L'invasion de l'Ukraine cause une flambée inédite des prix des céréales. L'Egypte, premier importateur de blé du monde, et ses 103 millions d'habitants en sont une victime collatérale
La crise des prix des aliments est devenue «une menace existentielle pour l'économie égyptienne», explique Michaël Tanchum du Middle East Institute
Les décideurs de la Fed ont revu à la baisse leur estimation de la croissance du produit intérieur brut
L'impact du conflit russo-ukrainien se fait sentir dans le monde entier, avec la crainte d'une flambée des prix du pétrole et d'une perturbation de la chaîne d'approvisionnement
La croissance française devrait ainsi être amputée en 2022 de 0,5 à 1,1 point de pourcentage par rapport à ce qui se serait produit sans le conflit en Ukraine
Sans la guerre, la croissance aurait été de 3,9%, estiment les économistes de la banque centrale
L'objectif: pousser les banques commerciales à proposer à leurs clients des taux d'intérêts plus élevés pour les crédits, afin de faire ralentir la consommation, et donc d'alléger la pression sur les prix
«La combinaison d'une inflation plus élevée et d'une croissance plus lente représente un dilemme pour la Réserve fédérale», soulignent les économistes
D'après l'organisme public, cette dynamique s'explique par l'envolée des prix des «produits énergétiques» (+44,3% sur un an) et des «carburants et combustibles» (+26,9% sur un an), qui s'est répercutée sur l'ensemble de l'économie espagnole
La Banque centrale européenne (BCE) a révisé nettement à la hausse jeudi sa prévision d'inflation pour la zone euro en 2022, qui devrait atteindre 5,1% contre 3,2% prévus jusqu'ici
Dans la ville de Nassiriya, plus de 500 manifestants se sont rassemblés sur une place du centre de cette ville qui fût un bastion de la contestation antipouvoir de 2019
Car depuis une semaine, les huiles alimentaires et la farine ont connu une forte augmentation en Irak
Vers 12H45, l'indice CAC 40 rebondissait de 4,36% à 6 222,17 points, après s'être brièvement envolé à plus de 5% une heure avant
Après une dégringolade de plus de 10% sur la semaine passée, la cote parisienne avait fini en légère baisse de 0,32% mardi, un faux-semblant de stabilité dans un contexte incertain