Expo 2020 : le pavillon de l'Égypte inaugure à Dubaï un avenir ancré dans le passé

L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
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Publié le Samedi 13 novembre 2021

Expo 2020 : le pavillon de l'Égypte inaugure à Dubaï un avenir ancré dans le passé

  • Depuis la première exposition universelle au 19e siècle, l'Égypte a émerveillé les visiteurs en associant patrimoine et vision
  • A l'Expo 2020 de Dubaï, le pavillon de l'Égypte met en valeur l'histoire du pays, tout en présentant une vision ambitieuse de son avenir

DUBAÏ : Le pavillon de l'Égypte s'impose comme l'une des principales attractions de l'Expo 2020 de Dubaï. Depuis les premières expositions universelles au 19e  siècle, ce pays s’est toujours fait remarquer. En 1851, il a figuré parmi les participants de marque de la Grande Exposition de Londres.

Les précédentes expositions universelles « Les pavillons de l'Égypte » faisaient parler : elles se concentraient sur le développement agricole et industriel du pays, mais aussi sur son riche passé.

Ainsi, on pouvait lire dans un guide de l'exposition de 1851 que « le pavillon de l'Égypte offrait une très belle présentation des produits chimiques du pays ». Entre 1876 et 1904, l'Égypte a suscité, au cours des expositions universelles, l'intérêt pour son industrie cotonnière et les infrastructures qui la soutenaient, telles que les ponts et les chemins de fer.

Mais par-dessus tout, l'Égypte n'a cessé de se démarquer en proposant des concepts expérimentaux pour ses expositions universelles, en y ajoutant une dimension sensorielle et en faisant sentir à ses visiteurs qu'ils « se trouvaient vraiment en Egypte ».

En 1851, un commentateur a fait remarquer que « l'exposition consacrée à l'Égypte était l'une des plus grandes expositions... son entrée, sous forme d'arche, laissait penser que l'on entrait dans un ancien temple égyptien ».

L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)
L'Egypte a participé à toutes les expositions universelles depuis leur création au 19e  siècle et s'est toujours fait remarquer. L’Expo 2020 de Dubaï ne déroge pas à la règle. (AFP)

Dans le même contexte, les reportages consacrés à l'exposition universelle de Saint-Louis qui s'est tenue en 1904 indiquaient qu’ « il ne fait pas de doute que la plus grande attraction de toutes n'est autre que la ‘Rue du Caire’, avec ses 180 hommes, femmes et enfants, ses théâtres, ses chameaux, ses ânes et ses chiens ».

Ce sens du spectacle a persisté au fil des années. À l'Expo 2020 de Dubaï, le pavillon de l'Égypte met en valeur l'histoire du pays, tout en présentant une vision ambitieuse de son avenir.

Conçu par l'architecte égyptien Hazem Hamada, le pavillon s'étend sur une superficie de 3 000 m² et associe le caractère authentique de l'histoire exceptionnelle de l'Égypte à son ambitieuse Vision 2030.

Ce pavillon de quatre étages est idéalement situé à proximité des pavillons du Maroc et de l'Arabie saoudite, dans le District des opportunités. Des hiéroglyphes ornent le bâtiment pour rappeler son héritage, et trois angles aigus près de l'entrée évoquent les pyramides mythiques du pays.

Conçu par l'architecte égyptien Hazem Hamada, le pavillon s'étend sur une superficie de 3 000 m² et incarne le caractère authentique de la formidable histoire de l'Égypte. (AFP)
Conçu par l'architecte égyptien Hazem Hamada, le pavillon s'étend sur une superficie de 3 000 m² et incarne le caractère authentique de la formidable histoire de l'Égypte. (AFP)

Le pavillon de l'Égypte contraste avec celui de sa voisine, la Suisse. Celle-ci a opté pour un mélange d'acier, d'architecture cubique et de façades en miroir : l'ancien et le nouveau se côtoient, audacieux et uniques, chacun à sa manière.

