Emanant souvent d'initiatives privées, ces festivals, qui drainent des centaines de milliers de fans étrangers et marocains, offrent une vitrine inestimable pour son rayonnement international
Au programme, des concerts de mâalems ("maîtres") gnaouas mais aussi de jeunes artistes s'appropriant cette tradition musicale, comme Asmaa Hamzaoui, l'une des rares femmes dans un milieu presque exclusivement masculin
Austin Butler, le Californien de 30 ans évite le piège de la simple imitation de l'interprète de «Don't be cruel», tout en chantant lui-même les scènes de live dans le long métrage de Baz Luhrmann
Celui qui est acteur depuis ses 12 ans, apparu dans des séries Disney ou au cinéma dans «Once Upon a Time... In Hollywood» de Quentin Tarantino, a pourtant fait fausse route au début de sa préparation
Le concert se déroule dans un théâtre de 3 000 places spécialement conçu à cet effet et met en scène quatre «ABBAtars», diffusés en hologramme
«Nous avons fait tout le chemin depuis l'Amérique et ça valait le coup», a déclaré de son côté Caleb Graham, 33 ans, originaire de Floride, lui et son compagnon portant des T-shirts ABBA noirs assortis
Alaa Jazaeri, fondateur d’un festival de musique intitulé «Narratives», a ralenti le rythme avec un ensemble de musique house organique et pleine d’émotions
La lune, qui brillait, contribuait à créer une atmosphère de nuit céleste à mesure que la musique résonnait de plus en plus fort