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Au Karabakh, Ankara se sert du terrorisme islamiste comme moyen d’action
  • C’est surtout l’envoi depuis Gaziantep (sud de la Turquie) de combattants syriens en appui aux forces azéries qui a mis de l’huile sur le feu
  • La politique étrangère turque vise l’Orient et le Moyen-Orient depuis qu’elle s’est émancipée de l’Occident
Par Antonio Munioz ·
Karabakh: Encore une nuit de bombardements à Stepanakert
  • Toute la nuit, de 21 h jusqu'à 5 h locales du matin, les sirènes d'alertes ont résonné à intervalles réguliers dans la ville, suivies de lourdes explosions
  • Le type d'armes utilisées par les forces azéries n'est pas connu avec certitude, mais les autorités locales dénoncent des bombardements indiscriminés sur les zones urbaines
Par AFP ·
Nouvelle nuit de combats au Karabakh et aucune trêve en vue
  • Stepanakert, capitale de la république autoproclamée du Nagorny Karabakh, est restée plongée dans le noir pour se rendre aussi invisible que possible aux drones azerbaïdjanais qui avaient frappé la ville dimanche
  • Le ministère de la Défense azerbaïdjanais a indiqué jeudi "que toute la nuit, des tirs d'artillerie dévastateurs ont visé les forces arméniennes"
Par AFP ·
Poutine et Macron appellent à un arrêt "complet" des combats
  • Les présidents russe Vladimir Poutine et français Emmanuel Macron ont appelé mercredi à un arrêt "complet" des combats au Karabakh et se sont dits prêts à intensifier les efforts diplomatiques pour contribuer à la résolution du conflit
  • Selon l'Elysée, les deux chefs d'Etat "partagent une préoccupation sur l'envoi de mercenaires syriens par la Turquie au Haut-Karabagh"
Par AFP ·
Macron préoccupé par des messages guerriers de la Turquie sur le Karabakh
  • « J'ai noté les déclarations politiques de la Turquie qui, je pense, sont inconsidérées et dangereuses »
  • Le chef de l'Etat français a signalé qu'au stade actuel il n'était pas permis de parler « d'une régionalisation du conflit »
Par AFP ·
Nagorny Karabakh: plus de 95 morts dans les combats, Ankara met en garde l'Arménie
  • Une guerre ouverte entre Erevan et Bakou risquerait de déstabiliser le Caucase du Sud, en particulier si la Turquie et la Russie, puissances régionales, intervenaient
  • Le bilan réel pourrait être bien plus lourd, les deux camps affirmant chacun avoir tué des centaines de militaires de la partie adverse
Par AFP ·