À leur entrée dans le pavillon égyptien, les visiteurs sont invités à parcourir, au cours d'une visite guidée de 15 minutes, les principaux moments de l'histoire égyptienne. Ils sont à la fois guidés par un hôte « réel » et accueillis par un guide virtuel, ce qui met en évidence le mélange d'authenticité et de modernité de l'Égypte.

La première section accueille les visiteurs au son de la musique avec des hiéroglyphes dorés qui sont projetés en cascade sur les murs, comme si c'était de la pluie. Outre ces formes numériques incarnant la modernité, on trouve les célèbres vestiges du passé de l'Égypte.

Parmi ceux-ci figure le sarcophage du prêtre Psamtik, fils de Pediosir,  récemment découvert dans les fouilles archéologiques menées à Saqqara. Une reproduction du masque funéraire en or du roi Toutankhamon est présentée à côté des répliques de trois autres sarcophages.

Ces pièces offrent aux visiteurs un aperçu séduisant de ce qui les attend une fois que le Grand Musée égyptien du Caire, très convoité, ouvrira ses portes ; la plus grande collection de reliques de Toutankhamon y sera exposée pour la première fois depuis leur découverte.

À l'instar des précédents pavillons de l'Égypte dans le cadre des expositions universelles, le pavillon 2020 est soigneusement pensé de manière à marquer les esprits et à transmettre un message plus important.

Ainsi, de nombreux stands mettent l'accent sur la Vision 2030 de l'Égypte et les possibilités de développement durable qu'elle offre. Les organisateurs souhaitent présenter l'Égypte comme une destination propice aux investissements, reliant le monde au continent africain.

La Zone économique du canal de Suez, les villes intelligentes d'Égypte et ses projets touristiques figurent parmi les nombreux moyens d'investissement privilégiés du pays.

La « grande finale » du pavillon réunit tous les éléments dans un montage numérique associant art, musique et danse, et alliant  la tradition à la vision, l'ancien au nouveau. (AFP)
La « grande finale » du pavillon réunit tous les éléments dans un montage numérique associant art, musique et danse, et alliant  la tradition à la vision, l'ancien au nouveau. (AFP)

En relatant le passé de son ancienne civilisation, le pavillon de l'Égypte transmet le message suivant aux investisseurs : « Laissons l'histoire nous guider ». Forte de ses quelque 4 000 années d'innovation et de commerce, l'Égypte peut argumenter que sa vision se fonde sur une expérience solide.

La « grande finale » du pavillon réunit tous les éléments dans un montage numérique associant art, musique et danse, et alliant la tradition à la vision, l'ancien au nouveau, l'eau au désert, les paysages verts aux océans bleus, et le commerce moderne à l'artisanat ancien. Il s'agit d'un spectacle audacieux, unique, séduisant et impressionnant.

Au cours des 6 mois de l'Expo 2020 de Dubaï, le pavillon de l'Égypte accueillera des figures de proue du monde de la science, du sport, des arts et de la culture. Il proposera plus de 100 événements portant sur des sujets aussi variés que le développement urbain, le tourisme, le développement durable, l'agriculture et la qualité de vie des femmes et des adolescents.

Par ailleurs, il consacrera 9 expositions aux antiquités, à l'éducation, à l'immobilier, aux investissements, et proposera des ateliers, des séminaires, des activités de mise en réseau et des salons culturels.

Au vu de l'histoire de l'Égypte, longue et glorieuse en matière d'expositions universelles, il ne faut pas s'étonner de voir que le comité organisateur a réussi à séduire les foules. Grâce à un programme aussi chargé, il ne fait aucun doute que l'Egypte consolidera sa réputation bien méritée au cours de cette exposition, et au cours de bien d'autres à venir.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com

EN BREF

 

* 3 000 m² - Superficie du pavillon de l'Égypte à l'Expo 2020 de Dubaï, d'une hauteur de 19 m et réparti sur 4 étages.

* 3 statues de pharaons antiques offrent un aperçu de ce qui vous attend au Grand Musée Egyptien.

* 4 000 ans de commerce et d'innovation marquent l'histoire de l'Égypte – une réputation qui attire les nouveaux investissements – .


