapport à 2019.
  • Wa'ed a lancé le mois dernier une première tournée afin de financer la prochaine génération d'entrepreneurs saoudiens à hauteur de 100 millions riyals saoudiens (SAR), soit 22,59 millions d’euros.
  • L'Arabie saoudite a enregistré une hausse de 35% du nombre d'investissement dans le secteur des start-up technologiques en 2020 par rapport à l'année précédente.

«L'environnement de l'entrepreneuriat en Arabie saoudite se développe à une grande vitesse, au point qu’il faut s’accrocher à son siège: c’est une croissance exponentielle», affirme Basraoui. «Je crois que ce que nous allons voir l'année prochaine sera différent de ce que nous avons constaté l'année dernière. [L’évolution] est tellement rapide qu’elle ne saurait être comparée aux dix dernières années, et c’est peu dire», poursuit-il.

Wa'ed a lancé le mois dernier une première tournée afin de financer la prochaine génération d'entrepreneurs saoudiens à hauteur de 100 millions de riyals saoudiens (SAR), soit 22,59 millions d’euros.

Ce financement comprend des prêts et des investissements en capital-risque. Il a pour objectif de soutenir les idées de demain grâce à des événements qui auront lieu dans six villes saoudiennes entre les mois de septembre et de décembre.

«Nous sommes le seul organisme au monde à proposer une gamme de services de A à Z. Elle intervient avant, pendant et après le soutien à l'investissement. Les offres de services complètes augmentent les chances de réussite», explique Basraoui.

Le financement fait partie des défis souvent mentionnés par les PME pour expliquer l’absence de succès. Avec Vision 2030, le gouvernement souhaite augmenter le montant du financement que les institutions financières allouent aux PME à 20% en moins de dix ans contre5% actuellement.

Basraoui estime que les progrès de la technologie financière dans le Royaume ont déjà contribué à résoudre ce problème et que de nouvelles sources et formes de financement sont disponibles.

«L'une de nos entreprises incubées, et qui n’était même pas prête pour le capital-risque, a obtenu un investissement en capital de 3 millions de SAR (soit 680 000 euros) via une source de financement participatif au Royaume. Les technologies apportent un changement considérable dans notre existence […], dans l’amélioration de nos vies, de nos propres revenus et ceux de nos familles», confie-t-il.

L'Arabie saoudite a enregistré une hausse de 35% du nombre d'investissement dans le secteur des start-up technologiques en 2020 par rapport à l'année précédente.

La valeur des accords a grimpé de 55% par rapport à 2020 pour atteindre 152 millions de dollars (1 dollar = 0,85 euro) selon une étude réalisée au mois de janvier par la plate-forme de recherche de données Magnit.

Wa'ed est un mot arabe qui signifie «promesse». Et Basraoui espère que la prochaine tournée incitera les jeunes Saoudiens à se lancer dans l'entrepreneuriat.

«Les entrepreneurs vont faire la différence», lance-il.

 

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Autrefois prospère, Hong Kong peine aujourd'hui à combler ses déficits publics

Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
Cette photo prise le 21 février 2025 montre une vue aérienne d'immeubles d'habitation dans le quartier de Kai Tak à Hong Kong. Hong Kong est confronté à son test fiscal le plus difficile depuis trois décennies, après trois années de déficits colossaux, et les experts exhortent le gouvernement à procéder à des coupes prudentes alors que l'économie vacille. (Photo par Peter PARKS / AFP)
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  • Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années.
  • Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

HONG-KONG : Malgré sa traditionnelle réputation d'opulent centre financier, Hong Kong se retrouve confrontée à une situation budgétaire la plus difficile en trois décennies, avec des déficits difficiles à juguler alors que l'économie vacille.

Le territoire chinois, connu pour sa fiscalité avantageuse, a enregistré une série de déficits annuels de plus de 15 milliards d'euros sur trois des quatre dernières années, sans toutefois atteindre les 252 milliards de dollars hongkongais (30,9 milliards d'euros) de l'exercice fiscal 2020-2021, en pleine pandémie de Covid-19.

La dernière série de déficits à Hong Kong remontait à la période post-crise financière asiatique de la fin des années 1990.

Avant de dévoiler son prochain budget mercredi, Paul Chan, le secrétaire aux Finances de la région administrative spéciale (RAS) de Chine, a déclaré être convaincu que Hong Kong renouera avec les excédents d'ici environ trois ans, à mesure que les dépenses publiques se stabiliseront.

