Les chrétiens peuvent-ils gouverner le Liban après Aoun?

Michel Aoun prononce un discours pour marquer la fin de son mandat, devant le palais présidentiel de Baabda, à l'est de la capitale Beyrouth, le 30 octobre 2022 (Photo, AFP).
Michel Aoun prononce un discours pour marquer la fin de son mandat, devant le palais présidentiel de Baabda, à l'est de la capitale Beyrouth, le 30 octobre 2022 (Photo, AFP).
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Publié le Vendredi 04 novembre 2022

Les chrétiens peuvent-ils gouverner le Liban après Aoun?

  • Le mandat présidentiel de Michel Aoun, de son parti le Courant patriotique libre et de son gendre Gebran Bassil est terminé
  • Depuis le début de son mandat en 2016, il ne s'est pas comporté en président pour tout le Liban

Le mandat présidentiel de Michel Aoun, de son parti le Courant patriotique libre et de son gendre Gebran Bassil est terminé. Les caractéristiques des six dernières années au cours desquelles il a régné peuvent être divisées en deux catégories principales : la dépréciation et la diabolisation.

Les affirmations selon lesquelles lui et son entourage sont responsables de la crise sans précédent au Liban se heurtent à des excuses et à des tentatives pour détourner la responsabilité de ses échecs, qui sont épinglés sur la "clique dirigeante" des politiciens corrompus – tous ceux qui sont impliqués dans la gestion du pays à l'exception des ministres, députés et représentants du Mouvement patriotique libre.

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NDLR: Mosaïque est une revue de presse qui offre au lecteur un aperçu sélectif et rapide des sujets phares abordés par des quotidiens et médias de renommée dans le monde arabe. Arab news en français se contente d’une publication très sommaire, renvoyant le lecteur directement vers le lien de l’article original. L’opinion exprimée dans cette page est propre à l’auteur et ne reflète pas nécessairement celle d’Arab News en français.


Tarik Slaiki réélu président de l'Union des éditeurs marocains

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  • De même, l'assemblée a renouvelé sa confiance en Abdeljalil Nadem, en tant que président d’honneur de l'Union
  • En plus de Tarik Slaiki, le bureau exécutif de l'Union est composé de Ahmed Essayegh, premier vice-président

L'éditeur Tarik Slaiki a été réélu président de l'Union des éditeurs marocains, lors de son assemblée générale ordinaire, tenue vendredi à Rabat.

En plus de Tarik Slaiki, le bureau exécutif de l'Union est composé de Ahmed Essayegh, premier vice-président, Nadia Essalmi, deuxième vice-présidente, Mhammed Jabroune, secrétaire général, Mohamed El Mahboub, trésorier, ainsi que de Bassam Al-Kourdiqui et Mohamed Redouane en tant que conseillers, fait savoir l'Union dans un communiqué.

De même, l'assemblée a renouvelé sa confiance en Abdeljalil Nadem, en tant que président d’honneur de l'Union, ajoute la même source. Cette rencontre a constitué une occasion pour les professionnels du secteur de discuter et évaluer les réalisations de l'Union au cours de l'étape précédente et mettre l'accent sur les défis à relever dans ce domaine, à la lumière des mutations que connaît le marché du livre au Maroc et dans le monde.

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Algérie: Création d’une alliance politique, quatre partis vont affronter ensemble les prochaines échéances

La CPMA regroupe le FLN, le RND, le mouvement El Bina et le Front El Moustakbal (Photo, El Watan).
La CPMA regroupe le FLN, le RND, le mouvement El Bina et le Front El Moustakbal (Photo, El Watan).
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  • Les quatre dirigeants politiques, qui forment ce qu’ils ont dénommé la «Coalition des partis de la majorité pour l’Algérie»
  • quatre partis politiques constituant «la majorité parlementaire», ont scellé une alliance politique

Le SG du FLN a indiqué que cette rencontre «scelle une alliance politique entre des formations partageant des dénominateurs communs et des objectifs clairs visant à réaliser un consensus national…»

A quelques jours de la convocation du corps électoral et à moins de quatre mois de l’élection présidentielle anticipée prévue le 7 septembre, quatre partis politiques constituant «la majorité parlementaire», en l’occurrence le Front de libération nationale (FLN), le Rassemblement national démocratique (RND), le Front El Moustakbal et le mouvement El Bina, ont scellé une alliance politique pour «réaliser un consensus national pour la défense des intérêts du peuple». A cet effet, une commission nationale conjointe a été installée jeudi au siège du FLN.

Les quatre dirigeants politiques, qui forment ce qu’ils ont dénommé la «Coalition des partis de la majorité pour l’Algérie» (CPMA), ont tous annoncé leur participation au prochain rendez-vous électoral, mais durant ce conclave, ils n’ont pas décliné leur position par rapport à la forme : participeront-ils avec un candidat unique ou chacun présentera-t-il sa propre candidature ?

A cette question, le leader du RND, Mustapha Yahi, a laissé entendre que l’alliance «proposera un candidat consensuel remplissant les conditions requises, notamment la capacité à préserver les acquis réalisés depuis 2019 et à poursuivre les réformes pour atteindre les objectifs fixés», insistant sur le fait que l’Algérie «a besoin de partis politiques forts».

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Mohamed Rachid Bey : Un goût inné pour les arts

Mohamed Rachid Bey (Photo, La Presse).
Mohamed Rachid Bey (Photo, La Presse).
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  • Qui de Mohamed Rachid Bey ou Hammouda Pacha aurait construit le Palais Kobbet Enhas ?
  • Autant Rachid Bey pouvait être une tête brûlée déclenchant troubles, conflits… autant il savait faire preuve d’une grande finesse et délicatesse d’esprit

Certains souverains beylicaux, à l’instar de Mohamed Rachid Bey, étaient passionnés par les arts

Qui de Mohamed Rachid Bey ou Hammouda Pacha aurait construit le Palais Kobbet Enhas ? Les historiens sont divisés sur cette question. Si on se réfère à la période pendant laquelle chacun a régné respectivement (Mohamed Rachid Bey 1756-1759 : Hamouda Pacha 1782-1814), le palais n’aurait pas pu être édifié en l’intervalle de deux ans, période qui  correspond au règne de Mohamed Rachid Bey et qui est trop courte pour pouvoir achever les travaux de construction d’un édifice aussi prestigieux que celui de Kobbet Enhas. 

Rappelons que Mohamed Rachid Bey a eu un règne assez mouvementé. Il a notamment fomenté une fronde contre son prédécesseur Ali Pacha en provoquant une mutinerie au sein de la garnison militaire, composée de quarante mille soldats. Autant Rachid Bey pouvait être une tête brûlée déclenchant troubles, conflits… autant il savait faire preuve d’une grande finesse et délicatesse d’esprit, vouant une passion sans bornes pour les arts et notamment pour la musique, la littérature et la poésie.

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