La condamnation de M. Sonko à deux ans de prison dans une affaire de moeurs a déclenché les heurts les plus violents qu'ait connus le pays depuis des années
Beaucoup des travailleurs de l'informel, l'économie non régulée qui fait vivre la grande majorité des Sénégalais au quotidien, ont repris leur besogne à Dakar
Ces agissements pourraient constituer des crimes de guerre et, «selon les circonstances», des crimes contre l'humanité, dit dans un communiqué Volker Türk
Tels que documentés dans le rapport, les évènements survenus à Moura, objets de versions contradictoires depuis un an, sont parmi les pires du genre dans un pays pourtant familier des atrocités des djihadistes
Le rassemblement de mardi visait à faire cesser «l'instrumentalisation» de la justice ainsi que les arrestations «arbitraires», selon les organisateurs
Dans le quartier populaire de la capitale où se tenait le meeting, des militants ont afflué tout l'après-midi, dansant et chantant en tee-shirts, casquettes et châles aux couleurs du Sénégal et à l'effigie d'Ousmane Sonko
Des violences avec heurts entre manifestants et forces de l'ordre, scènes de saccage et de pillage s'étaient produits le 10 février dans la ville de Mbacké
Outre son procès en diffamation, M. Sonko fait l'objet depuis deux ans d'une autre procédure pour «viols et menaces de mort»
Le président de la FIA, Mohammed ben Soulayem, et son équipe s'efforcent d'offrir des opportunités dans le sport automobile, indépendamment de l'origine, de la religion, du sexe et des ressources financières des participants
«Il est encourageant de voir le nombre de ressortissants saoudiens, en particulier de jeunes femmes, jouer des rôles clés dans l'organisation du Rallye Dakar», a affirmé Ben Soulayem