Expo 2020 : le pavillon de l'Égypte inaugure à Dubaï un avenir ancré dans le passé

L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
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L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
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Publié le Samedi 13 novembre 2021

Expo 2020 : le pavillon de l'Égypte inaugure à Dubaï un avenir ancré dans le passé

  • Depuis la première exposition universelle au 19e siècle, l'Égypte a émerveillé les visiteurs en associant patrimoine et vision
  • A l'Expo 2020 de Dubaï, le pavillon de l'Égypte met en valeur l'histoire du pays, tout en présentant une vision ambitieuse de son avenir

DUBAÏ : Le pavillon de l'Égypte s'impose comme l'une des principales attractions de l'Expo 2020 de Dubaï. Depuis les premières expositions universelles au 19e  siècle, ce pays s’est toujours fait remarquer. En 1851, il a figuré parmi les participants de marque de la Grande Exposition de Londres.

Les précédentes expositions universelles « Les pavillons de l'Égypte » faisaient parler : elles se concentraient sur le développement agricole et industriel du pays, mais aussi sur son riche passé.

Ainsi, on pouvait lire dans un guide de l'exposition de 1851 que « le pavillon de l'Égypte offrait une très belle présentation des produits chimiques du pays ». Entre 1876 et 1904, l'Égypte a suscité, au cours des expositions universelles, l'intérêt pour son industrie cotonnière et les infrastructures qui la soutenaient, telles que les ponts et les chemins de fer.

Mais par-dessus tout, l'Égypte n'a cessé de se démarquer en proposant des concepts expérimentaux pour ses expositions universelles, en y ajoutant une dimension sensorielle et en faisant sentir à ses visiteurs qu'ils « se trouvaient vraiment en Egypte ».

En 1851, un commentateur a fait remarquer que « l'exposition consacrée à l'Égypte était l'une des plus grandes expositions... son entrée, sous forme d'arche, laissait penser que l'on entrait dans un ancien temple égyptien ».

L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)

Dans le même contexte, les reportages consacrés à l'exposition universelle de Saint-Louis qui s'est tenue en 1904 indiquaient qu’ « il ne fait pas de doute que la plus grande attraction de toutes n'est autre que la ‘Rue du Caire’, avec ses 180 hommes, femmes et enfants, ses théâtres, ses chameaux, ses ânes et ses chiens ».

Ce sens du spectacle a persisté au fil des années. À l'Expo 2020 de Dubaï, le pavillon de l'Égypte met en valeur l'histoire du pays, tout en présentant une vision ambitieuse de son avenir.

Conçu par l'architecte égyptien Hazem Hamada, le pavillon s'étend sur une superficie de 3 000 m² et associe le caractère authentique de l'histoire exceptionnelle de l'Égypte à son ambitieuse Vision 2030.

Ce pavillon de quatre étages est idéalement situé à proximité des pavillons du Maroc et de l'Arabie saoudite, dans le District des opportunités. Des hiéroglyphes ornent le bâtiment pour rappeler son héritage, et trois angles aigus près de l'entrée évoquent les pyramides mythiques du pays.

Conçu par l'architecte égyptien Hazem Hamada, le pavillon s'étend sur une superficie de 3 000 m² et incarne le caractère authentique de la formidable histoire de l'Égypte. (AFP)
Conçu par l'architecte égyptien Hazem Hamada, le pavillon s'étend sur une superficie de 3 000 m² et incarne le caractère authentique de la formidable histoire de l'Égypte. (AFP)

Le pavillon de l'Égypte contraste avec celui de sa voisine, la Suisse. Celle-ci a opté pour un mélange d'acier, d'architecture cubique et de façades en miroir : l'ancien et le nouveau se côtoient, audacieux et uniques, chacun à sa manière.

À leur entrée dans le pavillon égyptien, les visiteurs sont invités à parcourir, au cours d'une visite guidée de 15 minutes, les principaux moments de l'histoire égyptienne. Ils sont à la fois guidés par un hôte « réel » et accueillis par un guide virtuel, ce qui met en évidence le mélange d'authenticité et de modernité de l'Égypte.

