« Les forces politiques libanaises sont face à un choix entre redressement et effondrement du pays. C'est une lourde responsabilité vis-à-vis des Libanais »
Le processus piétine en raison de divergences sur l'attribution de portefeuilles ministériels
Le Hezbollah et le mouvement Amal insistent pour proposer une liste de noms à Adib afin de désigner le ministre pour le portefeuille des Finances»
La rotation des portefeuilles ministériels constitue un coup d'État en douceur pour retirer les cartes fortes au Hezbollah et au mouvement Amal et les affaiblir au sein du gouvernement
Dans un entretien exclusif accordé à Arab News en français, le cardinal Béchara Raï estime que « le Hezbollah a ses propres intérêts qui ne sont pas ceux du Liban»
« Macron s’est rendu au Liban au lendemain même de la double explosion alors qu’aucun homme politique libanais n’a osé se rendre au chevet du peuple ; comme Ponce Pilate, ils se lavent les mains de leurs responsabilités »
Naminata est ivoirienne, réfugiée en France depuis 2016 avec ses trois enfants et son mari. Pendant le confinement, le père de famille a continué son métier de livreur
"Rester chez soi et ne pas travailler, c'est perdre son emploi et ses moyens de subsistance. Pour beaucoup de travailleurs de l'économie informelle, le choix entre mourir de faim et mourir du virus est bien réel"
L'activité partielle de longue durée est un nouveau dispositif qui permet, sous réserve d'un accord d'entreprise ou de branche, de réduire le temps de travail d'au maximum 40% pendant une période de six à 24 mois
Plus avantageux que le chômage partiel classique, limité à six mois, il garantit 93% du salaire net
"Ce plan ne se contente pas de panser les plaies de la crise. Il prépare l'avenir"
Après les 460 milliards d'euros de soutien d'urgence mobilisés depuis le début de la crise, le plan de relance est un plan d'investissement sur le moyen terme
"Nous voulons d’autres dirigeants. Il est grand temps que ceux qui sont actuellement au pouvoir partent "
"Emmanuel Macron a été plus sensible avec nous que tous nos dirigeants. Il est venu chez nous, il s’est enquis des blessés, il s’est promené dans les quartiers sinistrés. Il est descendu dans la rue. Les nôtres ne feront pas ça. Ils ont peur"