Mais pour Anthony Cheung, ancien secrétaire aux Transports et au Logement, la situation n'est « pas seulement due aux cycles économiques » provoqués par la pandémie de Covid-19 : « Si l'on compare Hong Kong à d'autres économies de la région, comme Singapour, ces dernières s'en sortent beaucoup mieux. »

Singapour et Hong Kong ont toutes deux connu d'importants déficits en 2020. Mais contrairement au territoire chinois, la cité-État a depuis lors maîtrisé ses dépenses et dépassé ses objectifs budgétaires.

- Crise foncière -

Victime de la crise qui touche ses promoteurs immobiliers, Hong Kong se retrouve face à une équation délicate pour réduire ses dépenses, alors que la Chine, dont la croissance ralentit, est confrontée à des tensions commerciales croissantes avec les États-Unis de Donald Trump.

La Loi fondamentale de Hong Kong, qui fait office de Constitution, impose au gouvernement local de « s'efforcer d'atteindre l'équilibre budgétaire », vestige de la période coloniale britannique durant laquelle le marché a pu rester pratiquement à l'abri de l'intervention de l'État.

Après sa rétrocession à la Chine en 1997, Hong Kong a continué à maintenir les impôts à un faible niveau et a rempli ses caisses grâce aux recettes foncières.

Cependant, les promoteurs immobiliers rencontrent des difficultés depuis plusieurs années et Hong Kong n'a perçu que 2,4 milliards d'euros de recettes foncières en 2021, contre un pic de plus de 20 milliards en 2018.

Selon Yang Liu, professeur associé de finance à l'université de Hong Kong, ce déclin représente « la majorité de la baisse des revenus » de la ville. « Nous avons un marché foncier très inactif et des prix de l'immobilier en baisse », souligne-t-il auprès de l'AFP.

Hong Kong dispose encore d'une bonne quantité de réserves et sa dette publique reste faible par rapport à la plupart des économies du monde, ce qui lui permet d'emprunter facilement sur les marchés.

- Moins de fonctionnaires ? -

Mais les déficits accumulés ces dernières années ont alimenté le débat sur la manière de dépenser moins.

Le budget que doit dévoiler le secrétaire aux Finances devrait afficher un déficit inférieur à 100 milliards de dollars de Hong Kong (12,25 milliards d'euros).

Edmund Wong, membre du Conseil législatif de Hong Kong, a mis en garde contre une baisse des salaires des fonctionnaires, qui, selon lui, pourrait inciter les employeurs du secteur privé à faire de même.

Il a néanmoins exhorté le gouvernement à réduire ses dépenses, estimant auprès de l'AFP que des coupes « considérables » dans les effectifs de fonctionnaires sont possibles « à long terme ».

Les autorités ont indiqué qu'elles poursuivraient un plan massif d'infrastructures dans le nord de Hong Kong, mais ont renoncé à un autre projet de création d'îles artificielles.

Les déficits pourraient également amener Hong Kong à reconsidérer ses sources de revenus, bien que les discussions passées concernant l'élargissement de la taxation des biens et services n'aient pas abouti.

Pour dynamiser son économie, Hong Kong cherche des opportunités dans la région du Moyen-Orient et d'Asie du Sud-Est.

Mais selon l'ex-ministre Cheung, la richesse du territoire dépend du regard que les investisseurs portent sur son statut de plaque tournante de l'économie régionale et mondiale.

La réputation internationale de Hong Kong a souffert de la répression des manifestations pro-démocratie en 2019 par Pékin, qui a imposé une loi sur la sécurité nationale l'année suivante.

« Nous devons continuer à présenter Hong Kong comme une ville qui accueille toutes sortes de points de vue et de personnes, tant qu'elles restent dans les limites de la législation sur la sécurité nationale », plaide M. Cheung. 


Trump renforce les restrictions sur les investissements chinois dans des secteurs jugés stratégiques

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ». (Photo AFP)
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  • Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine »
  • Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

WASHINGTON : Donald Trump a signé un mémo visant à freiner les investissements chinois dans des secteurs stratégiques américains, dont la technologie et les infrastructures critiques, une initiative fermement dénoncée samedi par Pékin qui la juge « discriminatoire ».

Ce mémo a pour objectif « de promouvoir les investissements étrangers tout en protégeant les intérêts de la sécurité nationale des États-Unis, en particulier contre les menaces posées par des adversaires étrangers tels que la Chine », a précisé vendredi soir la Maison-Blanche sur son site.