La première section accueille les visiteurs au son de la musique avec des hiéroglyphes dorés qui sont projetés en cascade sur les murs, comme si c'était de la pluie. Outre ces formes numériques incarnant la modernité, on trouve les célèbres vestiges du passé de l'Égypte.

Parmi ceux-ci figure le sarcophage du prêtre Psamtik, fils de Pediosir,  récemment découvert dans les fouilles archéologiques menées à Saqqara. Une reproduction du masque funéraire en or du roi Toutankhamon est présentée à côté des répliques de trois autres sarcophages.

Ces pièces offrent aux visiteurs un aperçu séduisant de ce qui les attend une fois que le Grand Musée égyptien du Caire, très convoité, ouvrira ses portes ; la plus grande collection de reliques de Toutankhamon y sera exposée pour la première fois depuis leur découverte.

À l'instar des précédents pavillons de l'Égypte dans le cadre des expositions universelles, le pavillon 2020 est soigneusement pensé de manière à marquer les esprits et à transmettre un message plus important.

Ainsi, de nombreux stands mettent l'accent sur la Vision 2030 de l'Égypte et les possibilités de développement durable qu'elle offre. Les organisateurs souhaitent présenter l'Égypte comme une destination propice aux investissements, reliant le monde au continent africain.

La Zone économique du canal de Suez, les villes intelligentes d'Égypte et ses projets touristiques figurent parmi les nombreux moyens d'investissement privilégiés du pays.

La « grande finale » du pavillon réunit tous les éléments dans un montage numérique associant art, musique et danse, et alliant  la tradition à la vision, l'ancien au nouveau. (AFP)
La « grande finale » du pavillon réunit tous les éléments dans un montage numérique associant art, musique et danse, et alliant  la tradition à la vision, l'ancien au nouveau. (AFP)

En relatant le passé de son ancienne civilisation, le pavillon de l'Égypte transmet le message suivant aux investisseurs : « Laissons l'histoire nous guider ». Forte de ses quelque 4 000 années d'innovation et de commerce, l'Égypte peut argumenter que sa vision se fonde sur une expérience solide.

La « grande finale » du pavillon réunit tous les éléments dans un montage numérique associant art, musique et danse, et alliant la tradition à la vision, l'ancien au nouveau, l'eau au désert, les paysages verts aux océans bleus, et le commerce moderne à l'artisanat ancien. Il s'agit d'un spectacle audacieux, unique, séduisant et impressionnant.

Au cours des 6 mois de l'Expo 2020 de Dubaï, le pavillon de l'Égypte accueillera des figures de proue du monde de la science, du sport, des arts et de la culture. Il proposera plus de 100 événements portant sur des sujets aussi variés que le développement urbain, le tourisme, le développement durable, l'agriculture et la qualité de vie des femmes et des adolescents.

Par ailleurs, il consacrera 9 expositions aux antiquités, à l'éducation, à l'immobilier, aux investissements, et proposera des ateliers, des séminaires, des activités de mise en réseau et des salons culturels.

Au vu de l'histoire de l'Égypte, longue et glorieuse en matière d'expositions universelles, il ne faut pas s'étonner de voir que le comité organisateur a réussi à séduire les foules. Grâce à un programme aussi chargé, il ne fait aucun doute que l'Egypte consolidera sa réputation bien méritée au cours de cette exposition, et au cours de bien d'autres à venir.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

EN BREF

 

* 3 000 m² - Superficie du pavillon de l'Égypte à l'Expo 2020 de Dubaï, d'une hauteur de 19 m et réparti sur 4 étages.

* 3 statues de pharaons antiques offrent un aperçu de ce qui vous attend au Grand Musée Egyptien.

* 4 000 ans de commerce et d'innovation marquent l'histoire de l'Égypte – une réputation qui attire les nouveaux investissements – .


