A l'étranger, plusieurs pays ont mis en garde contre une «catastrophe humanitaire» en cas d'assaut sur la ville où sont réfugiés plus de 1,3 million de Palestiniens
La France a exhorté dimanche Israël à l'arrêt des combats pour éviter «un désastre»
De nouvelles frappes israéliennes ont visé samedi Rafah, où vivent à présent plus de 1,3 million de Palestiniens, selon l'ONU
A quelques kilomètres au nord, à Khan Younès, les combats se concentrent dans l'enceinte de l'hôpital Nasser, le plus grand du sud de Gaza, assiégé par les chars israéliens
Une source de sécurité libanaise a indiqué que le responsable visé se nomme Bassel Saleh, et qu'il est «responsable de l'enrôlement en Cisjordanie» au sein du Hamas
«Il a échappé à la tentative d'assassinat mais souffre de brûlures au dos et a été hospitalisé», a-t-elle ajouté
La présidente du Crisis Group, Comfort Ero appelle à un cessez-le-feu
Elle parle aussi d'une "crise du maintien de la paix" dans le monde, tout en gardant une "lueur d'espoir" sur la possibilité de résoudre les conflits par la voie diplomatique
L'armée israélienne a intensifié jeudi ses frappes sur Rafah, Washington avertissant Israël du risque d'un «désastre» dans cette ville de la bande de Gaza
Auparavant, le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, qui a conclu jeudi une tournée régionale visant à encourager les efforts pour obtenir un arrêt des combats, a exhorté son allié israélien à «protéger» les civils