Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a déploré « les détentions massive » et « l'usage disproportionné de la force » au cours des manifestations samedi en Russie
Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi en Russie à l'appel d'Alexeï Navalny pour exiger sa libération, donnant lieu à plus de 2000 arrestations, ainsi qu'à des heurts
Alexei Navalny, rétabli après un empoisonnement présumé en août, «a pris la décision consciente de retourner en Russie qu'il considère comme sa patrie personnelle et politique»
Le président du Conseil européen Charles Michel a de même jugé dimanche «inacceptable» l'interpellation de M. Navalny, exigeant sa libération «immédiate»
Ces troubles, dont les motifs exacts ne sont pas connus dans l'immédiat, interviennent dans un contexte d'instabilité politique et de problèmes socio-économiques en Tunisie, dix ans après la chute du président Zine El Abidine Ben Ali
La classe politique, plus fragmentée que jamais depuis les élections législatives de 2019, se déchire alors que l'urgence sociale s'accentue avec la pandémie de coronavirus (177 231 cas dont 5 616 décès), qui s'ajoute à la hausse des prix, la persistance
La contestation a été étouffée début 2020 par l'épidémie de coronavirus, qui a entraîné la fin des manifestations, puis par l'imposition fin juin d'une nouvelle loi rigoureuse sur la «sécurité nationale»
«La Chine communiste ne s'arrête devant rien pour empêcher ses ressortissants d'aller trouver la liberté ailleurs»
Les arrestations ont eu lieu sur ordre du bureau du procureur d'Izmir, dans l'ouest de la Turquie, qui a émis des mandats d'arrêt contre 304 personnes soupçonnées
Le prédicateur Fethullah Gülen, installé aux États-Unis depuis une vingtaine d'années, dirige un réseau accusé par Ankara d'avoir infiltré les institutions turques
Si une personne possède une autre nationalité en plus de celle iranienne, les autorités de Téhéran ne la prennent pas en compte, affirme le ministère allemand
Mme Taghavi, qui milite depuis des années pour les droits de l'Homme en Iran, en particulier les droits des femmes et la liberté d'opinion, aurait été accusée par Téhéran de «mettre la sécurité en danger»