La police du Capitole disposait d'informations l'avertissant que des partisans du président sortant Donald Trump, qui croyaient ses accusations de fraudes électorales à la présidentielle de novembre, représentaient une menace
Trois jours avant l'attaque, elle a reçu un bulletin de renseignement évaluant les risques de violences de la part des partisans de Donald Trump