Symphonie d'écritures : Les calligraphes s'illustrent dans une exposition à Dammam

L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
L'exposition présente également une gamme variée de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page. (Hind Alkhunaizi/AN)
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  • L'exposition « The Pulse of Ink » réunit 30 artisans jeunes et expérimentés pour honorer le patrimoine culturel.
  • Pour compléter l'exposition, le groupe de calligraphie de Qatif a organisé une série d'activités attrayantes, notamment des ateliers pour les calligraphes en herbe.

DHAHRAN : : Au cœur de Dammam, la Société saoudienne pour la culture et les arts accueille l'exposition d'art calligraphique « Le pouls de l'encre », qui présente les œuvres du groupe de calligraphie de Qatif.

Les amateurs d'art et les esprits curieux ont jusqu'au 20 janvier pour découvrir les œuvres d'artistes renommés de la calligraphie et de l'ornementation, dont certains ont seulement 12 ans.

Pour compléter l'exposition, le groupe de calligraphie de Qatif a organisé une série d'activités attrayantes, notamment des ateliers pour les calligraphes en herbe.

Le premier atelier a été présenté par Hussein Bazroun, âgé de 14 ans, qui pratique la calligraphie depuis deux ans et demi.

La passion et le dévouement de Bazroun pour cet art sont une source d'inspiration pour les jeunes artistes comme pour ceux qui aspirent à le devenir.

D'autres ateliers seront consacrés à l'écriture Diwani, dirigés par le calligraphe Ali Al-Khuwaildi, et à l'écriture Ruq'ah, enseignée par son collègue Hassan Al-Radwan.

Parmi les talents présentés figure le calligraphe Ali Al-Kadhim, âgé de 12 ans, un prodige qui perfectionne son art depuis un peu plus d'un an et demi. Son talent témoigne de la mission du groupe qui est de promouvoir et de préserver l'art ancestral de la calligraphie arabe.

L'exposition présente également un large éventail de pièces, chacune étant un mélange captivant de lignes, de courbes et d'ornements complexes qui semblent danser sur la page.

Les objectifs du groupe de calligraphie sont divers et ambitieux. En organisant des ateliers, des expositions et des conférences, il promeut la calligraphie arabe en tant que forme d'art islamique et artistique, tout en soutenant les artistes locaux et en enrichissant le paysage culturel de Qatif.

Grâce à des concours et des expositions, ils encouragent la création d'une nouvelle génération de calligraphes qui perpétueront la tradition.

Pour Al-Khuwaildi, vice-président du groupe de calligraphie, la calligraphie est bien plus qu'un simple passe-temps : c'est un refuge, une source de réconfort et un moyen d'expression créative.

« Je suis tombé amoureux de la calligraphie à l'école primaire et, tout au long de ma vie, elle est devenue un refuge grâce à laquelle je trouve le réconfort », a-t-il déclaré à Arab News.

« Chaque fois que la vie m'accable, je reviens à la calligraphie comme un oiseau retourne à son nid. Ses paroles reflètent le pouvoir thérapeutique de la calligraphie, qui exige patience, dévouement et une compréhension approfondie des relations complexes entre les lettres, les lignes et les espaces.

Hassan Al-Bashrawi, secrétaire du groupe de calligraphie, a souligné l'attrait unique de la calligraphie arabe : « Elle allie deux qualités esthétiques essentielles : la construction artistique et les valeurs symboliques qui reflètent la civilisation islamique et le patrimoine arabe ».

Le parcours de M. Al-Bashrawi en tant que calligraphe a été marqué par une étude, une pratique et une collaboration intenses avec d'autres artistes. Par son travail, il jette les bases d'une renaissance, s'inspirant à la fois des ressources anciennes et des artistes contemporains.

Pour Muna Al-Muhanna, artiste talentueuse qui présente sa première pièce dans l’exposition, cette expérience est tout simplement exaltante.

« J'éprouvais un mélange de joie, d'accomplissement et de fierté en créant quelque chose en souvenir d'Allah, le Très-Haut », a-t-elle déclaré.