L’Arabie saoudite célèbre la Journée du patrimoine mondial avec six jours d’évènements à Riyad

Abdullah Al-Fawzan est l'un des artistes participant à l'événement. Il présente ses œuvres en bois sculpté inspirées des motifs des portes Najdi. (Photo AN)
Abdullah Al-Fawzan est l'un des artistes participant à l'événement. Il présente ses œuvres en bois sculpté inspirées des motifs des portes Najdi. (Photo AN)
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  • Les événements, qui se déroulent du 16 au 21 avril à la vallée de Laysen, visent à honorer et à promouvoir les valeurs historiques et culturelles du Royaume et de son patrimoine par le biais d'activités éducatives et interactives
  • Les visiteurs seront accueillis par une expérience immersive qui les transportera dans les huit sites du patrimoine mondial du Royaume et mettra en valeur leur importance culturelle

RIYAD : Une série d'événements spéciaux se déroulent cette semaine à la vallée de Laysen à Riyad pour célébrer la Journée du patrimoine mondial le 18 avril.

Organisées par la Commission du patrimoine du ministère de la Culture, ces activités, qui se déroulent du 16 au 21 avril, visent à honorer et à promouvoir les valeurs historiques et culturelles de l'Arabie saoudite et de son patrimoine par le biais d'activités éducatives et interactives.

Selon les organisateurs, les visiteurs de la vallée de Laysen seront accueillis par une expérience immersive qui les transportera dans les huit sites du patrimoine mondial du Royaume et mettra en évidence leur importance culturelle par le biais de récits, d'un spectacle de lumière numérique et de recréations en direct des lieux.

Un certain nombre d'artistes participent aux événements, notamment Abdullah Al-Fawzan, dont les œuvres en bois sculpté s'inspirent des motifs najdi. Les portes de l'ancien Najd, connues pour leur riche décoration et leurs motifs inspirés des structures naturelles, sont emblématiques des racines profondes et de la culture de la région centrale de l'Arabie saoudite.

Interrogé par Arab News, M. Al-Fawzan a expliqué que la sculpture sur bois est un élément essentiel des traditions de sa famille, qui remonte à six générations. Sous la direction de son père, il a commencé à apprendre cette technique à l'âge de sept ans. Il a créé une centaine de portes de style najdi pour de nombreux projets dans différentes parties de la capitale, notamment à Diriyah et à Al-Doho, un quartier historique du sud de Riyad.

« On peut dire que les artisans sont considérés comme le pont entre le passé et le présent. Nous travaillons sur des pièces entièrement faites à la main, tout en préservant l'authenticité et l'identité du Najd », a-t-il affirmé. 

M. Al-Fawzan travaille de six à dix heures par jour pour sculpter et peindre ses œuvres, et son métier lui a appris l'art de la patience, en particulier lorsqu'il rencontre des problèmes.

« Nous avons un proverbe qui dit : Celui qui est patient triomphe. Je ne peux pas travailler sur quelque chose de grand si je suis de mauvaise humeur. Je dois être d'humeur claire, loin de tout problème et prêt à travailler », a-t-il lancé. 

Parmi les autres attractions de la Journée du patrimoine figurent un espace réservé aux enfants et des pavillons présentant des objets d'art et d'artisanat traditionnels. Des ateliers, des démonstrations en direct par des artisans et des marchés où les artisans vendront des articles faits à la main sont également prévus. En outre, une série de spectacles de drones sera organisée à Wadi Al-Turath le 18 avril.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com
 


Riyad célèbre les lauréats du prix du roi Faisal

La cérémonie de remise du prix du roi Faisal a récompensé six lauréats distingués dont les contributions ont fait progresser de manière significative leur domaine et enrichi l'humanité. (Fourni)
La cérémonie de remise du prix du roi Faisal a récompensé six lauréats distingués dont les contributions ont fait progresser de manière significative leur domaine et enrichi l'humanité. (Fourni)
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  • Les prix, les plus prestigieux du monde musulman, récompensent des réalisations exceptionnelles dans les domaines de la science, de la médecine, des études islamiques, de la langue et de la littérature arabes, ainsi que des services rendus à l'islam

RIYAD : La cérémonie de remise du prix du roi Faisal, qui s'est tenue lundi soir sous le patronage du roi Salmane à Riyad, a honoré six lauréats distingués dont les contributions ont fait progresser de manière significative leurs domaines et enrichi l'humanité.

