Un couvre-feu nocturne et la présence d'une force de maintien de la paix d'environ 150 soldats et policiers venus d'Australie et de Papouasie-Nouvelle-Guinée, venus seconder la police locale, semblent avoir calmé les troubles
A l'angle d'une rue du quartier chinois, épicentre des incendies et pillages, des étudiants, armés de râteaux et de pelles s'attelaient à nettoyer une route
Sébastien Lecornu a expliqué que «la question de l'autonomie» a été posée, "en creux", par les élus locaux eux-mêmes lors des discussions avec le gouvernement pour tenter de trouver une porte de sortie à la mobilisation
Ses propos ont provoqué une volée immédiate de critiques à droite et au RN
A La Haye, plusieurs policiers en tenue anti-émeute ont chargé des groupes de manifestants qui leur jetaient des pierres et des objets divers dans un quartier populaire
Les manifestations contre les restrictions sanitaires ont de nouveau tourné à l'émeute samedi soir aux Pays-Bas, notamment à La Haye où cinq policiers ont été blessés, au lendemain de violences à Rotterdam où 51 personnes ont été arrêtées
Les incidents ont éclaté lors d'une manifestation contre les restrictions sanitaires et les plans du gouvernement de restreindre l'accès des personnes non-vaccinées à certains sites
Plusieurs dizaines de personnes ont été arrêtées et au moins sept personnes ont été blessées, dont des policiers, lors d'un déchaînement de violence nocturne dans l'une des principales rues commerçantes de Rotterdam
Téhéran a entièrement coupé Internet en novembre 2019, lors de manifestations contre les prix de l'essence
«Nous soutenons les droits des Iraniens à se réunir et à s'exprimer pacifiquement (...) sans crainte de violence, ni crainte de détention arbitraire par les forces de sécurité», a assuré Price
Ce drame intervient au moment où des manifestations secouent depuis la semaine dernière cette province du sud-ouest de l'Iran frappée par une pénurie d'eau
«Lors des émeutes mardi soir à Talaqani (un quartier de la ville portuaire de Mahshahr, NDLR), des officiers (...) se sont fait tirer dessus depuis un toit», selon Fereydoun Bandari, gouverneur par intérim du comté cité par Irna
Englué dans de multiples scandales et accusations de corruption, l'ancien chef d'Etat est jugé dans une affaire de pots-de-vin vieille de plus de 20 ans
Les violences avaient commencé le 9 juillet dans son bastion du Kwazulu-Natal (Est), au lendemain de son incarcération pour outrage, avant de s'étendre à Johannesburg, sur fond de chômage endémique et de restrictions Covid