En 2016, 36 hommes avaient été pendus pour ce massacre, après un procès critiqué notamment par l'ONG Human Rights Watch pour son manque de transparence
Il aurait ensuite travaillé pour les services irakiens après le retrait américain, jusqu'à son incarcération en 2012 pour des activités d'"opposant" politique
Les forces kurdes en Syrie ont remis une centaine de combattants irakiens du groupe jihadiste Etat islamique (EI) à Bagdad, a indiqué dimanche une source sécuritaire irakienne
Dans le nord-est de la Syrie, pays en guerre voisin de l'Irak, un responsable de l'administration autonome kurde, interrogé par l'AFP, a démenti ces informations, affirmant qu'«aucun» Irakien n'avait été livré aux autorités de Bagdad
Les Nations unies ont maintes fois mis en garde contre des menaces sécuritaires dans ce camp tenu par les forces kurdes, qui accueille quelque 62 000 personnes
Parmi les victimes, tous des résidents du camp, figurent dix Irakiens et quatre Syriens, précise le responsable, qui pointe «les cellules de l'EI dans le camp»
Souad Benalia, née en 1984 à Roanne (centre-est de la France) et mère de trois enfants, était partie au Levant en 2014
Depuis la chute du califat autoproclamé de l'EI en mars 2019, les autorités kurdes appellent elles aussi les pays concernés à rapatrier femmes et enfants
«A l'automne 2020, nous avons planté 2.000 chênes, c'était une expérience pilote», explique cette native de Rawandouz
«C'est ma petite contribution pour la nature au Kurdistan», explique celle qui a été séduite après des randonnées en montagne au cours desquelles elle a pu constater les dégâts
À Sirnak, des images montrent des soldats turcs qui traînent le cadavre d'un célèbre cinéaste kurde avec leur char. A Nusaybin, les parlementaires du MHP appellent à la destruction de toute la ville
Cet exploit est certainement influencé par l’armée qui a assiégé des villes kurdes entières et les a privés de leurs droits de vote
A Paris, le cortège s'est élancé dans le calme, derrière de grandes banderoles à l'effigie des trois femmes, depuis la gare du Nord jusqu'à la place de la République
Les manifestants accusent les services secrets turcs du MIT et le président Recep Tayyip Erdogan d'être derrière cet assassinat