Sous les auspices du roi Salmane, le prince Faisal ben Bandar, gouverneur de Riyad, a remis les prix aux lauréats lors de la 47e édition de l'événement.

Le prince Khalid Al-Faisal, gouverneur de La Mecque, conseiller du gardien des deux saintes mosquées et président du conseil d'administration du PFK, plusieurs autres princes, de hauts fonctionnaires, des universitaires et des scientifiques ont assisté à la cérémonie qui s'est déroulée dans la grande salle du prince Sultan au centre Al-Faisaliah.

Le prince Turki Al-Faisal, président du Le Centre de recherche et d'études islamiques du Roi Faisal, a remercié les dignitaires de leur présence et a félicité les lauréats.

Des érudits et des experts issus des domaines de l’islam, des études islamiques, de la médecine et des sciences se sont réunis dans la capitale saoudienne pour célébrer l’excellence, le savoir et l’engagement.

Cette année, le prix du service à l'islam a été décerné conjointement à deux lauréats d'Arabie saoudite. Le projet Tebyan Qur'an de la Liajlehum Association for Serving People with Disabilities a été récompensé pour avoir développé la première interprétation complète du Coran en langue des signes, rendant ainsi le texte sacré accessible à la communauté des sourds et promouvant l'inclusion dans l'éducation islamique.

Le deuxième lauréat, Sami Abdullah Almaqlouth, a été récompensé pour ses efforts exceptionnels en matière de cartographie et de préservation des sites islamiques historiques dans le cadre de son travail à l'Autorité générale pour les levés et l'information géospatiale. Sa documentation contribue à la préservation culturelle et à la sensibilisation du public au patrimoine islamique.

Le prix des études islamiques, décerné pour des études archéologiques dans la péninsule arabique, a également été partagé entre deux chercheurs. Le professeur Saad Abdulaziz Alrashid, éminent archéologue saoudien, a été récompensé pour ses contributions fondamentales à l'étude des inscriptions islamiques et du patrimoine archéologique. Ses travaux ont jeté les bases d'une nouvelle génération de chercheurs et attiré l'attention internationale sur la richesse historique de la région.

Le professeur Said Faiz Alsaid, autre personnalité saoudienne éminente dans ce domaine, a été récompensé pour ses études comparatives de l'épigraphie arabe et ses contributions au décryptage des anciennes civilisations de la péninsule, faisant le lien entre l'histoire préislamique et l'archéologie islamique.

Le prix de la langue et de la littérature arabes sur le thème de l'étude de l'identité dans la littérature arabe n'a pas été décerné cette année, car les œuvres proposées ne répondaient pas aux critères du comité de sélection.

Le prix de médecine, décerné pour la thérapie cellulaire, a été attribué au professeur Michel Sadelain, directeur du centre d'ingénierie cellulaire au Memorial Sloan Kettering Cancer Center.

Il a été récompensé pour son travail de pionnier dans le domaine de la thérapie cellulaire CAR-T, un traitement révolutionnaire contre le cancer qui consiste à modifier génétiquement les cellules immunitaires pour qu'elles ciblent et détruisent les tumeurs. Ses recherches ont ouvert de nouvelles perspectives dans le traitement de la leucémie et d'autres maladies auparavant incurables, marquant ainsi une étape importante dans l'innovation médicale.

Le prix scientifique, consacré cette année à la physique, a été décerné au professeur Sumio Iijima, du Japon. Connu comme le père des nanotubes de carbone, sa découverte en 1991 de ces nanostructures cylindriques a révolutionné le domaine des nanotechnologies.

Les nanotubes de carbone sont aujourd'hui utilisés dans des applications de pointe dans les domaines de l'électronique, de la science des matériaux, du stockage de l'énergie et même de la biomédecine. Sa découverte a jeté les bases d'innombrables innovations technologiques au XXIe siècle.

