Cette agitation diplomatique a lieu près de trois mois après que les militants du Hamas de Gaza ont attaqué Israël, déclenchant une offensive de représailles qui a tué 22 600 Palestiniens et dévasté l'enclave.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken se rendra en Cisjordanie au cours d'une tournée d'une semaine qui le mènera en Arabie saoudite, en Turquie, en Israël, en Jordanie, au Qatar, aux EAU, en Égypte et en Grèce
Youssef Salama, 68 ans, ancien ministre des Affaires religieuses de l'Autorité palestinienne, a été tué dans une frappe israélienne sur sa maison dimanche matin dans le camp de réfugiés de Maghazi
Il avait également officié comme prédicateur lors des prières du vendredi sur l'esplanade des Mosquées dans la Vieille Ville de Jérusalem
«Que cela soit clair: la guerre sera longue. Nous nous battrons jusqu'au bout - jusqu'à la libération des otages, jusqu'à l'élimination du Hamas, et jusqu'à ce que nous restaurions la sécurité aussi bien dans le nord que dans le sud», a déclaré Netanyahu
La mort de 14 soldats dans la bande de Gaza est l'un des plus lourds bilans enregistrés par l'armée israélienne en une période aussi courte depuis le début de son offensive terrestre le 27 octobre
Le quartier d'Azizia, dans le nord de la Syrie, abrite traditionnellement un marché de Noël animé et ses ruelles scintillent de lumières et de bibelots chaque année à la même période
«Compte tenu des circonstances, en particulier à Gaza», les principales églises syriennes ont déclaré dans un communiqué commun l'annulation des festivités de Noël, limitant les célébrations à des cérémonies religieuses
Le petit village vit au rythme des bombardements qui empêchent ses habitants de dormir la nuit
Les habitants de la zone frontalière sont habitués «aux temps difficiles», assure le père Antonios Farah, dans l'église où trône une crèche grandeur nature. «Mais nous avons décidé de célébrer Noël comme d'habitude. C'est notre façon de prier pour la paix
Les proches des otages ont multiplié les appels au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour un accord sur la libération des captifs alors que l'armée a admis avoir tué «par erreur» trois d'entre eux dans le territoire palestinien
Cette semaine, les Nations Unies ont prévenu que la faim et le désespoir poussant les habitants à s'emparer de l'aide humanitaire risquaient de conduire à un «effondrement de l'ordre civil»