«Les premières compromissions identifiées par l'Anssi datent de fin 2017 et se sont poursuivies jusqu'en 2020», écrit l'Anssi dans un rapport présentant les informations techniques liées à cette campagne d'attaque
L'agence a établi que l'attaque présentait «de nombreuses similarités avec des campagnes antérieures du mode opératoire Sandworm», généralement attribué au renseignement militaire russe. Mais elle n'accuse toutefois pas explicitement la Russie
«La cyberattaque est bien plus importante dans les médias qu'en réalité», a tweeté M. Trump. «Tout est sous contrôle. Russie, Russie, Russie, c'est le slogan prioritaire quand n'importe quelle chose arrive»
L'étendue estimée de la cyberattaque ne cesse de s'élargir à mesure que l'on découvre de nouvelles victimes, au-delà des Etats-Unis, ravivant les craintes face aux risques d'espionnage
Plusieurs agences gouvernementales ont été visées par des cyberattaques liés à un gouvernement étranger et qui viseraient à voler des informations confidentielles
La Russie serait à l'origine de ces attaques qui était aussi derrière les attaques visant la candidate démocrate Hillary Clinton lors de la campagne présidentielle de 2016, a accusé le Washington Post
Les malfaiteurs misent sur le fait que les établissements ne prendront pas le risque de refuser de payer une rançon aux conséquences potentiellement dramatiques pour les malades
Les cyberattaques redoutées se font à l'aide d'un « ransomware », une sorte de logiciel malveillant qui bloque l'accès à un site ou un ordinateur