Le PFK a été créé en 1977 et a été décerné pour la première fois en 1979 dans trois catégories : services rendus à l'islam, études islamiques, langue et littérature arabes. Deux catégories supplémentaires ont été introduites en 1981 : médecine et sciences. Le premier prix de médecine a été décerné en 1982, et celui de science deux ans plus tard.

Depuis sa création en 1977 et l'attribution de ses premiers prix en 1979, le PFK a récompensé 301 lauréats de 45 nationalités qui ont apporté une contribution exceptionnelle à l'islam, au savoir et à l'humanité.

Chacune des cinq catégories de prix est dotée de 750 000 de riyals saoudiens (200 000 $), d'une médaille en or 24 carats et d'un certificat signé par le Prince Khalid Al-Faisal.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com


Jennifer Lopez prête à enflammer Abou Dhabi dans le cadre de sa tournée mondiale

Ce concert fait partie de sa tournée mondiale "Up All Night Live". (Getty Images)
Ce concert fait partie de sa tournée mondiale "Up All Night Live". (Getty Images)
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  • La superstar américaine Jennifer Lopez reviendra aux Émirats arabes unis cet été pour se produire à l'Etihad Arena
  • Dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night Live », l’artiste fera escale pour la deuxième fois au Moyen-Orient, après un premier concert donné à Sharm El Sheikh

DUBAI : La superstar américaine Jennifer Lopez reviendra aux Émirats arabes unis cet été pour se produire à l'Etihad Arena sur l'île de Yas, à Abou Dhabi, le 29 juillet.

Dans le cadre de sa tournée mondiale « Up All Night Live », l’artiste fera escale pour la deuxième fois au Moyen-Orient, après un premier concert donné à Sharm El Sheikh, en Égypte, le 6 juillet.

Les fans peuvent s'attendre à entendre des titres phares tels que "If You Had My Love", "Jenny From The Block", "Love Don't Cost A Thing" et "On The Floor".

Ce ne sera pas la première fois qu'elle se produira dans la capitale des Émirats arabes unis cette année : elle est déjà montée sur scène en février dans le cadre de la série de concerts Saadiyat Nights.

Largement considérée comme l'une des artistes les plus influentes au monde, Mme Lopez a marqué de son empreinte la musique, le cinéma et la télévision. Elle reste la seule artiste féminine à avoir été simultanément en tête du box-office américain et des palmarès musicaux, avec plus de 3 milliards de dollars de recettes au box-office mondial, plus de 80 millions de disques vendus et des milliards de flux et de vues sur l'ensemble de son catalogue musical.

Côté cinéma, ses deux dernières productions pour Netflix, « Atlas » et « The Mother », ont immédiatement pris la tête du classement mondial. « The Mother » s’impose même aujourd’hui parmi les dix plus grands succès de l’histoire de Netflix.

En 2025, son dernier film « Unstoppable » a atteint la première place mondiale sur Amazon Prime Video.

Le concert de Lopez aux Émirats arabes unis est organisé par Ethara, une société événementielle basée aux Émirats arabes unis.

Ethara organise également le concert de Katy Perry aux Émirats arabes unis, qui fait partie du week-end du Grand Prix de Formule 1 Etihad Airways d'Abou Dhabi en décembre.

La star de la musique sera la tête d'affiche de la grande finale le 7 décembre à l'Etihad Park.

En plus de sa tournée mondiale, Mme Lopez sera la tête d'affiche du concert d'après-course du Grand Prix de Formule 1 d'Arabie saoudite 2025 à Djeddah ce week-end, et montera sur scène le 19 avril.

Elle rejoindra une liste impressionnante d'artistes internationaux et régionaux, dont Usher, Major Lazer, Peggy Gou et PartyNextDoor, aux côtés de stars arabes telles que Marwan Pablo, Tul8te, Hisham Abbas, Mostafa Amar et Hamid El-Shaeri.

Ce texte est la traduction d’un article paru sur Arabnews.com