«J'annonce ma candidature à l'élection présidentielle», a déclaré l'ancien président de 76 ans, sous un tonnerre d'applaudissements des militants réunis dans la grande salle de réception de sa luxueuse résidence de Mar-a-Lago, en Floride
Promettant une Amérique «de retour», Donald Trump a dressé un tableau idyllique de son premier mandat, évoquant un pays en paix, prospère et respecté sur la scène internationale
En France, Greta Thunberg est critiquée par certains, à droite et à l'extrême droite, qui dénoncent «une dictature de l'émotion incarnée par des enfants»
Qu'il s'agisse de nier avec désinvolture le changement climatique ou de boycotter de jeunes militants, certains politiciens ne cessent de surprendre le public par des déclarations incongrues
Pour étayer sa démarche, Donald Trump affirme bénéficier d'une «immunité absolue» et qu’il ne témoignera pas la semaine prochaine
Les enjeux sont élevés – et le temps presse – à la fois pour la commission du Congrès et pour Donald Trump, 76 ans, qui devrait annoncer mardi qu'il se représentera à la présidence en 2024
Organisées deux ans après chaque présidentielle, ces élections de mi-mandat sont aussi un référendum sur le locataire de la Maison Blanche et le parti du président n'échappe que très rarement au vote sanction
Jusqu'au bout, le camp de Joe Biden a cherché à éviter ce scénario en dépeignant l’opposition républicaine comme une menace pour la démocratie
«Nous serons au rendez-vous. Le pouvoir en Amérique est là où il a toujours été: entre vos mains, les mains du peuple», a affirmé Joe Biden
Le choix est significatif pour ce président élu en grande partie grâce au soutien de la communauté afro-américaine, qu'il a tenté de remobiliser ces derniers jours