L'administration américaine accuse Pékin d'« exploiter de plus en plus les ressources américaines pour développer et moderniser ses dispositifs militaires, de renseignement et autres appareils de sécurité ».

La Maison-Blanche accuse également « certains adversaires étrangers », dont la Chine, d'investir dans des entreprises américaines afin « d'obtenir des technologies de pointe et de la propriété intellectuelle ».

Le nouvel exécutif américain compte solliciter la Commission aux investissements étrangers aux États-Unis (CFIUS) afin « de restreindre les investissements chinois dans les secteurs stratégiques américains tels que la technologie, les infrastructures critiques, la santé, l'agriculture, l'énergie, les matières premières et autres », ajoute la Maison-Blanche.

Le CFIUS est un panel chargé d'évaluer les conséquences pour la sécurité nationale des États-Unis des rachats d'entreprises américaines par des groupes étrangers.

« Cette façon de faire des États-Unis élargit abusivement le concept de sécurité nationale, est discriminatoire et portera gravement atteinte à la confiance des entreprises chinoises désirant investir aux États-Unis », a dénoncé samedi un porte-parole du ministère chinois du Commerce.

Dans un communiqué, il a exhorté Washington à « respecter les lois de l'économie de marché et à cesser de politiser et d'instrumentaliser les questions économiques et commerciales ».

« La Chine suivra de près l'évolution de la situation aux États-Unis et prendra les mesures nécessaires pour défendre ses droits et intérêts légitimes », a-t-il conclu.

Cette décision du président américain intervient alors que les deux plus grandes économies du monde sont déjà en proie à des tensions commerciales.

Début février, Donald Trump a imposé 10 % de droits de douane supplémentaires, en plus de ceux déjà existants, sur les produits en provenance de Chine. Toutefois, il a estimé mercredi qu'un accord commercial avec Pékin était « possible ».


Lucid dévoile le Lucid Air Sapphire unique en son genre lors de la réunion de la Saudi Cup

Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
Lucid a dévoilé son Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, conçu et fabriqué exclusivement pour le vainqueur de la course la plus riche du monde, la Saudi Cup 2025. (AN Photo/Huda Bashatah)
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  • ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. » a déclaré Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East.
  • Le véhicule sera offert au vainqueur de la Coupe d'Arabie saoudite.

RIYADH : Lucid a dévoilé sa Lucid Air Sapphire lavande unique en son genre, exclusivement conçue et construite pour le vainqueur de la course la plus lucrative du monde, la Saudi Cup 2025.

Faisal Sultan, vice-président de Lucid Middle East, a déclaré : « Présenté comme une récompense spéciale au vainqueur de la Saudi Cup, ce véhicule exclusif est plus qu'un simple symbole de triomphe ; il représente une célébration du leadership du Royaume en matière de durabilité, d'innovation et d'excellence mondiale. »

Lors de son discours, qui a eu lieu le premier jour de la Saudi Cup à l'hippodrome King Abdulaziz de Riyad, M. Sultan a ajouté : « J'ai également le privilège de présenter une création qui illustre l'apogée de ce que Lucid peut réaliser : Le premier Lucid Air Sapphire unique au monde ».

Le véhicule est doté d'une finition lavande, d'un système à trois moteurs et d'une dynamique de conduite offrant une puissance de 1 234 chevaux, ainsi que des freins en carbone-céramique.

M. Sultan a déclaré que le dévoilement de ce véhicule était le résultat du partenariat entre Lucid et la Saudi Cup.

Le vainqueur de la course de la Saudi Cup, qui aura lieu le 22 février, recevra 20 millions de dollars, ainsi que le véhicule.

M. Sultan a également dévoilé le dernier modèle de Lucid, le Lucid Gravity SUV, et a ajouté : « Les débuts du Lucid Gravity SUV à la Saudi Cup reflètent la vision commune de Lucid et son soutien à la vision audacieuse du Royaume pour l'avenir.

« Il est particulièrement approprié que ce véhicule révolutionnaire soit maintenant disponible dans ce pays, une nation qui se tient à la pointe de l'innovation et de la durabilité grâce à la Vision 2030. »

La Saudi Cup est un événement équestre de deux jours qui réunit certains des meilleurs jockeys du monde sur l'hippodrome King Abdulaziz, dont la cagnotte s'élève à plus de 38 millions de dollars.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com