Captant l’essence de l’art ancien, elle ajoute : « Il me sépare du monde tangible et m’immerge dans un royaume de beauté représenté par la calligraphie. »

À l’exposition du Groupe de calligraphie Qatif à Dammam, les visiteurs seront accueillis par un festin visuel d’écritures complexes, d’ornements majestueux et d’expressions sincères de créativité.

Dans un monde dominé par la technologie, cette célébration de la calligraphie arabe nous rappelle la beauté, la spiritualité et l’intemporalité de l’art manuscrit.

Que vous soyez amateur d’art, passionné d’histoire ou simplement quelqu’un qui apprécie la beauté du langage, vous serez sans doute émerveillé par la magie qui se produit lorsque le papier rencontre le stylo.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Le prix saoudien de la création d'entreprises de mode se hisse en phase finale

Les gagnants auront l'opportunité de se rendre à Paris pour un mentorat exclusif avec les équipes de développement durable de Kering et de présenter leurs innovations lors du sommet ChangeNOW 2025. (X @KeringGroup)
Les gagnants auront l'opportunité de se rendre à Paris pour un mentorat exclusif avec les équipes de développement durable de Kering et de présenter leurs innovations lors du sommet ChangeNOW 2025. (X @KeringGroup)
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  • Plus de 100 startups ont postulé et 20 ont été sélectionnées pour participer à un camp de formation de trois jours à Riyad.
  • Burak Cakmak, le PDG de la Fashion Commission, a déclaré que la durabilité était au cœur de la vision de la Commission pour l'avenir de l'industrie.

Riyad : la Fashion Commission et le groupe de luxe Kering ont lancé le processus de sélection des lauréats du Kering Generation Award X Saudi Arabia.

L'initiative vise à soutenir les startups innovantes ayant un impact significatif sur l'industrie de la mode, a rapporté l'agence de presse saoudienne.

Le processus de candidature a débuté en novembre 2023, invitant les startups à soumettre leur candidature et à promouvoir la durabilité. Plus de 100 startups ont postulé et 20 ont été sélectionnées pour participer à un camp de formation de trois jours à Riyad.

Le programme comprenait des ateliers axés sur les indicateurs de performance clés, la définition d'objectifs et les compétences en matière de présentation.

Le 14 janvier, les 20 start-ups présélectionnées se sont réunies à Riyad pour la présentation finale, au cours de laquelle chaque candidat a été évalué sur l'engagement des clients, l'économie circulaire et la protection de l'eau.

Après les présentations, le processus d'évaluation a commencé pour sélectionner les dix meilleures propositions, qui seront évaluées par le jury selon les critères suivants : innovation, pertinence, lien avec la mode et impact potentiel sur la nature et la société.

La cérémonie de remise des prix aura lieu le 27 janvier à Riyad, où les trois lauréats seront annoncés.

Les lauréats auront la possibilité de se rendre à Paris pour bénéficier d'un mentorat exclusif avec les équipes de développement durable de Kering et de présenter leurs innovations lors du sommet ChangeNOW 2025.

Burak Cakmak, directeur général de la Commission de la mode, a déclaré que le développement durable était au cœur de la vision de la Commission pour l'avenir du secteur.

Il a ajouté que le prix visait à mettre en lumière et à soutenir les startups innovantes dans le domaine de la mode circulaire et de la gestion de l'environnement.

M. Cakmak a souligné l'engagement de la Commission à promouvoir des solutions qui répondent aux défis actuels et ouvrent la voie à un avenir durable dans le secteur de la mode.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com


Christina Aguilera et Michael Bublé se succèdent sur la scène des Joy Awards de Riyad

Christina Aguilera foule le tapis rouge des Joy Awards à Riyad, le 18 janvier. (Getty Images)
Christina Aguilera foule le tapis rouge des Joy Awards à Riyad, le 18 janvier. (Getty Images)
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  • Les Joy Awards sont le plus grand événement organisé en Arabie saoudite pour honorer les principaux artistes du monde arabe.
  • Les lauréats ont été sélectionnés par le public via une application lancée par l'Autorité générale du divertissement.

