Le Comité national pour la libération des détenus en Algérie a publié les noms de 51 personnes remises en liberté dans l'attente de leur procès
Avant ces libérations, près de 300 personnes étaient emprisonnées en Algérie en lien avec le Hirak ou pour des revendications concernant les libertés individuelles
Amnesty International estime que la France «fait partie» des 67 pays au monde qui ont «adopté en 2021 des lois qui restreignent la liberté d'expression, d'association et de réunion»
Amnesty International stigmatise également les «traitements dégradants» subis par les exilés, notamment à Calais
Radi est également accusé d'avoir «fourni des informations de l'ordre de l'espionnage» à deux sociétés de conseil économique britanniques
Omar Radi, soutenu par une campagne de solidarité au Maroc et à l'étranger qui demande sa libération, a toujours affirmé être poursuivi en raison de ses écrits
Shawky avait été emprisonné le 14 octobre 2018 pour «appartenance à une organisation terroriste»
Après 22 mois de détention – la préventive en Égypte n'est légalement pas censée excéder deux années – Shawky avait été déclaré libérable, bien que toujours poursuivi
Les conséquences pourraient être durables en matière de démocratie, selon plusieurs organisations de défense des droits humains
Le recul des libertés «risque de continuer quand la crise sanitaire se sera calmée, car il va être difficile de faire marche arrière sur les lois et règles mises en place»