RIYADH : Les Joy Awards annuels ont honoré les talents arabes lors d'une soirée de gala au Kingdom Arena de Riyad, samedi.

La cérémonie a débuté par un concert de Christina Aguilera, qui a interprété The Voice Within et son tube Genie in a Bottle.

Les icônes musicales Mohammed Abdo et Andrea Bocelli ont quant à eux offert une prestation alliant les sonorités du Golfe et de l'Italie.***

Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de My Way de Frank Sinatra, en anglais et en arabe.

Samedi, lors de la cérémonie, Amanda Seyfried, Morgan Freeman et Matthew McConaughey ont fait sensation sur le tapis lavande emblématique aux côtés de célébrités internationales et locales.

Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de « My Way » de Frank Sinatra, en anglais et en arabe. (X, anciennement connu sous le nom de Twitter)
Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de « My Way » de Frank Sinatra, en anglais et en arabe. (X, anciennement connu sous le nom de Twitter)

Le chanteur libanais Wael Kfoury et l'artiste canadien Michael Buble ont collaboré à une interprétation saisissante de My Way de Frank Sinatra, en anglais et en arabe.

Samedi, lors de la cérémonie, Amanda Seyfried, Morgan Freeman et Matthew McConaughey ont fait sensation sur le tapis lavande emblématique aux côtés de célébrités internationales et locales.

Morgan Freeman avec sa partenaire Lori McCreary aux Joy Awards. (Getty Images)
Morgan Freeman avec sa partenaire Lori McCreary aux Joy Awards. (Getty Images)

Pour rendre hommage à sa première visite dans le Royaume, l'actrice américaine Kate Siegel a assisté à la cérémonie en portant une robe blanc nacré avec des drapés noirs de la marque saoudienne Abadia.

« Je l'ai choisie parce que je voulais représenter les créateurs saoudiens et la mode, en particulier ici, à Riyad, qui est un centre de la mode saoudienne », a-t-elle déclaré.

En hommage à sa première visite dans le Royaume, l'actrice américaine Kate Siegel a assisté à la cérémonie vêtue d'une robe blanche nacrée aux drapés noirs de la marque saoudienne Abadia. (Getty Images)
En hommage à sa première visite dans le Royaume, l'actrice américaine Kate Siegel a assisté à la cérémonie vêtue d'une robe blanche nacrée aux drapés noirs de la marque saoudienne Abadia. (Getty Images)

L'actrice libanaise Nawal Kamel est arrivée dans une robe noire et cloutée d'argent conçue par sa styliste libanaise préférée, Joelle Nemnum.

« Je n'arrive pas à croire que je suis ici. Je suis très excitée à l'idée de rencontrer le peuple (saoudien) de près. Je connais beaucoup de gens du Liban, mais être ici et voir les gens du pays, qui sont si différents et si incroyables, c'est extraordinaire. Ils (les Saoudiens) sont si gentils et si accueillants - ils vous soutiennent vraiment et prennent soin de vous. Je suis tellement reconnaissante d'être ici et d'assister à la remise des Joy Awards », a-t-elle déclaré. 

Amanda Seyfried est arrivée dans une robe Valentino rouge vif (Getty Images).
Amanda Seyfried est arrivée dans une robe Valentino rouge vif (Getty Images).

Organisés au Kingdom Arena, les Joy Awards sont le plus grand événement d'Arabie saoudite qui distingue et récompense les principaux artistes du monde arabe. L'événement fait partie de la Saison de Riyad et est co-organisé par le groupe MBC.

Les lauréats ont été sélectionnés par le public via une application lancée par l'Autorité générale du divertissement. Les candidats étaient répartis en différentes catégories. Les nominés ont été soigneusement choisis par des comités spécialisés en fonction de leurs efforts et de leurs réalisations au cours de l'année écoulée.

Ce texte est la traduction d'un article paru sur Arabnews.com